Thème « chant, chanson »
Aujourd’hui, c’est une journée spéciale pour Grand Lion. « On chante ? » propose Grand Lion à Oiseau et Lapin, « On n’a pas le temps ! » répondent-ils. Écureuil et Grenouille ont aussi plein de choses à faire. Grand Lion se sent seul. Mais à la fin de la journée ses amis lui ont réservé une belle surprise.
L'araignée Gypsie monte à la gouttière. Tiens, voilà la pluie, Gypsie tombe par terre. Mais le soleil a chassé la pluie… Et la suite, vous la connaissez ?
La célèbre chanson illustrée en aquarelles et mise en scène par Philippe Dumas.
Dans la forêt sombre et profonde, juste avant la nuit, des yeux brillants clignotent, des crocs s’entrechoquent, des hurlements déchirent le silence… et une maman arrive à grands pas de loup, pas effrayée pour deux sous. Car elle a reconnu les appels de sa famille nombreuse de petits loups. Ils sont comme nous, après tout : le soir, il leur faut une histoire, un bisou, et tous les autres rituels du coucher.
Chaque matin, Lapin descend au village chercher le pain et le journal. Tout en pédalant avec entrain, il chante à pleins poumons des airs d'opéra. Mais un jour, gloups ! il avale un puceron...
Jeudi matin, le roi, sa femme, le petit prince, le pingouin, l’hippopotame à vélo et le lion farceur sont venus chez moi pour me serrer la pince.
Comme j’étais pas là, ha !
Le petit prince a dit, hi !
Puisque c’est ainsi, nous reviendrons vendredi !
Sur la branche, de drôles de petits insectes prennent place. Mais où sont les autres ? Ils vont être en retard ! Vite, il va faire noir. Tout le monde est en place, c’est l’heure. Mais l’heure de quoi au juste ? Un spectacle ? Un concert ? Ou le moment tant attendu du rituel du soir…
Pepicek et Aninku doivent aller à la ville chercher du lait pour leur maman malade. Mais les deux enfants n'ont pas un sou ; ils n'ont que leur seau vide. Comment faire pour gagner de l'argent quand on est un petit enfant ? Sur la grand-place, un horrible bonhomme chante une affreuse chanson en s'accompagnant à l'orgue de Barbarie. C'est Brundibar. Tous les adultes autour de lui applaudissent et lancent des pièces. Chantons, nous aussi, se disent Aninku et Pepicek, nous serons bientôt assez riches pour acheter du lait. Mais Brundibar n'est pas d'accord. Et Brundibar est un tyran. Il ne suffit pas d'être deux pour s'attaquer à un mal si grand. L'affreux bonhomme les gronde, puis les chasse. Pepicek et Aninku se réfugient dans une ruelle sombre. Ils n'ont plus d'espoir. Quand soudain, un oiseau qui parle et un chat, tout aussi bavard, leur expliquent qu'ils doivent demander de l'aide. Tous les écoliers répondent à l'appel et, ensemble, chantent une berceuse pour les passants. La chanson est si douce que tout le monde donne de l'argent. Tout le monde sauf Brundibar, évidemment ! À BAS BRUNDIBAR !
Cet album marquant est adapté d'un opéra écrit dans le ghetto de Terezin.
Après la réédition des Fables de La Fontaine, voici celle des fameuses Chansons illustrées par le peintre Boutet de Monvel.
De « Malbrough » à « Dame Tartine », en passant par « Cadet Rousselle », ce sont 24 chansons, du patrimoine français qui sont enluminées ici. Aujourd’hui, certaines sont toujours dans les têtes, d’autres ont été oubliées. Accompagnées de leurs partitions et du texte intégral de leurs paroles, les voilà prêtes à revivre dans les mémoires, dans les bouches des enfants chanteurs et dans les cours de récréation.
« La Verdi, la Verdon », « La pêche des moules », « Trempe ton pain, Marie », « Gentil coq'licot », « Mon pèr' m'a donné un mari », « Compère Guilleri », « Monsieur Dumollet », « Malbrough », « La bergère », « Le roi Dagobert », « Cadet Rousselle », « Nous étions dix filles à marier », « Le rat de ville et le rat des champs », « Ratapataplan », « Dame Tartine », « Le 31 du mois d'août », « Margoton va-t- l'iau », « En revenant d'Auvergne », « Chanson de la mariée », « La bell', si nous étions », « Il était une barque », « Chanson du matelot », « Cendrillon », « La Palisse ».
La célèbre chanson de Fabre d'Eglantine, superbement illustrée par Philippe Dumas.
« Quand nous en serons au temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête... »
Qui ne connaît ces magnifiques couplets créés par Jean-Baptiste Clément en 1866 ? Les voici maintenant somptueusement illustrés par Philippe Dumas.
« Mon cœur brûle pour toi, lalala lala… » À la récré, toutes les filles n’ont que la chanson de Nikita Lola, superstar du moment, à la bouche ! D’ailleurs, la bande de Sonia a décidé d’inventer une chorégraphie pour fêter le retour de leur maîtresse, qui, ravie de leur petit spectacle, décide de les inscrire au concours « Nouvelles vedettes de la chanson » à la télé.
En tout cas, s’il y a une seule fille dans la classe qui ne partage pas cet engouement, c’est bien Zizi. Elle préfère largement « son » Charles Aznavour à ce qu’elle appelle une « vraie épidémie » musicale ! Mais le jour J de l’enregistrement de l’émission, la prestation de la troupe de Sonia n’a pas du tout l’effet escompté… et c’est malgré elle que Zizi leur vole la vedette et devient une star, avec le soutien de son idole Charles Aznavour !
Le rêve ? Pas si sûr ! Car Zizi va bien vite découvrir que la vie de vedette, ce n’est pas rose tous les jours…
Quand une lettre lui apprend que Barbara, sa cousine des USA, va venir lui rendre visite pendant une semaine, c’est loin d’être une bonne nouvelle pour Zizi, petite fille pleine de vie et qui n’a pas sa langue dans sa poche ! Et c’est vrai que, dès son arrivée en France, Barbara ne manque pas une occasion de vanter les mérites de son pays… ce qui agace prodigieusement Zizi ! D’autant plus que la jolie petite Américaine ne semble pas laisser le cousin Félix indifférent… C’est sûr, la guerre est déclarée entre les deux fillettes ! Zizi, bien décidée de rabattre le caquet de sa prétentieuse cousine – qui gagne un peu trop en popularité à son goût –, décide de lui jouer un mauvais tour lors de la fête organisée par son amie Julie… Et ça marche tellement bien que Barbara, rouge de honte, disparaît soudainement de la soirée ! Cette fois, Zizi se rend compte qu’elle est allée trop loin. Elle doit retrouver Barbara coûte que coûte, même si pour cela elle devra reconnaître ses propres torts et aller… jusqu’en Amérique !