Thème « comportements sociaux »
C'est l'hiver, il fait très froid, et le chauffage ne marche plus chez Kipic, le hérisson, ni chez Casse-Noisette, l'écureuil. Heureusement qu'il y a Touffu, le lapin angora!
Gaston l’éléphant vient juste d’emménager au cinquième étage d’un immeuble dans lequel il ne connaît encore personne. Il a décidé d’inviter tout le monde à dîner, pour se présenter. Mais, alors qu’il descend coller son invitation dans le hall, il trouve sur chaque palier un objet perdu… Son imagination galope : cette cuillère doit être celle d’une sorcière, et cette dent, celle d’un champion de boxe ! Et ce parfum qui flotte dans l’air ? Gaston a beaucoup d’imagination, et pourtant il va avoir une sacrée surprise…
C'est l'automne ! Avec son beau chapeau et son beau râteau de jardinier, Anton a rassemblé un énorme tas de feuilles mortes. Elles sont toutes là ! Ah non… Il en manquait une.
Vite ! Elle s’échappe, elle s’envole, elle décolle.
Pour l’attraper, Anton appelle à l’aide ses amis Lukas, Greta et Nina. Ils ne seront pas trop de quatre.
Cette feuille est très désobéissante ! On dirait qu’elle se moque d’eux. Ouf, ça y est… la feuille est ramassée. Mais au fait, qui l’a trouvée ?
Attirer l'attention des filles, ce n'est pas du gâteau. Anton est prêt à tout. Il a des accessoires, des idées et de grands projets. Mais les filles ne le regardent pas. Les filles ne le regardent jamais. Anton a du courage, Anton est persévérant, il prend des risques, fait tout comme un grand, veut croire à l'impossible jusqu'à... LA CATASTROPHE ! Mais cette fois, c'est gagné, les filles n'ont d'yeux que pour lui !
Dire joyeusement « Bonjour ! » à tous ceux que l’on croise ? C’est la philosophie et l’habitude de Nine et de Mo, son canard. Une excellente façon d’entretenir ses vieilles amitiés, mais aussi de se faire de nouveaux amis à chaque coin de rue ! En route vers la mer, voilà donc Nine et Mo qui saluent leurs connaissances et des inconnus, comme la drôle de mouche qui les suit, la mer et tous les poissons ! Même le jour qui finit aura droit à une salutation ce soir, en espérant qu’il reviendra demain…
D’où vient ce fil rouge accroché à une branche ? Pour le savoir, le petit chat qui l’a trouvé se met à le suivre. Bientôt, un autre chat lui emboîte le pas, puis un autre, et ainsi de suite. Ils traversent la ville, le lac, la forêt, le pont suspendu… et quand ils arrivent au but, au cœur de la montagne, dans la neige, ils sont cent petits chats épuisés et frigorifiés. Heureusement, une bonne surprise les attend !
Cousa n’aime pas trop raconter. Aussi, quand sa grand-mère, au repas du soir, lui demande si elle a passé une bonne journée, elle répond seulement : « Oui, grand-mère, très bonne. »
En fait, c’est une première journée de vacances extraordinaire que Cousa vient de vivre. Ses frères ne voulaient pas jouer avec elle ? Tant pis. Elle est sortie, elle est allée jusqu’à la rivière, elle s’est baignée et, là, un ours géant est arrivé, et il s’est approché tout près… Mais ça, c’est son secret.
Sur Internet, la célèbre comptine « Cerf, cerf, ouvre-moi, ou le chasseur me tuera » semble une source inépuisable de variations, tantôt tragiques, tantôt comiques… mais ouf, l’illustration qu’en donne Jutta Bauer est tout simplement la plus belle ! Dans une forêt lumineuse, aux couleurs d’automne, puis d’hiver, puis de printemps, les animaux trouvent refuge l’un après l’autre dans la cabane du cerf. Et quand c’est le chasseur qui vient pleurer misère et crier famine, sans cynisme aucun, sans malice, il est accueilli à son tour.
Lapinou n’aime pas du tout quand les grands lui disent bonjour. Des étreintes, des secousses dans tous les sens, des bisous baveux…Au secours ! Et le pire, c’est que sa maman voudrait l’obliger à répondre. Et puis quoi encore ?
Un jour, pourtant, Lapinou est bien content de retrouver toutes ces grandes personnes avenantes sur son chemin. C’est le jour de sa rencontre avec un loup qui, lui aussi, veut des bonjour, mais qui est bien trop poli pour être honnête…
Petite ourse a grandi. C’est le grand jour : à son tour de quitter la grotte paternelle. Quel bonheur ! Vite, en route ! À l’aventure ! Mais Papa ours, lui, est songeur. Après lui avoir préparé un baluchon bien garni, il la met en garde : « Sois prudente, petite ourse, le monde est plein de surprises ! »
Petite ourse écoute à peine. Pourtant, elle va bientôt faire une drôle de rencontre et elle sera bien contente que Papa ours ait pensé à tout en remplissant son baluchon…
À la naissance de ses petits, Madame Coincoin fut très déçue car elle les trouvait tous plus vilains les uns que les autres. Seul le plus jeune lui plaisait. Elle le prit tout de suite sous son aile: « Tu t'appelleras Martin, mon petit canard chéri. » Les autres canetons ne reçurent même pas de noms. Et quand ils pleuraient, leur mère s'écriait : « Moins de bruit, je parle avec Martin. » De l'avis de Madame Coincoin, Martin faisait tout bien. Il nageait merveilleusement et comprit tout de suite l'art de la pêche. Ses frères et soeurs, qui devaient se débrouiller sans conseils ni assistance, le prirent en grippe. « Martin Chouchou ! » criaient-ils. Mais à l'heure de vérité, un caneton trop couvé est bien défavorisé... pour ne pas dire carrément en danger. Et le meilleur moyen de rivaliser avec un chouchou, c'est finalement... de lui sauver la vie. Voilà qui devrait clouer le bec à Madame Coincoin. Au moins provisoirement.
Castor-Têtu est à la recherche de la squaw idéale. Se pourrait-il que la bien-nommée Fleur-de-Cactus fasse l'affaire, elle qui ne correspond à aucun des critères indispensables ?
Des pluies torrentielles se sont abattues sur la vallée où vivent Foufours et Grisli. Elle risque d'être inondée, les maisons emportées, les arbres arrachés. Il faut faire quelque chose très vite. Tous les habitants de la vallée sont prêts à unir leurs forces. Les castors, qui s'y connaissent en construction de barrages, sont déjà au travail. Mais il y a quelqu'un qui n'a pas envie d'y mettre du sien : Ouakari. Lui aussi adore sa vallée et il sait exactement ce qu'il faut faire pour la sauver des eaux. Seulement voilà : il est fâché contre tout le monde, parce que tout le monde s'est toujours moqué de lui, à cause de sa drôle de tête. Foufours arrivera-t-il à l'amadouer ?
Foufours a un nouveau voisin, qui s 'appelle Grisli. Chaque jour, Grisli vient lui emprunter quelque chose: des planches, une échelle, une brouette. « Il ne te les rendra jamais. Tu es trop naïf », dit Glouton à Foufours. Mais Foufours a toujours confiance...
Par une nuit d'hiver très étoilée, Filibert le chat et Raton le rat grelottent sur une gouttière. Filibert n'irait pas jusqu'à manger son ami, mais il a vraiment très faim. Tout à coup, Raton aperçoit un « bonnet ordinaire », dit-il à Filibert. « Mets-le, et on te donnera dans chaque maison une part de gâteau et un petit verre de lait. Il te suffit de descendre par la cheminée »...
Tous les matins, Grand-Père le solitaire prend sa pipe, ses lunettes, son chapeau, son pliant, une pomme et un bon livre et s’en va lire au grand air, au bord de la rivière. Ce matin, rien ne va plus. Il perd ses cheveux, ses dents, son chapeau, sa pipe, laisse tomber son livre et casse ses lunettes… Le voilà forcé de retourner chercher sa deuxième paire. Mais chut !
En son absence, quelqu’un s’est glissé sous le chapeau, a mis la pipe au bec… bref, s’est déguisé en Grand-Père.