Thème « différence »
Pezzettino est orange, carré et il porte un nom qui veut dire « petit morceau » en italien. Comme tous ses amis sont beaucoup plus grands, Pezzettino pense qu’il est un petit bout tombé d’un autre. Mais lequel ? Il s’en va demander à chacun : Celui-qui-court, Celui-qui-nage, Celui-qui-est-fort, Celui-qui-vole-dans-les-airs… Tous sont entiers. Il ne manque à personne ! Il faudra que Pezzettino se brise en mille morceaux, puis réussisse à les rassembler pour comprendre enfin un grand secret.
Quelle vision du monde peut avoir un petit poisson au fond de son étang ?
Prenez une princesse intelligente, mais physiquement assez biscornue, que sa mère la reine appelle Riquette. Prenez ensuite un prince, si bête mais si beau que ses parents l’on prénommé Beau. Accordez à chacun un don magique : à l’une, le don de rendre intelligent celui qu’elle chérira ; à l’autre, d’embellir l’élue de son coeur. Maintenant, il suffira que ces deux-là s’aiment pour que tout soit arrangé. Mais… est-ce si simple, de tomber amoureux ?
Rufus est une chauve-souris pas comme les autres. Depuis qu’il a vu, un soir, un film en Technicolor au cinéma en plein air, puis, au petit matin, le lever du soleil orange et rose, il a décidé de changer d’existence. Vivre le jour, peindre ses ailes noires aux couleurs des papillons !
Pris de peur en voyant tourbillonner ce volatile bizarre, des gens lui tirent dessus à coups de fusil. Rufus tombe, mais, par chance, c’est dans le jardin d’un homme formidable…
C’est dans les années soixante, après les aventures de la famille Mellops (republiées l’an dernier) que Tomi Ungerer entreprend, à New-York, une série d’albums en l’honneur des animaux jusque-là mal aimés ou carrément absents des livres pour les enfants : un boa constrictor, Crictor ; une pieuvre, Émile ; un vautour, Orlando ; un kangourou, Adélaïde ; et une chauve-souris, Rufus, que voici, pour la première fois en français. Ils font mentir leur réputation, incarnent le bien, sauvent des vies, se révèlent plus humains que les humains qui les avaient d’abord rejetés.
Être différent, c’est parfois une souffrance. Tico le petit oiseau était né sans ailes. Il pouvait sautiller et chanter, mais pas voler comme ses amis. Il rêvait d’avoir une paire d’ailes dorées… Et voilà qu’un beau jour, l’oiseau génie exauce son vœu ! Mais être différent peut s’avérer une chance, à condition d’être généreux. Dans un premier temps, tous les anciens amis de Tico l’ont fui car ils le prenaient pour un crâneur. C’était mal le connaître : avec chacune de ses plumes, il va faire des heureux !
C'est l'histoire d'un petit éléphant, qui avait perdu ses parents et d'un lion, qui n'était ni très petit ni particulièrement grand, mais qui était le roi. Comme tous les rois, il n'était pas commode. Cependant le petit éléphant avait réussi à se faire adopter de lui. Ils étaient devenus inséparables. Toi grand et moi petit, répétait l'éléphant. Mais il se mit à grandir... et le lion le remarqua.
Meto habite avec sa famille dans un petit village de la savane. Un jour, une jeep amène des touristes. Parmi eux, une petite fille tient dans ses bras un ours en peluche. C'est un animal que Meto n'a jamais vu. Mais quand il s'aperçoit qu'il a été oublié par la petite fille, il court à travers la savane pour le restituer à sa propriétaire. Arrivera-t-il à temps ?
Beaucoup de gens aiment George. Maman est très fière de son petit garçon, elle pense qu’il deviendra « un jeune homme très bien ». Scott aime beaucoup son « frérot ». Et Kelly le tient pour son « meilleur ami ». Mais George sait que les gens ne voient pas qui elle est vraiment. Car, George en a la certitude, elle est une fille.
Alors, quand sa maîtresse propose de jouer une pièce de théâtre à l’école, George veut plus que tout interpréter le personnage de Charlotte. Elle sera parfaite, et les gens verrons enfin qui elle est. Comment leur faire comprendre que c’est le rôle de sa vie ?
Un nouveau est arrivé à l’école en plein hiver. Il s’appelle Vandam Pishar. Il prétend qu’il vient d’Inde. Pourtant, il parle très bien français. Il marche comme un robot et garde toujours ses gants, même en classe. Pourtant, il paraît qu’il est champion de ski. Il affirme aussi qu’il n’a pas le temps de se faire des amis. Pourtant, il a l’air de s’entendre très bien avec la maîtresse remplaçante. On dirait vraiment que Vandam Pishar vient d’une autre planète. Une autre planète ? Et pourquoi pas ?
Séparément, ils ne valent pas un clou, mais ensemble, ils sont capables de tout !
Regardez-les, ces quatre héros sans peur et sans reproche, leur portrait fièrement cloué à tous les arbres des environs ! Le genre qui pourrait venir à bout d’une horde d’ogres affamés en un claquement de doigts !
Bon, d’accord, ce n’est pas très ressemblant… Mais, sans ce genre de publicité, qui voudrait engager une gamine éclopée, un barbare aveugle, un lutin grincheux et une elfe sans cœur ? D’ailleurs, l’affiche des Clopin-Clopant a fait son petit effet. Le roi leur ordonne de chasser au plus vite une horde de yétis qui squattent son château Touron. Encore faut-il survivre au voyage…
On murmure qu'en terre des Brumes se cache un endroit merveilleux. Un refuge où les éclopés, cabossés et autres bras cassés vivent en paix, acceptés tels qu'ils sont. Trop beau pour être vrai ? Pour la plus célèbre troupe d'aventuriers du royaume, impossible de résister : ils doivent absolument voir ça de plus près ! D'autant qu'ils pourraient peut-être enfin y poser leurs valises. Ni une ni deux, les voilà lancés dans une nouvelle quête improbable, bien décidés à trouver cette cité légendaire perdue dans les brumes. Mais, là où tout le monde est extraordinaire, qu'est-ce qui les unit encore ? Et s'ils étaient tout à coup trop occupés pour sortir la tête de Grimm de son nuage, adoucir les colères de Fleur… ou empêcher Morgane de tout faire exploser ?
Quand il est né, Okilélé n'était pas beau. Ses parents, ses frères, sa soeur dirent « Oh, qu'il est laid ! »
Okilélé pensa que c'était son prénom...et ne comprenait pas pourquoi il gênait partout où il se trouvait. Croyez-vous qu'il se laissa faire ? Non, et c'est le début d'une très longue histoire, d'un très beau voyage...
Mona est une princesse dont aucune petite fille n'envierait le sort. Depuis la disparition de ses parents, elle vit seule dans un château avec deux personnages veules, sinistres et repoussants, Goomi et Monseigneur, qui décident de tout et la prennent pour leur esclave.
Un jour, le son de ses pleurs fait apparaître une licorne, qui s'appelle U et qui dit être là pour la protéger et la réconforter tant que Mona aura besoin d'elle. « Je suis une licorne, qui possède sur le front, comme tu le vois, cette unique corne et je suis là uniquement pour toi. » U devient la compagne de Mona, sa petite et sa grande sœur à la fois, sa confidente et son inséparable amie. Et, malgré la présence fétide de Goomi et de Monseigneur, la vie devient plus douce.
Un jour, alors que Mona a grandi et est devenue une très jolie princesse, d'étranges habitants s'installent dans la forêt voisine : les Wéwés. Ce sont des êtres pacifiques et pleins de charme. Ils n'ont aucun pouvoir particulier, et pourtant, leur présence va tout changer...
En apprenant qu’il entrait en cinquième au collège des Museaux, Elliot s’était dit qu’il allait pouvoir y changer de vie. Tu parles ! Il n’y a pas de réseau, les profs sont complètement barges, les élèves, nourris au quinoa. Sans compter que quelqu’un a fouillé sa chambre. Il sait bien ce qu’on y cherchait : un objet précieux caché dans ses bagages, un souvenir de son ancienne vie…
Addie est autiste. Lorsqu’elle apprend en cours d’histoire que sa petite ville de Jupiner a persécuté, torturé et exécuté au Moyen Âge des dizaines de sorcières, elle est bouleversée. Ces femmes accusées de sorcelleries n’étaient-elles pas autistes ou neuroatypiques comme elle ? Victime de brimades en classe, Addie se sent particulièrement concernée par leur sort. Elle décide de mener campagne pour que la ville de Jupiner rende hommage à ces sorcières injustement traitées.
Quelques empreintes de pattes dans la neige, une carcasse de daim abandonnée un peu plus loin… et Felitsa avait compris en un éclair à qui elle avait affaire. C’était bel et bien une tigresse que sa mère et elle venaient de repérer. Et à y regarder de plus près, une tigresse qui attendait des petits. En dépit de la fatigue et de la température glaciale, Felitsa ne regrettait plus d’avoir accompagné sa mère dans sa tournée d’inspection. Alissa était garde forestière au bout du bout de la taïga russe, une zone de trafic intense avec la Chine voisine et un beau terrain de chasse pour les braconniers. De l’autre côté de la frontière, la dépouille d’un tigre de Sibérie valait des dizaines de milliers de dollars. Si Felitsa et sa mère avaient repéré la tigresse, les braconniers n’allaient pas tarder à faire de même. Il fallait trouver le moyen de sauver sa peau…















