Thème « comptine »
À l'usage des plus grands, un recueil de toutes ces formulettes traditionnelles qui, depuis des siècles, font les délices des tout-petits.
On a beau être un loup-garou... on n'en est pas moins élégant !
Dans la même collection, retrouvez : « Je m'habille et je t'apporte un cadeau », « Je m'habille et je pars au galop », « Je m'habille et je te transforme en crapaud », « Je m'habille et je vais danser », « Je m'habille et je me couche » et « Je m'habille et je décolle »
« Promenons-nous dans les bois Pendant que le loup n’y est pas Si le loup y était, il nous mangerait Mais comme il n’y est pas Il nous mangera pas ! »
Geoffroy de Pennart détourne la célèbre comptine pour notre plus grand plaisir !
Qui peut croire encore que la vie d’un petit enfant soit répétitive et routinière ? Il suffit d’ouvrir l’un des quatre volumes des aventures d’Amir pour se convaincre du contraire. Au bord de la mare, avec maman canard et ses cinq petits, pendant la sieste avec une mouche espiègle, dans la grange à foin avec des bébés chats, sur le chemin de la crèche, avec un tracteur vert, la vie d’Amir est un festival de jeux et de surprises. Une seule chose revient régulièrement : les bonnes tartines du goûter. Mais après tout, on peut très bien changer de confiture…
Quand on marche à quatre pattes, on ne voit pas le monde comme les grands. Un fauteuil blanc est un mouton, la bibliothèque un énorme gratte-ciel !
Boum badaboum ! La cerise tombe sur la tête de l’oiseau.
Boum Badaboum ! L’oiseau tombe sur le chat. Qui tombe sur le chien. Qui tombe sur le mouton. Qui tombe sur le taureau.
Boum badaboum ! Et… badaboum !
C'est l'histoire d'une toute petit dame, qui avait une toute petite maison, un tout petit tabouret, une toute petite chaise, une toute petite table, un tout petit seau à lait et un tout petit chat qui avait... grand faim !
Un bel oiseau dodu aperçoit un beau ver dodu mais un beau chat dodu surgit et l'oiseau s'envole ; arrive alors un beau chien dodu...
Comme il est amusant de se promener dans le bois en chantant « Loup y es-tu ? » Et la réponse est tout aussi amusante : « Oui, je mets ma culotte. » Mais quand le loup se montre... aïe !
L'araignée Gypsie monte à la gouttière. Tiens, voilà la pluie, Gypsie tombe par terre. Mais le soleil a chassé la pluie… Et la suite, vous la connaissez ?
Sur Internet, la célèbre comptine « Cerf, cerf, ouvre-moi, ou le chasseur me tuera » semble une source inépuisable de variations, tantôt tragiques, tantôt comiques… mais ouf, l’illustration qu’en donne Jutta Bauer est tout simplement la plus belle ! Dans une forêt lumineuse, aux couleurs d’automne, puis d’hiver, puis de printemps, les animaux trouvent refuge l’un après l’autre dans la cabane du cerf. Et quand c’est le chasseur qui vient pleurer misère et crier famine, sans cynisme aucun, sans malice, il est accueilli à son tour.
Une grande sœur entraîne son petit frère dans la forêt, au risque de rencontrer le Grand Méchant Loup… Et bien sûr ils finissent par le trouver !
C'est jour de sortie à l'école maternelle. Les enfants se préparent à aller au bois, chaussures, manteaux, chapeaux, gants, il faut bien se couvrir... « Prom'nons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas, si le loup y était, il nous mangerait ! Loup, y es-tu ? M'entends-tu ? Que fais-tu ? »
Jamais on n’a vu, jamais on ne verra la famille tortue courir après les rats. Le papa tortue et la maman tortue et les enfants tortue iront toujours au pas…
C'est nul ! La voiture est en panne et Isidore est obligé d'aller à l'école à pied. Il est accompagné par d'autres enfants du quartier, qui semblent tous très joyeux de marcher pendant des kilomètres. Ils sont zinzins ! Mais… que de choses à voir ! Allez, Isidore, un petit effort !
Il suffit parfois d'un rien pour que l'on se réveille avec l'irrésistible envie d'aller chasser l'ours en famille - un ciel radieux, des enfants audacieux… Seulement voilà : qui chasse l'ours finit par le trouver et c'est là que les choses se gâtent !