Thème « déménagement »
Gaston l’éléphant vient juste d’emménager au cinquième étage d’un immeuble dans lequel il ne connaît encore personne. Il a décidé d’inviter tout le monde à dîner, pour se présenter. Mais, alors qu’il descend coller son invitation dans le hall, il trouve sur chaque palier un objet perdu… Son imagination galope : cette cuillère doit être celle d’une sorcière, et cette dent, celle d’un champion de boxe ! Et ce parfum qui flotte dans l’air ? Gaston a beaucoup d’imagination, et pourtant il va avoir une sacrée surprise…
Déménager. Tout un programme. Comment le petit Arthur va-t-il s'adapter à cet énorme changement dans sa vie ? Et surtout, comment va-t-il réussir à calmer ce pauvre dragon là -bas, sous la montagne, qui hurle de douleur ?
Lila et Bonhomme se sont installés au pied d'un arbre. C'est là qu'ils vont vivre tous les deux. Depuis que Maman et Papa ont chacun leur maison, la vie est devenue difficile. Tout le temps faire sa valise, c'est dur... C'était bien mieux quand Maman préparait le repas. C'était mieux aussi quand Papa racontait une histoire avant d'aller dormir...
« Hein ? Quoi ? Comment ? Déménager, mais pourquoi ? » Philibert n'a aucune envie de quitter sa grotte mais il est bien obligé de suivre ses parents, à la recherche d'une nouvelle maison.Et si c'était le début de nouvelles aventures et de belles rencontres ?Avec la famille Chauve-Souris, pas de doute... ça déménage !
À gauche, une maison pleine d’enfants. Dix en tout. À droite, une maison inhabitée. Page après page, les enfants vont déménager, changer de maison, de pièce, d’étage, s’installer, bricoler, jouer, décorer, équiper, habiter, mais aussi se cacher, et mettre notre mémoire, notre vigilance et notre sens de l’observation à l’épreuve. Avec ce livre sans paroles, paru pour la première fois il y a dix ans, Mitsumasa Anno nous offre un jeu de concentration et un formidable antidote au zapping déstructurant.
Foufours est sorti chercher de la paille pour réparer le toit de sa maison. Quand il revient, il pleut si fort qu'il ne voit plus rien. « Où est ma maison ? » demande-t-il à Glouton. Mais Glouton ne résiste jamais à l'envie de faire une mauvaise blague. « Ta maison a été emportée par la rivière ! » répond-il...
Simon adore la petite maison où il est né. La quitter pour une plus belle ? Impossible. Pas question. Pourtant, quand son petit frère Gaspard manifeste son inquiétude à son tour, Simon trouve les mots pour lui parler du déménagement.
Ce matin, comme tous les matins, Lola est heureuse de retrouver Simon. Mais Simon a l'air embêté. Il doit annoncer que ses parents déménagent et qu'il va changer d'école Lola va-t-elle perdre son meilleur ami du monde ?
Aujourd'hui, Lola découvre sa nouvelle maison. « On va habiter dans une maison vide, sans jouets ? » « Mais non, le camion va bientôt arriver ! » Lola se sent perdue... Elle n'est pas très rassurée. Il y a de drôles d'ombres sur le papier peint.
Minusculette est reveillée en plein nuit par des bruits étranges, elle va donc interroger ses amis et voisins afin de découvrir d’où viennent ces bruits… Mais, regardez ! Une famille de loirs a élu domicile au sommet de notre arbre, ce sont eux qui faisaient tout ce bruit !
Tout juste arrivés dans leur nouveau logement, un jeune garçon et sa maman échangent des souvenirs d’« avant », radieux, drôles ou saugrenus : un pique-nique avec papa, un plongeon dans une meule de foin, une terrible nuit d’orage... À présent, les voilà seuls. Mais qui sait si, un jour, cette toute première nuit dans une ville inconnue ne sera pas à son tour un souvenir aimé ?
Simon vient de déménager à Paris. Il a quitté la banlieue verte et paisible pour intégrer le lycée. Une nouvelle vie commence, mais la précédente n’est pas tout à fait terminée. Il ressent le manque des lieux de l’enfance : la maison, les arbres, l’étang où il allait pêcher avec son frère, et la douceur de ces moments. La douceur, à présent, il la trouve auprès de Léa. Ses yeux qui changent de couleur, sa fragilité, l’impression qu’il a de la connaître et qu’elle lui échappe à la fois : une histoire pourrait naître entre eux. Jusqu’à ce qu’apparaisse la flamboyante Léonore…
Oui, c’était bien une île de rêve, mais pas seulement celui des vacances sur des plages de sable blanc, pas celui que nous avions eu avant que mon père disparaisse, oui, c’était bien une île de rêve, d’un rêve si puissant que des hommes, des femmes, des enfants n’hésitaient pas à embarquer sur des bateaux de fortune, vétustes, surchargés, des hommes, des femmes et des enfants n’hésitaient pas à embarquer sur des pneumatiques pour rejoindre Lampedusa, quitte à y laisser la peau… Il fut un temps où la famille rêvait de passer les vacances d’été sur Lampedusa, cette île étroite au large de la Sicile. Une fois le père disparu, le rêve s’est évanoui, la mère et ses deux filles ont quitté le village pour venir s’installer, plus bas, dans une cité au bord du Paillon. L’aînée en éprouve un chagrin violent et silencieux. C’est elle qui raconte…
La vraie naissance de Romain a eu lieu il y a une semaine. Ce jour-là , une fille débarquée de nulle part et belle comme un souffle s’est approchée de lui, le garçon transparent, et lui a parlé. Pour lui dire qu’elle l’aimait et qu’ils devaient passer du temps ensemble.
Aussitôt, dans sa tête, il y a eu l’idée folle, cette sensation nouvelle, d’être en vie. Loin de l’ennui, au plus près de Lola et de ses allures d’ange tombé du ciel. Lui, il a simplement dit : Je sais pas. Trois petits mots pour faire fuir n’importe qui.
Mais Lola n’est pas n’importe qui. Lola, c’est une fille qui embrasse, court, aime, vite. Une fille comme la chaleur ardente d’un feu, après le craquement des allumettes. Elle sait entendre les silences de Romain. Elle veut lui apprendre à oser. Lui fait découvrir que chacun a sa route, qu’elle soit au Nebraska ou dans les recoins perdus et tristes d’une ville basse.
Alors, ils se cherchent, ils foncent, ils se brûlent. Forcément, Romain tombe raide amoureux. Forcément, la vie s’en mêle. Mais plus rien ne peut arrêter leur marche en avant.













