Thème « botanique »
Par un texte vivant et des illustrations spectaculaires, Douglas Henderson retrace la vie d'un arbre à la fin du trias, il y a 225 millions d'années, et dresse un portrait saisissant de la vie dans la forêt à cette époque. Au bout de 500 ans, l'arbre vieillissant est abattu par une tempête, mais son histoire ne s'arrête pas là... Dans ces pages, vous apprendrez comment l'arbre vivait et comment il est devenu l'un des nombreux fossiles de la Forêt Pétrifiée, aux États-Unis. Vous verrez également vivre de nombreux animaux de la forêt et des rivières du trias : reptiles volants, poissons et dinosaures de toutes les tailles.
Un grand album magnifique au traitement original, à conseiller pour un voyage hors du commun. Vivement recommandé. (Francine Boillot-Grenon, Libération, 27 juin 1995). Une rare alliance entre la conception et la réalisation (Notes bibliographiques, octobre 1995).
Pourquoi Maman fait-elle autant de mystères aujourd'hui ? Que va-t-elle faire des oiseaux en papier qu'elle fabrique ? Pourquoi n'a-t-elle rien dit à son fils qui lui avait désobéi en allant jouer près de la mare ?
Par amour pour le petit garçon, l'arbre lui donne, au fil des années, ses fruits, ses feuilles, ses branches... et jusqu'à son tronc !
Papa est chercheur au Muséum. Pendant les vacances, je ne m'ennuie jamais avec lui au bord de la mer. Sur cette île exotique, nous découvrons ensemble les plantes du littoral, les algues, les coquillages, les crabes, les poissons, les oiseaux, et tous les êtres vivants qui peuplent les bords de mer, le sable ou les rochers. Il y a tant de choses à découvrir en s'amusant !
Comment s’y connaître en légumes quand on est un enfant des villes ? En allant en vacances chez ses grands-parents à la campagne, comme Sophie, l’héroïne de l’histoire, qui apprend à manier les outils, à semer, récolter ou biner. On découvre comment les petits pois arrivent à maturité, et que les légumes se groupent par familles.
Ce beau livre aux dessins à la fois clairs et poétiques, comme la simple splendeur d’un plant de fenouil au clair de lune, n’est pas un manuel, mais parle de la vie dans un potager tout au long d’une année. Il montre aussi que l’on peut cultiver des légumes sur les balcons et devant les fenêtres des grandes villes.
C’est en pensant aux enfants des villes qu’elle a fait ce livre, pour leur faire oublier les légumes formatés des supermarchés, et découvrir la patiente progression des plantules dans un vrai potager. Pour pouvoir montrer des détails précis, Gerda a changé de technique, et même un peu de style : formes cernées d’un trait fin, à la manière des estampes. Ce renouvellement l’a comblée, car il ressemble à celui de cette chère nature, toujours en mouvement, qu’elle aime tant.
Mangue, fruit de la passion, mandarine, banane, ananas ou noix de coco, vous connaissez ces fruits car on peut les acheter en France ou ailleurs. Mais savez-vous de quel pays ils viennent ? D'Inde, d'Amérique tropicale, du Mexique, ou encore d'Amérique du Sud ! Suivez les magnifiques tableaux de Dominique Mwankumi qui vous emporteront au-delà des frontières pour un voyage aux pays du soleil.
Le cactus saguaro est célèbre depuis qu'il a joué dans de nombreux films de cow-boys. Saviez-vous qu'il est aussi grand qu'un arbre, qu'il vit plus longtemps que nous et qu'il nourrit les animaux du désert, insectes, oiseaux et chauves-souris ? Mais, surtout, il offre, à tous les étages, des logis formidables pour les pics, les chouettes, les tourterelles, les chauves-souris et les rats. Sans le saguaro, beaucoup d'animaux ne pourraient pas vivre dans le désert.
Recommandé (À FonD la SciencE, no1, 1994).
Par quel mystère une branchette toute noire et sèche en hiver va-t-elle se prolonger dès le début du printemps en un bourgeon qui, à son tour, deviendra une belle fleur puis un fruit mûr, juteux et goûteux au cœur de l’été ? C’est à cette grande question simple que Gerda Muller s’est attelée à répondre, pour aider les enfants à comprendre les merveilles du cycle des saisons et la variété incroyable des fruits de la terre. Cet album raconte une histoire d’enfant des villes qui découvre la campagne et les vergers, et il montre, par des anecdotes savoureuses et des images limpides et colorées, à quel point la Nature est une fête qui n’a pas de fin.
Au milieu de son jardin, le luthier avait un arbre sur les branches duquel venaient se poser des kyrielles d'oiseaux. Un hiver, l'arbre mourut... Du bois de cet arbre, le luthier fabriqua le plus parfait des violoncelles. Y aura-t-il un musicien capable de le faire chanter ?
Le vieux roi ne dort pas. Tourne en rond sur le chemin de ronde. Regarde les étoiles et questionne sa nuit. Il se dit pourquoi elle et pas moi. Il se dit tout. Il se dit n'importe quoi. Le vieux roi se recueille devant la tombe de la petite princesse. Il se souvient de tout...
Sara aime prêter attention aux plus fragiles. C’est pour cela qu’elle apprécie la compagnie et les histoires de sa grand-mère. Avec elle, dans son cabanon au fond du jardin, Sara apprend à respecter ce qui l’entoure, et à voir différemment. Les légumes, par exemple. A-t-on jamais pensé que le poireau est un ancien mammifère ? A-t-on jamais écouté le chant discret d’une aubergine ? Et si on les réunissait dans un parc pour leur rendre hommage ? Ce serait peut-être un exploit. Comme de regarder le monde avec les yeux de quelqu’un d’autre.
Quand il était petit, Martin Page n’avait qu’une idée en tête : « s’en sortir ». Dans ses romans, le monde est une fiction et l’imaginaire, une manière de résister à la réalité. À travers Le zoo des légumes, il nous montre comment regarder le monde avec intelligence et imagination pour mieux vivre le présent : « L’enfance n’est pas le bon moment pour vivre son enfance. Il faut la protéger, la préserver, la réserver. Et la vivre tout au long de notre vie. »
Les mauvaises herbes, on les extirpe, on les arrache, on les broie, on les brûle. On ne les aime pas. Pourtant, beaucoup d'entre elles sont comestibles : on en fait des salades, des soupes, des gâteaux, des boissons... Elles sont nos amies, pourvu que nous sachions les reconnaître ! Jadis, les mauvaises herbes sauvèrent souvent les populations de la famine. Elles sont bonnes, secourables et pleines de vertus de toute sorte. Elles nous parlent aussi de la vie d'autrefois. Alors, pitié pour les mauvaises herbes !
Quelle chance ! Louise part en voyage, en France mais au bout du monde ! Elle s'en va découvrir la Martinique, un département d'Outre-Mer, de l'autre côté de l'Atlantique, à 7000 kilomètres de la métropole. C'est loin, c'est fatigant, mais c'est beau ! Là-bas, il y a des fruits inconnus, des gens attachants, une drôle de langue poétique, un volcan terrible, des arbres gigantesques, la mer bleue et aussi une fleur mystérieuse que Papa a bien du mal à trouver...
En été comme en hiver, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, cette vallée est la plus belle du monde. Ce ne sont pas les Touim’s qui vous diront le contraire ! Laissez-vous guider par Poutchy-Bloue et découvrez toutes les merveilles de cet endroit unique : l’Arbre-Maison où il est né, la Forêt de l’Enfant-Perdu, l’Île Dodo-Dodu, ou encore le Théâtre des Colères…
Autour de la famille Renard, on s'active aux préparatifs de l'anniversaire des quatre-vingts ans de la librairie de Bellécorce quand soudain, une branche craque. C'est le premier signe d'une terrible maladie : le croquebois. Pour en venir à bout, une seule solution : couper l'arbre. Mais, ça, Ernest Renard ne peut s'y résoudre. Le vieux chêne abrite les souvenirs et les oeuvres de sa mère, Anouchka. S'il disparaît, c'est aussi elle qui s'en ira encore un peu plus. À moins que l'arbre des souhaits, un pommier magique dont Anouchka lui avait parlé quand il était petit, n'accomplisse un miracle. Sa quête à travers la forêt lui réservera bien des pépins, et la vie à croquer.
Voilà plus d’un siècle que le grand marronnier trône au beau milieu de la cour de l’école… du Grand Marronnier. Il en est le symbole. Les enfants du quartier jouent à son pied comme le faisaient leurs parents, et la vieille madame Risette, qui sera bientôt centenaire, y a gravé son nom.
Et pourtant… Le jour où une énorme branche tombe en manquant de peu un enseignant, les experts sont formels : l’arbre est malade, rongé par des champignons qui le fragilisent. Il faut l’abattre.
La mobilisation des enfants et des parents n’y changera rien : sécurité d’abord ! La mort dans l’âme, tous assistent à la fin du grand marronnier, abattu par un élagueur.
La fin ?… Pas sûr ! « Lorsque tout semble perdu, il reste encore quelque chose à faire », assure madame Risette. Le grand marronnier pourrait-il connaître une seconde vie ?