Thème « conditions de vie dans les villes »
Anissa et François habitent à la Cité des Fleurs. La seule fleur de la Cité, c'est Anissa. Les seuls parfums de la Cité ce sont ceux que François et Anissa trouvent dans le dictionnaire : il y a les mots fleurs et les mots caca-de-chien. Les mots caca-de-chien, c'est pas trop leur truc. C'est plutôt celui du père de François, des mots comme « Bougnoules » dont François trouve qu'ils puent. Evidemment, il préfère les mots-fleurs, comme « Amour ». Mais là, François n'est pas forcément d'accord avec le gros dictionnaire. François et Anissa ont leur définition à eux du mot « Amour ».
Monsieur Henri vivait à l’arrêt de bus Flore depuis si longtemps que plus personne, ou presque, ne le regardait.
À cause du nouveau travail de son père, Mila doit quitter son paradis terrestre en pleine nature pour la grande ville, triste et grise. Se laisser priver longtemps des plantes, des vagues, des arbres, des fleurs et surtout de la comète qu’elle a vue par une belle nuit ? Pas question. Riche de ses souvenirs, de ses rêves, de son sens de l’observation, de ses crayons et d’un peu de magie, Mila réagit.
Dans la forêt vivait un petit opossum. C’était le plus heureux des animaux de la fôret : il souriait tout le temps. Un jour, des gens passèrent près de son arbre. Ils trouvèrent qu’il avait l’air triste. L’opossum avait beau leur dire qu’il était très heureux, ils ne le croyaient pas. Ils décidèrent de l’emmener à la ville pour lui redonner le sourire…
Un père (pauvre) et sa fille, une mère (fortunée) et son fils se rendent au parc…
Voici enfin réédité le récit initial, à une seule voix, de cette promenade reprise vingt ans plus tard dans Une histoire à quatre voix.
Promenade au parc est en effet l’unique exemple dans l’oeuvre d’Anthony Browne d’un livre publié puis retravaillé jusqu’à la refonte. Une ouverture vertigineuse sur son univers et son travail de création. Ces deux albums peuvent évidemment être lus indépendamment l’un de l’autre, mais les confronter est un jeu fascinant, aussi passionnant qu’enrichissant !
Socrate est seul au monde : ses parents ont été emmenés à la fourrière peu après sa naissance; les chiens du quartier ne lui laissent que des déchets et personne ne veut l'adopter. Un jour qu'il erre dans les rues à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent, Socrate découvre un drôle d'objet qui s'adapte parfaitement à son museau. Des lunettes... Elles vont changer la vie de Socrate.