Thème « conte »
On raconte qu’autrefois il existait un ogre, un tout petit ogre, qui habitait dans un soulier. Les ogres sont méchants, c’est bien connu. Mais si celui-ci n’était pas comme les autres ? Un conte de fées moderne, ode à la famille, à l’amitié et à la nature, par deux auteurs incontournables de la littérature jeunesse.
Il était une fois un prince arrogant et cruel qu'un sortilège métamorphosa en bête repoussante. Sous l'effet de cette magie, le prince perdit tout ce qu'il possédait et fut condamné à rester prisonnier de son palais. Il ne recouvrirait sa liberté que s'il apprenait à aimer...
Personne ne connaît l'origine de ce conte ni quand il a commencé. Pour certains, il a le même âge que le ventre rond de la femme qui attendait un enfant à aimer. Pour d'autres, il est venu au monde quand l'homme qui attendait un garçon dit : « Quand tu enfanteras, si c'est une fille, débarrasse-t-en ! si c'est un garçon, libère l'oiseau pour qu'il m'apporte la bonne nouvelle ! »
Au soir de sa vie, un vieil homme lègue deux graines à ses fils : à l’aîné, une graine de fougère ; au cadet, une graine de bambou. « Plantez-les dans la forêt en souvenir de moi. » Si la fougère recouvre vite le sol, rien ne pousse de la graine de bambou, au grand désespoir du plus jeune des frères…
La terrible sorcière Blanche règne sans partage sur son royaume. Crainte de tous, elle n'a aucun ennemi digne de ce nom. Sauf, peut-être, un petit garçon nommé Isaure, protégé par une étrange aigue-marine… Un conte médiéval où un enfant puise en lui le courage et l'audace de résister à la tyrannie.
En cette belle nuit, le ciel est sombre comme de l’encre. Des étoiles brillent, qui sont autant de pierres précieuses. Dans une maison des montagnes du pays de l’Est dort une enfant nommée Nisnoura. Tout semble normal, mais les apparences sont trompeuses…
Il était une fois un pont. Et sous ce pont vivait un terrible troll qui était quasiment mort de faim quand… Clip clop ! Clip clop ! un petit bouc bourru s’est avancé. Le troll a bondi sur ses pieds et s’est écrié : « Qui ose franchir mon pont ? » Apercevant le petit bouc, il s’est mis à danser de joie : « J’adore le bouc ! Du bouc au déjeuner, du bouc au dîner, mon petit bouc, je vais te manger ! »
Une nuit, Otilla s'est enfuie. Elle a couru longtemps à travers la forêt. Jusqu'à une maison isolée, où vivait un crâne. « Entre, a dit le crâne, je vais te montrer la maison ». Otilla a sympathisé avec son hôte, qui a lui aussi peur de quelque chose, quelque chose qui revient chaque nuit. La courageuse Otilla pourra-t-elle les sauver ?