Thème « collège, lycée, professeur »

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Neuf / 9782211066204 / 7.50 € / Disponible

Ne pas ressembler aux autres, quand on est une élève de cinquième, c'est, par exemple, s'intéresser au latin. Ne pas s'y intéresser comme une petite fille modèle, pour faire plaisir aux parents qui pensent que la vie sans langue morte ne vaut pas la peine d'être vécue. Ne pas s'y intéresser comme une fayote, pour récolter des bonnes notes en version et l'estime de son prof. Non, s'y intéresser pour soi, pour son plaisir, pour la joie profonde de découvrir qu'injuria veut dire injustice, et liber, libre comme livre. Or dans un monde de brutes où intello (de intellegere = comprendre) est devenu une insulte, Monelle se sent parfois très seule et très découragée. À quoi bon s'intéresser à tout quand tout n'intéresse pas les autres ? Et au fait, à quoi s'intéressent ces fameux autres ? Pour leur plaire, Monelle serait prête à devenir un cancre...

Neuf / 9782211324052 / Disponible

Personne ne remarque Jérémie au collège, personne ne lui adresse la parole. Forcément, il est arrivé là après les vacances de Noël : c’était trop tard, les groupes étaient déjà faits. Alors il est devenu invisible… Il n’a pas d’amis, mais il a la paix. Et puis, sa mère lui a payé un vélo. Quand il s’ennuie, Jérémie prend son vélo et fait des tours dans le quartier. C’est peut-être comme ça qu’il va se faire des amis ? Par hasard ? À moins de ne pas faire confiance au hasard, et de se débrouiller pour rencontrer Lily, la seule fille de sa classe à qui il a envie de parler.

Neuf / 9782211051736 / 7.50 € / Disponible

Il s'appelle Ulysse Colmar, il est nouveau au collège. Il est plutôt sympa, dans le genre bien élevé. Il n'arrive jamais chez quelqu'un les mains vides. Il est un peu trop bien habillé. Il est très bon en classe, il fait ses devoirs en dix minutes et ne refuse pas son aide, au contraire. Il a des choses à raconter, il a vécu au Brésil et en Afrique du Sud. Il a besoin d'un ami et il a choisi Thomas. Et c'est là que les choses se gâtent...

Neuf / 9782211046817 / 9.50 € / Disponible

Dans la sixième de Raph, tout le monde est très cool, on s'habille classe, et les garçons jouent à la balle contre le mur pendant que les filles les encouragent. La sixième, en soi, c'est bien. Il y a des éviers dans la salle de physique, la prof de sciences nat est « bourrée » de maquillage, et en gym, on apprend à faire de la boxe, la vraie, avec des gants. Parfois aussi, on va au bois de Vincennes pour faire du foot, mais pas longtemps, parce qu'il faut trois quarts d'heure pour y aller et trois quarts d'heure pour en revenir. Il y a les copains, bien sûr : Caroline, qui frime avec sa montre calculatrice, Jean-François, qui est tellement poli que c'en est énervant. Il y a Siri, la soeur adoptive de Raph, qui vient du Cambodge. Elle reçoit pas mal de lettres d'amour, y répond avec sérieux mais bizarrement, elle finit toujours par être très fâchée contre ses soupirants. Il y a surtout Abdul, qui lit Play Boy, fume des Gauloises et a une méthode très sûre pour draguer. (Pour le lecteur impatient, les conseils d'Abdul sont au chapitre sept). Dans la sixième de Raph, on ne laisse pas son cerveau se ramollir, ni pendant, ni entre les cours : on fait des blagues au premier, au deuxième et au troisième degré. (Pour ceux qui ne sauraient pas ce qu'est le troisième degré : « C'est quand on sait que l'autre va déjouer ce qu'on va faire, et on fait quelque chose pour déjouer ce que l'autre voulait faire pour déjouer ce qu'on allait faire. ») Cédric, lui, fait des blagues au niveau moins un, mais c'est un cas à part et d'ailleurs il est dans une autre classe. On discute aussi beaucoup pour savoir si ce sont les Américains ou les Russes les plus forts. Et fatalement, on discute des profs, de leurs problèmes, de leurs lacunes, de leur façon aberrante de mettre des notes. Mais les injustices les plus graves ne sont pas forcément celles qu'on croit. Dans la sixième de Raph, il y a ceux qui sont furieux quand ils n'ont que treize et demi et ceux qui sautent de joie quand ils ont un zéro...

Médium / 9782211214032 / 9.50 € / Disponible

J’ai un superpouvoir. Si j’avais pu choisir, j’aurais pris Superman, Batman, ou Dieudufoot, comme tout le monde.
Mais je n’ai pas eu le choix. Je n’ai rien demandé. Mon superpouvoir m’est tombé dessus un jour à la récré. J’ai transmis un message à une fille de la part d’un garçon, et hop, c’était parti. Elle était amoureuse de lui. Désormais, ça marche à tous les coups, pour tout le monde, sauf un.
Mon pouvoir, je n’ai pas le droit d’en profiter moi-même pour que Célia Walkington, la plus belle fille du monde, me dise oui plutôt que non. C’est injuste, et c’est dur à supporter. Heureusement, je ne suis pas seul dans l’épreuve. J’ai mon chien, Tilby, mon petit frère, Milo, ma meilleure amie, Dorothée. Et puis madame Yvonne, qui est très vieille et très cultivée. C’est elle qui a trouvé le nom de mon superpouvoir, celui du dieu de l’amour dans l’Antiquité : Cupidon, Cupidon Power.
C’est elle aussi qui va me donner quelques idées pour l’utiliser autrement…

Médium / 9782211239363 / 14.50 € / Disponible

On les appelle les EANA : les élèves allophones nouvellement arrivés. Ils viennent d’un peu partout. De Bulgarie, de Turquie, de Corée, de Grande-Bretagne ou, comme Luca, de Roumanie. Ils sont là pour un temps ou pour longtemps. Ils viennent avec leurs histoires, simples ou heurtées. C’est peut-être le travail de leurs parents qui les a amenés là, ou bien l’absence de travail. Parfois l’espoir, parfois l’absence d’espoir. Ils parlent un français dansant, boiteux, drôle. Ils portent des rêves puissants et fragiles, celui de devenir champion de Rubik’s Cube ou virtuose du violon. C’est pour toutes ces raisons qu’ils sont venus à Paris, dans la Ville lumière. Mais la lumière a aussi ses ombres.

Médium / 9782211048538 / 7.50 € / Disponible

Mathilde ne sait pas ce qui l'a poussée à intégrer un cours de théâtre. Dès le premièr cours, elle s'aperçoit qu'elle n'aime pas ça. Était-ce la perspective de s'amuser un peu entre deux révisions pour le bac ? L'envie de faire partie d'une troupe ? Ou tout simplement le destin qui a décidé de lui faire retrouver Fabrice, dont elle était amoureuse quand elle était petite et qu'elle n'avait pas vu depuis dix ans.
Elle joue Camille d'On ne badine pas avec l'amour, et lui joue Perdican. Ce serait plus facile si elle se sentait douée pour jouer la comédie et si la présence de Fabrice ne lui faisait pas perdre ses moyens. La voilà obligée de lui répéter : « Oui, nous nous aimons, Perdican ; laisse-moi le sentir sur ton coeur. Ce Dieu qui nous regarde ne s'en offensera pas ; il veut bien que je t'aime : il y a dix ans qu'il le sait », tout en subissant les invectives de Menthor, le metteur en scène : « Camille, on ne t'entend pas ! » 
Tout est artificiel, au théâtre, se dit Mathilde, même l'acte de respirer. Elle est trop fine et trop lucide pour ne pas voir le plaisir qu'éprouve Menthor à faire preuve d'autoritarisme et à pousser ses élèves à bout. Elle n'apprécie pas non plus le stage censé souder la troupe et exalter les émotions. Et pas davantage les séances d'improvisation : « J'avais beau chercher au fond de moi-même, rien ne se faisait entendre. J'étais vide de toute émotion. Je cherchais à retrouver les événements tristes et douloureux de mon existence et me concentrais sur l'épisode de la mort de ma grand-mère, repassant toute la cérémonie, jusqu'au cimetière, sans cependant parvenir à éprouver quoi que ce soit. Sauf la honte d'avoir recours à une telle méthode. Le théâtre procédait d'une malhonnêteté fondamentale. » L'année se passe entre répétitions, révisions, soirées barbecue, concerts de rock amateur et accrochages inévitables avec les parents. Fabrice, en bon Perdican, flirte avec Mathilde pour ensuite la laisser dans l'expectative...
Dominique Souton fait la chronique de cette année charnière avec beaucoup d'humour, de sincérité et un sens du raccourci jubilatoire.

Médium / 9782211048163 / 7.50 € / Disponible

Thalie a dix-sept ans et passe son bac dans quelques semaines. Elle est moins traumatisée par cette échéance que par l'annonce du départ prochain de sa meilleure amie, Louise. La mère de Louise a décidé de quitter Paris pour Avignon. Thalie ne supporte pas cette idée et supporte encore moins la philosophie avec laquelle Louise prend les choses. Il ne lui en faut pas davantage pour se sentir rejetée, et ses crises de susceptibilité détériorent peu à peu leurs relations. C'est pourquoi elle ne parle pas à Louise de Maxence, le garçon de vingt-cinq ans que vient de lui présenter sa cousine. Et pourtant cette rencontre la préoccupe elle aussi davantage que ses révisions. Il s'appelle Maxence de Creusolles. Il travaille comme assistant sur des films et réalise ses propres courts-métrages. Il vit dans le XVIe arrondissement et, selon la cousine de Thalie, il est responsable de la mort accidentelle de son père, avec qui il ne s'entendait pas du tout. Thalie le déteste et ne cesse de penser à lui. Elle le trouve prétentieux, insupportable, mais lorsqu'elle apprend qu'il a demandé son numéro de téléphone, elle se surprend à attendre fébrilement son appel. Comment peut-on souhaiter une chose tout en la redoutant ? Et qui est-il, ce Maxence à la réputation de tombeur, qui jette sans cesse des coups d'oeil inquiets autour de lui, « comme un animal traqué » ? Est-ce un snob ou simplement un jeune homme passionné par ce qu'il fait ? Est-il fragile ou au contraire très sûr de lui ? Est-il froid, ou simplement attentif et discret ? Ce qui est certain, c'est que, pour Thalie, cette année, plus que celle du bac, sera celle de sa première passion.

Médium / 9782211096478 / 8.50 € / Disponible

« Les enfants, je vous présente, Liouba Gogol », a dit M. Dubeuf au moment où elle pénétrait dans la salle.
Personne n’a ri. C’était comme si une averse de neige s’était soudain abattue sur la salle. J’ai pensé à toutes les fois où j’avais traité Djézone de gogol et j’ai eu honte. Je n’étais pas la seule. Nous étions collectivement victimes d’un retournement de sens.
À partir de cette seconde, gogol ne voulait plus dire débile, ça voulait dire un mètre soixante-dix, un visage en triangle, des joues roses, des yeux verts, un chignon blond à moitié défait, une bouche très rouge et de longues mains de pianiste. »
Dès l’instant où la plus belle fille du monde débarque dans sa classe, Sandra, la narratrice de cette histoire, sait que plus rien ne sera comme avant…

Médium / 9782211230117 / 13.00 € / Disponible

Personne ne s’imagine mourir d’un coup, forcément. Personne ne sait ce que contient le sac de Norbert. Sauf nous trois, Lalie, Jordan et moi, David. Et Norbert bien sûr puisqu’il a osé la prendre et l’emporter en classe avec lui, cachée dans son sac. « Il est complètement malade. Il peut nous tuer d’une seconde à l’autre. »

Quatre amis découvrent une grenade dans un vieux manoir datant de la Deuxième Guerre mondiale. Que faire avec cette grenade ? La laisser là ou l’amener au collège quand on est soi-même sur le point d’exploser ?

Médium / 9782211231008 / 17.00 € / Disponible

En apprenant qu’il entrait en cinquième au collège des Museaux, Elliot s’était dit qu’il allait pouvoir y changer de vie. Tu parles ! Il n’y a pas de réseau, les profs sont complètement barges, les élèves, nourris au quinoa. Sans compter que quelqu’un a fouillé sa chambre. Il sait bien ce qu’on y cherchait : un objet précieux caché dans ses bagages, un souvenir de son ancienne vie…

Médium / 9782211336918 / 13.00 € /

Je m'appelle Jonas. J'habite à Nantes. J'ai treize ans. Et je sais pas trop ce qui m'arrive avec les filles. J'ai vu des images qui m'ont mis dans des états étranges. J'ai des envies que je ne comprends pas. Mon corps ne me répond plus tout à fait. Et si les autres s'en rendaient vraiment compte, qu'est-ce qui m'arriverait ?

Médium / 9782211097185 / 11.20 € / Disponible

11 octobre : Areski a trouvé un nom pour le groupe. Blanche-Neige et les sept nains. Ce n’est pas que ça m’ennuie de faire Blanche-Neige, mais les garçons ne sont que cinq. Donc, inutile d’y penser plus longtemps, voilà ce que j’ai dit. Mais justement, a répondu Areski, c’est comme pour les trois mousquetaires. Un clin d’oeil. Un clin d’oeil ?
– Je ne vois même pas de quoi tu parles.
– Des trois mousquetaires.
– Et alors ?
– Ils étaient quatre.
– Comment tu le sais ?
– Tu n’as pas lu le livre ?
– Quel livre ?
Les Trois Mousquetaires, bien sûr.
– C’est le titre ?
– Ben oui, c’est le titre. Qu’est-ce que tu veux que ce soit ?
– Je ne sais pas, moi… Les auteurs ?
J’en ai plein le dos, de tous ces bouquins que je ne connais pas. Areski était mort de rire. Il a raconté l’histoire aux autres nains au fur et à mesure qu’ils arrivaient de la mine. Et tous les nains de se gausser joyeusement.

Dans ce troisième tome très attendu de son journal, Aurore se met à l’écriture de chansons de rock et à la rédaction de fiches de lecture pour le cours de français. Avec l’humour qui la caractérise, Marie Desplechin a laissé libre cours à la verve créatrice de son héroïne. Elle qui a toujours été une excellente élève, s’est beaucoup amusée à imaginer les commentaires d’Aurore sur des classiques de la littérature comme La Princesse de Clèves ou Tristan et Yseult.

Médium / 9782211302166 / Disponible

« Je n’ai pas choisi d’entrer en sixième k, je n’ai pas choisi non plus de faire cinquante trois fautes d’orthographes par dictée. À côté de moi, un type écrit sur la table « Le collège : c’est plus facile d’y rentrer que dent sortir. » Je ne suis pas sûr que collège prenne deux l, je décide d’appeler l’individu « Dent » et de m’en faire un copain. (…) 11h30 Cantine (Eh oui déjà, même si t’as pas faim, tu manges) 14h00 Contrôle d’Anglais : je rate. 15h00  Interro de maths : je foire. 16h00 Exposé de français : je dors. 17h00 Grille du collège : je sors. »

Médium / 9782211319492 / Disponible

Dans son collège niçois, Nina pensait être la seule à s’indigner contre le réchauffement climatique, mais depuis son discours enflammé à la cantine, elle s’est découvert des alliés. Yona, la nouvelle élève venue de Paris, et Antonin, son meilleur ami, se sont rangés à ses côtés. A trois, ils ont décidé de lancer un site internet baptisé Les Vertuoses pour informer et sensibiliser le public. Bientôt, les apprentis militants sont rejoints par d’autres élèves, mais aussi des adultes, des migrants… toute une communauté de bonnes volontés.

Médium / 9782211239004 / Disponible

Félix Thomassin rêvait d’avoir un chien pour son anniversaire, mais à la place de la boule de poils qu’il attendait, ses parents lui ont offert un bouledogue à piles qui remue la queue quand on l’active. Félix s’inquiète. Ce chien-robot va t-il le faire redescendre illico dans la catégorie des « bolosses », lui qui avait eu tant de mal à en sortir ? Au contraire ! L’animal en plastique fait sensation parmi les gens de sa classe. Imaginez ! Il parle ! Il répète même tout ce qu’il entend autour de lui. Le meilleur comme le pire. Surtout le pire...