Thème « cinéma »
Kkrrk, bam, ouiiink…
Tiens, il y a des bruits bizarres dans la maison. Qu’est-ce que ça peut bien être ? Les toutous sont très effrayés. Et s’il y avait un fantôme dans le grenier ?
Mine s'ennuie lorsqu'arrive Poka : « On va au cinéma, mets ta veste, petite Mine. »
Poka attend Mine... Qu'est-ce qu'elle fabrique. « Ah, non ! Pas tes peluches, Mine ! »
« Mais Poka, elles n'ont jamais été au cinéma ! ».
Igor n’avait jamais imaginé être un jour en haut de l’affiche… et pourtant ! Lorsqu’un zigoto en costume sonne à sa porte pour lui proposer d’être la vedette du prochain film du grand réalisateur Otto Karskholer, Igor reste pantois. Mais pourquoi lui ? Il ne connaît rien au cinéma !
Dans leur poubelle, Chien Pourri et Chaplapla passent le temps : Chaplapla compte les peaux de bananes et Chien Pourri feuillette hot-dog magazine pour tous les chiens qui aiment le 7e art et les saucisses. Justement, à côté d’eux est tourné le dernier 00 Sec avec la star Brave Pit dans le rôle principal. Chien Pourri croise alors la route du réalisateur Pascal Truffe qui l’engage pour le faire jouer dans Le chien des rues, un drame réaliste… Chien pourri obtiendra-t-il l’Oscar du meilleur chien étranger ?
Maudit soit le jour où cet imbécile a franchi les frontières du royaume ! Aujourd’hui, c’est le pompon, la princesse a le culot de me demander si je peux les emmener faire un tour ! TOUS LES DEUX ! Plutôt mourir que de les entendre se bécoter sur mon dos ! Mourir, peut-être pas, mais s’en aller, changer de vie, certainement !
Drôle de nuit pour Virgile, dont les parents travaillent dans le cinéma. Le petit garçon se réveille dans une maison envahie par des monstres bizarres : l'un est poilu avec un long cou, l'autre possède un oeil énorme... Courageusement, Virgile traverse le décor familier de sa vie soudain transformé en terrain d'aventures. Il fait sombre, tout l'effraie mais au loin, là-bas, il aperçoit de la lumière. La traversée de Virgile est l'occasion de faire connaître aux enfants les différents métiers du cinéma, ses instruments, ses coulisses.
C'était en 1903, j'avais neuf ans. Un soir, ma tante Arthémise était venue dîner et, comme c'était l'anniversaire de mon frère, elle lui avait offert un appareil photographique. « Ma chère Aurore, ne sois pas jalouse ! » Ma tante me taquinait. « J'ai aussi un cadeau pour toi ! Demain et pendant trois jours, je t'emmène chez Monsieur Méliès pour faire du cinématographe ! ». « Le cinématographe ? Qu'est-ce que c'est que cette invention ? » demanda mon papa en regardant sa sœur de travers. Je n'avais pas vu le temps passer, rêvant de ma rencontre avec Monsieur Méliès, le créateur des spectacles cinématographiques. C'était un grand magicien qui savait tout faire, aussi bien inventer des trucages géniaux, que de fabriquer sa première caméra... Et qui créa tous ces films féériques, mystérieux et drôlatiques dont j'ai encore la nostalgie. Pourquoi ces films ont-ils disparu ? J'aimerais tant les revoir !
Oscar est fasciné par le cinéma. Il vit dans un rêve en compagnie de ses héros préférés et communique peu avec ses parents. Un jour, en traversant le parc, il voit un homme étrange qui se livre à une bien curieuse chorégraphie. Oscar le croit acteur, mais Monsieur Wang le détrompe...
Thomas a rendez-vous avec le docteur Zblod qui ne l’ausculte pas, ne regarde ni sa gorge ni ses oreilles.
Ce n’est pas ce genre de docteur.
C’est un spécialiste des angoisses et des cauchemars.
On peut lui dire tout ce qui nous passe par la tête, a dit maman. Thomas craint que cette phrase n’agisse comme une malédiction, et que n’importe quoi, absolument n’importe quoi lui passe par la tête.
« – Les cauchemars que tu fais le jour, est-ce que ce sont toujours les mêmes ? a demandé le docteur.
– Il y en a plusieurs sortes. Mais il y en a un qui revient plus souvent que les autres.
– Est-ce que je peux te demander de quel cauchemar il s’agit, si ce n’est pas indiscret ?
C’était un moment important, parce que j’allais prononcer le nom qui compte le plus dans ma vie. »
Le nom qui compte le plus dans la vie de Thomas, depuis qu’il a vu le film, c’est celui de Nanouk l’Eskimo.
Tout a commencé par un film d’horreur. « Ce n’est pas de ton âge, Michel », m’avait pourtant prévenu Petit Vampire. Mais on est quand même allés voir Le Commando des morts vivants. Les zombies nazis étaient effrayants, mais comme c’était du cinéma, ça allait. Le problème, c’est que ces affreux sont revenus le soir, dans mon rêve. J’ai inventé une porte et ils sont partis, ouf ! Sauf que je ne savais pas où menait cette porte. Et puis Marguerite est arrivé pour me dire de venir vite, parce que d’horribles zombies avaient débarqué chez Petit Vampire...
Petit Vampire est disponible en BD chez Rue de Sèvres. Retrouvez les tomes 1, 2 et 3 sur le site des éditions Rue De Sèvres.