Thème « bêtises, désobéissance »
Il fait ses crottes dans mes pantoufles. Il prend son bain dans mon petit-déjeuner. Il peint des rayures sur mon pyjama blanc à coups de dentifrice. Non mais quel abruti, ce chat ! Ça suffit !
Je vais le chasser ! Vite, un balai ! Ouf ! Mon chat stupide a disparu. Bon débarras. Mais où est-il ?
Il me manque déjà…
Peppino est le cochon de Lucette. Comme tous les cochons, il est très gourmand et pas toujours très délicat. Quand il va se promener tout seul, il fait pas mal de bêtises et se crée des ennemis. Heureusement, Lucette et son papa viennent à sa rescousse.
«Arrête de faire le singe», disaient toujours mes parents.
Un jour, Papa en a eu marre. Il m’a emmené au zoo et m’a dit : «Tu vois ce qui se passe quand on fait le singe ? Tu veux finir dans une cage ?»
Non, je ne voulais pas être enfermé. Alors je suis parti. Il y avait de la place pour moi dans ce vaste monde.
Quand les trois enfants de la sorcière décident d'aller jouer au parc par un jour de grand vent, tout le monde se cache, tout le monde a peur car c'est signe de GROS ENNUIS ! En effet, les enfants de la sorcière, l'Aîné, la Cadette et la Benjamine, ont des pouvoirs extraordinaires mais ils n'ont pas encore appris à réparer leurs bêtises magiques.... Certaines personnes dans le parc vont donc avoir de TRÈS TRÈS GROS ENNUIS...
Un matin, Oups trouve dans le grenier un vieux doudou abandonné, tout mou et tout triste. Très vite ils deviennent inséparables et le doudou fait tout ce qu'un doudou doit faire : il fait des câlins, invente des jeux, trouve les chemins où l'on se raconte des secrets que personne ne connaît. Jusqu'au jour où il n'a plus que des mauvaises idées, des idées de bêtises méchantes et un peu cruelles. Attention Oups, c'est peut-être un doudou méchant ton nouveau doudou...
La magie de l’enfance ou l’art de transformer le familier en singulier, l’ordinaire en extraordinaire… Notre petite héroïne découvre par hasard qu’elle est douée de pouvoirs extraordinaires... Et si ce talent de transformer le quotidien le plus banal en aventures fabuleuses était à la portée de tout un chacun, finalement ?
Le cagibi était une pièce sombre entre la chambre et la salle à manger. Quel bric-à-brac là-dedans ! Une roue de vélo, une cage sans oiseau, un vieux clairon et toutes les affaires de l'oncle Raymond... On trouvait même dans le cagibi, le petit Simon chaque fois qu'il faisait une bêtise plus grosse que lui.
Pourquoi Maman fait-elle autant de mystères aujourd'hui ? Que va-t-elle faire des oiseaux en papier qu'elle fabrique ? Pourquoi n'a-t-elle rien dit à son fils qui lui avait désobéi en allant jouer près de la mare ?
« As-tu vu comme il est laid ? On dirait un vieux balai ! Longue et sale est sa tignasse ! C'est bien lui : Crasse-Tignasse ! Jamais, jamais il ne veut qu'on lui coupe les cheveux !... »
En 1845, en Allemagne, paraît « Der Struwwelpeter » ou « Pierre l'ébouriffé » qui deviendra un classique du livre d'images, traduit un peu partout dans le monde. Son auteur, le Docteur Heinrich Hoffmann, déçu par les livres qu'il trouve dans les librairies, écrit ces histoires en rimes pour son enfant de trois ans, des histoires cocasses et cruelles.
Guillaume était l'apprenti d'un puissant sorcier. Il travaillait au château en échange de leçons de magie. Autant il aimait les leçons, autant il détestait les corvées...
Marine en a assez d'être une fée. Elle en a assez de devoir toujours être gentille et propre, de prendre une voix de miel et de ne jamais tacher sa robe. Finalement, c'est ennuyeux d'être une gentille petite fée. Pas très loin, dans le bois, il y a bien plus interessant : il y a les sorcières. Marine se dit qu'après tout, ça doit être plus amusant. Et petit à petit, notre fée apprend la vie de sorcière et ça lui plaît, peut-être même trop...