Thème « courageux »
Rosalie joue dans le jardin de sa grand-mère. Son imaginaire prend le pas sur la réalité et elle part dans une grande aventure avec l’Homme Grenouille, la poupée Dominique et l’ours André. Il leur faut rejoindre l’arbre au rocher sans rencontrer la sorcière…
« Rouge, tu es maintenant assez grande pour aller seule à la ville. Va voir Mamie et apporte-lui ce gâteau. »
Pour arriver chez sa grand-mère, Rouge doit traverser la ville. Mais le monde moderne est plein de dangers...
Sam Écureuil le guerrier intrépide n’a jamais connu la peur. Jusqu’à aujourd’hui…
Il était une fois un petit lapin qui se prenait pour Superlapin. Lorsque sa maman lui disait : « Que vas-tu faire aujourd'hui, mon petit lapin ? », il répondait : « Mais enfin, chère mère, je ne suis pas un petit lapin, je suis SUPERLAPIN ! Les Superlapins attrapent les méchants, vous le savez bien ! »
Et le petit lapin - pardon, Superlapin -, dans son costume de Superlapin, partait chasser les méchants. Superlapin n'a peur de rien. Il peut sauter dans le creux d'un arbre, même s'il y fait très froid et très sombre. Même s'il y a un méchant armé d'une épée caché à l'intérieur. Un petit lapin, lui, a peur du noir quelquefois, et si une écharde s'est enfoncé dans son doigt, il a mal. Alors, quand on est Superlapin, mais quand même aussi un petit lapin, on a parfois un peu besoin de sa maman.
Trois squelettes préparent un mauvais tour au brave Ours Malicieux, réputé pour son intelligence et son courage. « Flanquons-lui la frousse de sa vie ! » Mais aucune de leurs terribles tentatives ne semble impressionner Ours Malicieux. N'aurait-il vraiment peur de rien ?
En Louisiane, tout le monde croit aux esprits. Lanesha, elle, a le don de les voir.
« Tu es comme moi, ma chérie, tu as un don de double vue », lui a expliqué Mama Ya-Ya, la sage-femme qui l’a recueillie à sa naissance.
Mama Ya-Ya savait qu’un ouragan approchait, bien avant que la radio et la télévision n’en parlent. Les dégâts seront incommensurables, répète le présentateur.
Tous les habitants de La Nouvelle-Orléans doivent quitter la ville. Mama Ya-Ya est très âgée, et ne possède pas de voiture, alors Lanesha a fait des provisions d’eau et de nourriture, et a cloué des planches sur les fenêtres. Elle ne sait pas ce qui l’attend, mais elle se prépare de toutes ses forces à survivre. Avec TaShon, le fils des voisins, avec le chien Spot, qu’ils viennent d’adopter ensemble. Avec le fantôme silencieux de sa mère, qui est venu pour l’aider. Avec l’amour de Mama Ya-Ya, qui est incommensurable.
« Il paraît que les femmes ont une place en ce monde, mais qu’elles mettront un peu plus de temps à la trouver. » Abigail, Lisbeth, Samantha, Ellen, Maureen et Anton : dans un chariot en direction du Far West, elles sont cinq filles et un garçon aveugle, qui forment une famille d’enfants perdus et recueillis par Hidalgo, une fine gâchette française qui ne se résoudrait jamais à abandonner des orphelins à leur sort. Rêvant d’un monde nouveau et d’échapper à leur destinée, ils partent à la conquête de l’Ouest, tout en apprenant à se défendre contre les nombreux dangers de ces terres où les hommes ne sont pas moins sauvages que les animaux. Mais les fantômes du passé sont lancés à leurs trousses, et la vie leur sera un combat sans merci.
Il n’est plus là, c’est la seule certitude. En cours d’histoire, Livio a fait un exposé sur les autodafés nazis et Magnus Hirschfeld, un médecin juif allemand qui militait pour l’égalité entre hommes et femmes et les droits des homosexuels. Pour lui, c’était bien plus qu’un simple exercice : une revendication, un moment de courage, et peut-être un aveu. Mais il s’est heurté à la perplexité, à l’indifférence et surtout à l’hostilité de sa classe. Depuis lors, il a disparu et personne ne sait où il est. Sa plus proche amie Camille, sa professeure d’histoire, ses camarades, ses parents, tous interrogent le parcours de Livio et tentent de comprendre. Dans le creux de cette absence, résonnent tous les questionnements : ils auraient dû le voir venir, aucun ne l’a vu partir. Et si cette fuite était l’expression du courage ultime ?
Julie Maupin court les duels et dégaine à tout va. Elle se produit également sur les plus grandes scènes d’opéra. Elle aime se travestir, collectionner les amants et séduire les jolies femmes. Par amour, elle peut se lancer dans de folles aventures, quitte à mettre sa vie en jeu. Elle combat les préjugés de son temps et conquiert sa liberté pied à pied. Cette femme hors du commun a grandi à la cour de Versailles et traversé le XVIIe siècle telle une comète. Sa vie est un roman !








