Thème « conditions de vie dans les villes »
C’est le printemps. Télio vient d’emménager en ville dans sa nouvelle petite maison. Il y a tant à ranger ! Télio est éreinté. Il prend son doudou et se blottit dans son lit pour la sieste.
WOOO… WOOO… Dehors, il y a beaucoup de bruits ! « Un peu de silence, s’il vous plaît ! » demande Télio. Mais personne ne l’entend.
Anissa et François habitent à la Cité des Fleurs. La seule fleur de la Cité, c'est Anissa. Les seuls parfums de la Cité ce sont ceux que François et Anissa trouvent dans le dictionnaire : il y a les mots fleurs et les mots caca-de-chien. Les mots caca-de-chien, c'est pas trop leur truc. C'est plutôt celui du père de François, des mots comme « Bougnoules » dont François trouve qu'ils puent. Evidemment, il préfère les mots-fleurs, comme « Amour ». Mais là, François n'est pas forcément d'accord avec le gros dictionnaire. François et Anissa ont leur définition à eux du mot « Amour ».
À cause du nouveau travail de son père, Mila doit quitter son paradis terrestre en pleine nature pour la grande ville, triste et grise. Se laisser priver longtemps des plantes, des vagues, des arbres, des fleurs et surtout de la comète qu’elle a vue par une belle nuit ? Pas question. Riche de ses souvenirs, de ses rêves, de son sens de l’observation, de ses crayons et d’un peu de magie, Mila réagit.
Socrate est seul au monde : ses parents ont été emmenés à la fourrière peu après sa naissance; les chiens du quartier ne lui laissent que des déchets et personne ne veut l'adopter. Un jour qu'il erre dans les rues à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent, Socrate découvre un drôle d'objet qui s'adapte parfaitement à son museau. Des lunettes... Elles vont changer la vie de Socrate.
On est tous dans la gadoue ! Car c'est le rat qui prend tout ! Les chatons sont mis au trou, le bébé n'est plus à nous... Et notre lune est en courroux ! On est tous dans la gadoue, suivi de Jack et Guy, deux comptines illustrées par le grand Maurice Sendak.
« Tu voulais être peintre comme tout le monde et tu es devenu dessinateur comme personne. La rue t'appartient, Poulbot. Continue d'être le porte-parole de ces pauvres gosses. » Avec Poulbots, Patrick Prugne change d’univers et met en scène le quotidien d’une bande de gamins sur fond de vieux Paris, avec les personnages et les lieux emblématiques du Montmartre de l’avant-guerre.





