Thème « chat »
Une petite fille en rouge a disparu en allant chez sa grand-mère. Ca ne vous rappelle rien ? En tout cas, dans son coin, John Chatterton enquête...
Lundi, j'ai tué un oiseau. C'est vrai. Ellie, ma maîtresse, a sangloté si fort en me serrant contre elle que j'ai cru me noyer. Mais dites-moi, qu'est-ce que je suis censé faire quand une petite boule de plumes m'arrive entre les pattes ? Je suis un chat, tout de même. Mercredi, j'ai rapporté une souris morte à la maison. Je ne l'avais même pas tuée mais Ellie a encore beaucoup pleuré.
Le journal d’un chat assassin a été adapté en BD par Véronique Deiss, d’après le texte de Anne Fine, chez Rue de Sèvres. Retrouvez le Tome 1 de la BD sur le site des éditions Rue De Sèvres.
C’est Noël dans la poubelle de Chien Pourri. Son ami Chaplapla est bien décidé à passer le réveillon dans une maison. Mais qui voudrait d’un chien mité et d’un chat écrasé un soir de fête ? La famille Noël, peut-être ? Quand Chien Pourri gratte à leur porte, il tombe à pic. Marie-Noëlle est ravie d’avoir enfin trouvé le pire cadeau à offrir à son frère, Jean- Noël. Au pied du sapin, la guerre des cadeaux pourris peut commencer.
Il y a de cela fort longtemps, au coeur de la vieille ville de La Rochelle, il y avait un orphelinat. Là vivait Gervaise, une jeune fille de onze ans qui s’ennuyait affreusement terriblement. Or, cher lecteur, d’ici quelques pages, Gervaise va faire une rencontre des plus exceptionnelles. Bientôt, elle filera de toit en toit dans la nuit, cheveux aux vents, affrontant les pires dangers aux côtés des fiers brigands de la Compagnie des Griffes, lançant dans la nuit leur célèbre cri de ralliement : « Chassons, chats, avec chance et panache ! »
Jules le chaton n'est pas heureux chez ses maîtres. Quand il n'est pas la victime de jeux idiots, il essaie d'éviter les attaques de l'aspirateur ou les cendres de cigare qui tombent du ciel. Un jour, il voit la porte entrouverte. Il ne lui faut qu'une seconde pour se décider...
C'est un grand jour pour la grande Adèle : elle vient d'avoir un bébé chat. Seulement, il n'a pas l'air aussi content qu'elle. Adèle lui propose une tarte au poisson, il répond qu'il n'aime pas le poisson, elle lui chante une berceuse, il se bouche les oreilles.
- Il n'y a qu'une solution, dit madame Cochonnet à Adèle. Tu dois l'emmener voir Brodequin le guérisseur.
Chez monsieur Brodequin, tout est sombre et ça sent la vieille pantoufle...
Je lance à la mère d’Ellie mon regard le plus noir. Car, non contente de me prendre en photo sous mon plus mauvais profil, elle décide maintenant d’utiliser mon portrait, oui vous avez bien entendu ! mon portrait, à sa propre gloire. Je serai sa première œuvre dans son tout nouveau cours d’arts plastiques. Mais que croit-elle donc ? Je ne vais pas me laisser ridiculiser aussi facilement. D’autant que le tableau est accroché juste au-dessus du canapé, là où tout le monde peut l’admirer. Et là où je pourrais l’atteindre…
La Vengeance du Chat assassin a été adapté en BD chez Rue De Sèvres.
Un jour d'hiver, une souris enceinte jusqu'aux moustaches arriva à Paris, aux portes du Jardin du Luxembourg. La souris se dit : « C'est ici que je mettrai au monde mon enfant ».
Or, il faut vous dire qu'à cette époque un chat d'une taille énorme, qu'on appelait Catimini, semait la terreur dans le jardin...
« Rejoins-moi dans la lumière » indiquait la banderole suspendue entre deux arbres. Ce jour-là , rejeté de tous, et pire encore, banni par ma bande, j’ai rencontré mon nouveau Moi, un nouveau Tuffy s’est révélé pour enfin déployer ses ailes. Un Tuffy plein d’enthousiasme, en harmonie avec l’univers et prêt à avoir des liens étroits avec toutes les créatures vivantes. Pendant combien de temps, ai-je été ce nouveau moi ? (Je sais que tu meurs d’envie de le savoir).
D'accord, d'accord. Encore une nouvelle ombre à mon tableau déjà peu reluisant ! J'avoue, ce jour-là , je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai affirmé à toute la bande que je ne me trompe jamais. J'aurais mieux fait de me taire : ils me sont tous tombés dessus en me rappelant le fameux épisode de la grenouille mortellement dangereuse… Ok, ok, je vais vous le raconter et vous verrez que dans cette histoire je ne suis pas entièrement fautif, simplement, je ne lâche rien.
Puisqu’on ne veut plus de lui dans cette maison, Tuffy a décidé de partir à la recherche d’un nouveau foyer, un endroit où il sera mieux traité et apprécié à sa juste valeur. Mais cet endroit existe-t-il ?
« Onze secondes ! Il a fallu onze secondes interminables avant qu’Ellie éclate en sanglots et prenne ma défense quand ses parents lui ont suggéré de se débarrasser de moi. Pire ! Lorsqu’ils lui ont parlé d’adopter un chaton, cette enfant déloyale a semblé hésiter. Qu’Ellie puisse songer un seul instant à me remplacer par une boule de poils qui sait à peine faire sa toilette ou attraper un oisillon dans son nid, c’est impardonnable ! »
Aimer ? Quelle horreur ! Tuffy ne veut pas en entendre parler. D’ailleurs, l’Amour c’est pour les nuls et ça rend bête. Comme sa maîtresse Ellie qui l’inonde de « je t’aime » ou sa copine Bella qui se languit pour le chat le plus moche du quartier. Pas question pour le chat assassin de tomber amoureux. Jamais !
Vraiment ? Alors pourquoi son coeur de pierre fait-il une roulade arrière lorsqu’il apprend que la merveilleuse Coco, au poil luisant, aux yeux brillants est de retour dans le quartier ?
La vie de chat peut parfois être magique. Ellie et ses parents partent une semaine en vacances. Je vais pouvoir me dorer au soleil sur les parterres de fleurs, sans leurs réprimandes et leurs cajoleries. Magique, je vous dis. À un détail près : ils m'ont trouvé un chat-sitter, le pasteur Barnham, un vrai tortionnaire. Il m'impressionne assez dans son genre. Entre nous, c'est une furieuse amitié. Je crois que je vais le quitter pour une perle, Mélanie. Elle m'aime parce que ma fourrure est douce. Je suis un chat, non ? Enfin, j'étais un chat. Car, quand elle me mettra un bonnet en dentelle et commencera à m'appeler Janet, cela sera le début des vrais ennuis.
Le Chat assassin, le retour a été adapté en BD chez Rue de Sèvres.
Valentin était un chat comme tous les autres chats, sauf qu’il était d’une couleur vraiment unique, originale et… différente : le rouge, qui l’obligeait à rester à l’écart des autres chats, moqueurs. Il vivait seul, il se cachait dans la forêt. Un jour, pourtant, Valentin se sentit moins seul. Ce fut le jour où il sauva la vie à une chatte complètement blanche. Il la tira des griffes du loup, puis ils se tirèrent ensemble des pattes de la sorcière. Et ensuite ? Peut-être bien qu’ils eurent plein de chatons… roses ?
C’est très risqué de refuser de la nourriture à un petit être affamé… Le roi et la reine de cette histoire l’ont appris à leurs dépens. Ils n’avaient pas d’enfant et quand, un jour, un chaton esseulé se présenta à la porte de leur château, ils le trouvèrent mignon, l’adoptèrent et lui donnèrent un bol de lait. Mais le chaton était ensorcelé. Jour après jour, il grandissait, doublait de volume. Le roi voulut lui couper les vivres, alors le chat se mit à dévorer tous ses soldats et ses valets…
En le voyant passer le groin par sa fenêtre, un beau matin, Josette l’a tout de suite su : c’est un cochon magique, il exauce les rêves.
Difficile d’en convaincre les autres. Un lapin le trouve sale, un chat le trouve nauséabond, un chien le trouve bête… ce qui ne les empêche pas de monter sur son dos et d’accepter de partir à l’aventure avec Josette et son cochon. Quand ils finissent par arriver à la ville, et, entraînés par la foule, montent sur la scène du théâtre, chacun s’aperçoit que son rêve fou est en train de se réaliser. Merci qui ?















