Thème « botanique »
Que peut-il bien se passer dans le jardin de Lou et Mouf ? Cet imagier sans texte mettant en scène les deux héros des tout-petits et leurs premières expériences de vie, pour échanger joyeusement et librement avec le tout-petit dans toutes les langues !
Célestine ne veut pas manger ses légumes... Alors Papa a une idée : deux yeux, un nez, une bouche. Dans l'assiette, c'est maintenant un drôle de bonhomme qui invite Célestine à se régaler...
Une orange, une pomme, une poire – et un ours, Grégoire. Qui aurait imaginé que ces quatre mots puissent être conjugués en autant de façons ?
Emily Gravett, bien sûr !
Tiens, un oiseau dans l’arbre ! « Cui cui », chante-t-il. Mais il s’envole. L’enfant contemple son absence : « Reviens ! ». L’oiseau revient. Le chat le suit et l’enfant se réjouit de toutes ces retrouvailles.
Certaines pages du livre prennent la forme de l’arbre et le texte se mêle aux images aériennes pour dire au revoir et bonjour à l’oiseau.
L’arbre préféré d’Albert n’arrête pas de pleurer. Mais pour quelle raison ? Albert réussira-t-il à le consoler ?
Aiko se réveille ce matin avec l'envie de grimper aux arbres. A peine arrivé sur une branche, il aperçoit son amie Nobou avec sa fameuse caisse à outils. Elle en sort une multitude de blocs de construction. Ensemble ils façonnent des ponts qui les emmènent à la cime des arbres, au sommet de la tour de guet et même plus haut, jusqu'aux nuages !
Quel est donc cet insecte qui sort de la branche ? Bzou. Oh ! Il convoite la plus belle fleur : Bo ! Mais il n’est pas le seul. Rekul disent les autres. Les petites bestioles volantes cousues de fils s’affrontent bientôt dans une aventure vibrante et sonore.
J’adore cet arbre. C’est MON arbre, dit le bel écureuil roux. J’adore manger MES pommes de pin à l’ombre de MON arbre. C’est MON arbre et ce sont MES pommes de pin. Tout le monde doit savoir que ce sont MES pommes de pin et que c’est MON arbre. Que faudrait-il faire pour le protéger des autres ?
Mise en garde ! Attention, jeune lecteur ! Une fois que tu auras lu ce livre, tu ne pourras plus jamais regarder une pomme de la même façon.
Un petit garçon doué d’une exceptionnelle imagination décide de ne pas se fier aux apparences...
Après Classe de Lune et Classe sous-marine, les élèves prennent place dans un hélicoptère, direction : une île volcanique ! Un petit amoureux de la nature se laisse rapidement envouter par la beauté des fleurs. Distrait, il glisse vers le bord du cratère où il rencontre les êtres de lave.
Combien d'arbres faut-il pour faire une forêt ? 1 500 ? 500 ? 80 ? Pas si simple de répondre à cette question !
Une fable écologique qui nous invite à prendre soin des ressources de notre planète et nous rappelle l'importance de chaque membre de cet écosystème, des plus grands arbres... à la plus petite graine.
Deux histoires de Fred, le petit lapin observateur de la nature et de ses habitants. Et une ! Fred, le lapin, s’occupe du petit arbre. Zut ! Il n’y a plus une goutte d’eau dans l’arrosoir. Oh mais voilà un joli nuage gorgé d’eau ! Et deux ! « Où allez-vous ? C’est un secret ? » demande Fred aux petites fourmis. « Ce n’est pas un secret mais c’est un secret quand même » répond l’une d’elles mystérieusement.
Pas facile d’être timide ! Hulotte est une grande timide. Et aujourd’hui, c’est l’exposé devant toute la classe. L’angoisse absolue !
Hulotte doit prendre son courage à deux mains. Quand il faut y aller… FAUT Y ALLER !
Loula a construit sa cabane tout au fond du verger, dans les bras d'un vieux pommier. Son petit nid terminé, elle dresse la table pour le goûter. Mais qui sera son premier invité ? « A quoi sert une cabane sans personne pour la partager ? » songe Loula en regardant les nuages passer.
Il s’appelle David. C’est le garçon aux cheveux fleuris, et c’est mon meilleur ami. Mais, un jour, alors que j’arrosais les cheveux de David, un de ses pétales m’est resté dans la main…
Peut aussi s’épeler ainsi : P. R. O. C. R. A. S. T. I. N. A. T. I. O. N.
« On verra demain », répondait Paco lorsqu’on lui demandait de ranger sa chambre.
« On verra demain », répétait-il au lieu d’aider les autres. « On verra demain... » Et puis, demain a fini par arriver.