Thème « cabane »
Par un beau matin de printemps, une jeune fille découvre devant la porte de sa cabane un œuf, lisse et blanc. Une fois la surprise passée, l'évidence la pousse à s'en occuper. Il ne faudrait tout de même pas qu'en attendant le retour des parents, cet œuf prenne froid ! Mais voilà, de parents, il n'y aura pas. C'est alors que cette jeune fille au grand cœur, habituellement si solitaire, veillera sur son invité comme s'il s'agissait du plus précieux des trésors. Prise au jeu et prête à tout sacrifier, elle créera un lien particulier avec lui, et se mettra à rêver d'ailleurs. Mais ce drôle d'oiseau saura-t-il la remercier une fois que la métamorphose aura opéré ?
Aujourd'hui il fait très beau et Carla décide d'aller se promener toute seule. Toute seule avec son pique-nique. On ne sait jamais... Et sa canne à pêche. Et une épuisette. Et un masque. Un tuba, une serviette, un journal et des lunettes. Et de quoi faire du thé, bien sûr. La voilà prête pour l'Aventure ! Mais après tout, à combien de kilomètres de chez soi l'aventure commence-t-elle vraiment ?
Jules, Léo et Gaspard construisent un super campement : une grande boîte en carton, un tissu et quelques bâtons, deux trois sacs en plastique et cinq six briques. Le roi Jules et ses chevaliers passent la journée entière à combattre les dragons et les monstres. Mais lorsque la nuit tombe, les braves combattants s’en vont un par un rejoindre leur maman et le roi Jules se retrouve seul sur son édredon, au milieu des bruits du jardin…
C'est ce soir que la tempête arrive, mais Clarisse n'a pas du tout peur. Elle a hâte que ça commence. Le vent va souffler très fort ! Clarisse se demande si le vent va déraciner la maison. En tous cas, ce qui est bien, c'est la maison qu'ils improvisent, ses parents et elle, dans... son lit !
Oum-Popotte vit seul avec ses parents en carton, qui parfois sourient, parfois sont de mauvaise humeur. Un jour, en rentrant de l'école, il reçoit quelque chose sur la tête. Ensuite il se passe des choses bizarres qui lui font découvrir qu'en fait il n'est pas seul du tout.
Je me souviens de sa cabane qui flottait dans les champs comme un phare sur l'océan ; des feuilles du vieux frêne scintillant au soleil, de l'odeur du linge qui séchait au fond du jardin, du bourdonnement des abeilles et du chant des mésanges. Pépé Léon faisait partie de ces gens qui aimeraient que rien ne change jamais. Qui ne veulent pas refaire le monde, juste vivre au milieu et l'écouter respirer. Je m'appelle Louise et ceci est mon histoire.
La première neige de l’hiver arrive avec l’anniversaire de Pikkeli Mimou, l’ami de Killiok. Il décide de lui rendre visite. La terre entière parait figée dans la neige et le froid. Killiok emporte son sac de couchage et des provisions (en plus du gâteau et du cadeau de Pikkeli Mimou.) « Heureusement, la neige est là, dit Killiok. Elle m’éclaire un peu. Je ne sais vraiment plus où je suis. » Quand soudain, il reconnaît la forêt. « Bon anniversaire Pikkeli Mimou ! »
Killiok, le chien noir, est inquiet. Il attend le retour de Vari Tchésou, le magicien rouge, dont il n'a pas de nouvelles depuis le printemps. D'après les oiseaux, une roulotte aurait été aperçue au fin fond de la Grande Forêt… Killiok convainc Véronica de l'accompagner pour savoir ce qu'il en est.
Tous deux s'enfoncent dans la Grande Forêt et font des rencontres surprenantes : Pikkeli Mimou dans son refuge, le Chat Mystère qui va au festival de vol, Susy le cheval… et tous ces Bébés Mousse avec qui ils prendront le train !
La Chintia, dont Anne Brouillard a imaginé la carte, est divisée en 11 pays. L'histoire prend vie au travers des personnages, des lieux, et de leurs influences. Tout est possible et a l'air réel. Le premier tome met en mouvement les habitants du Pays du Lac tranquille.
Quand il est né, Okilélé n'était pas beau. Ses parents, ses frères, sa soeur dirent « Oh, qu'il est laid ! »
Okilélé pensa que c'était son prénom...et ne comprenait pas pourquoi il gênait partout où il se trouvait. Croyez-vous qu'il se laissa faire ? Non, et c'est le début d'une très longue histoire, d'un très beau voyage...
« Dans une heure trente poser la main sur la poignée de la porte, l’ouvrir, franchir le seuil traverser le jardin dépasser le portillon, me retrouver dans la rue (…) partir vers la droite faire, quelques pas sur le trottoir, atteindre l’angle et la boulangerie, faire demi-tour rentrer. Alors... j’aurai réussi. Je serai « juste » sorti dans la rue. J’aurai « juste » marché quelques mètres dehors. Mais ce sera la première fois depuis six mois. »
On est jeunes. On vient de partout. Et on agit. Maintenant. On ne laisse pas le monde s’écrouler sans rien faire. On ne laisse pas les forêts de Lorraine se transformer en entrepôts. Alors on grimpe dans les arbres. On construit des cabanes. Et on résiste, avec le courage des oiseaux. Nous sommes une petite trentaine. Mais on a besoin de vous. On a besoin de tous. À tous, on est moins seuls. Rejoignez-nous !
Elle se souvient de sa cabane qui flottait dans les champs comme un phare sur l'océan, des feuilles du vieux frêne scintillant au soleil et de la balançoire suspendue à la branche d'un arbre. Pépé Léon s'était construit son paradis et il aurait aimé que rien ne change, jamais. Elle, c'est Louise, elle est née juste avant la guerre et ceci est son histoire.