Thème « arbre »
Tiens, un oiseau dans l’arbre ! « Cui cui », chante-t-il. Mais il s’envole. L’enfant contemple son absence : « Reviens ! ». L’oiseau revient. Le chat le suit et l’enfant se réjouit de toutes ces retrouvailles.
Certaines pages du livre prennent la forme de l’arbre et le texte se mêle aux images aériennes pour dire au revoir et bonjour à l’oiseau.
Cette histoire commence en hiver. Sous la neige, dans un terrier, un loir est endormi. Dans un arbre, un nid semble abandonné. Mais petit à petit, au fil des pages, des graines vont germer, le loir se réveille, l'arbre reverdir, un couple d'oiseaux s'installer, des oeufs éclore, le loir rêver d'un bon déjeuner, les petits quitter le nid, l'automne arriver et le loir se rendormir, son terrier rempli de glands... jusqu'à la saison nouvelle.
Quelle canicule aujourd’hui, comment se rafraîchir ?
Petit Paresseux a une bonne idée : aller se baigner ! Tout au long de sa descente, pas à pas, il rencontre ses amis et tous veulent l’accompagner. En voulant attraper un fruit bien mûr, patatras, il lâche sa liane et plouf ! tombe à l’eau plus vite que prévu.
Tant mieux, quel délice ! C’est une journée de rêve, mais quand le soleil va se coucher, il faut remonter dans le nid, et c’est haut…
Heureusement, Petit Paresseux a beaucoup d’amis, qui ont de bonnes idées et sont très gentils.
En quelques albums, Tomoko Ohmura est devenue la spécialiste de la variation sur la frise, la queue leu leu, le décompte et la ribambelle. C’est le bonheur de l’attente qu’elle suscite chez les petits. Des personnages animaux en entraînent d’autres. Vers où ? Pourquoi ? L’issue est toujours drôle.
Aiko se réveille ce matin avec l'envie de grimper aux arbres. A peine arrivé sur une branche, il aperçoit son amie Nobou avec sa fameuse caisse à outils. Elle en sort une multitude de blocs de construction. Ensemble ils façonnent des ponts qui les emmènent à la cime des arbres, au sommet de la tour de guet et même plus haut, jusqu'aux nuages !
J’adore cet arbre. C’est MON arbre, dit le bel écureuil roux. J’adore manger MES pommes de pin à l’ombre de MON arbre. C’est MON arbre et ce sont MES pommes de pin. Tout le monde doit savoir que ce sont MES pommes de pin et que c’est MON arbre. Que faudrait-il faire pour le protéger des autres ?
Deux histoires de Fred, le petit lapin observateur de la nature et de ses habitants. Et une ! Fred, le lapin, s’occupe du petit arbre. Zut ! Il n’y a plus une goutte d’eau dans l’arrosoir. Oh mais voilà un joli nuage gorgé d’eau ! Et deux ! « Où allez-vous ? C’est un secret ? » demande Fred aux petites fourmis. « Ce n’est pas un secret mais c’est un secret quand même » répond l’une d’elles mystérieusement.
Dans mon jardin, il y a un arbre, un tout petit arbre. Je lui donne à boire quand il fait chaud. Je capture les chenilles qui rêvent de grignoter ses feuilles. Je m'allonge dans l'herbe et je lui chante des chansons. Un jour, le petit arbre veut voir la mer. Je lui dis : « C'est impossible, la mer est loin, très loin d'ici. Et tu ne sais même pas marcher. » L'arbre se met à bouder. Alors, je le mets dans un pot. Je prends ma pelle en plastique rouge et ma bouée. Je le connais, le petit arbre. Sur la plage, il voudra faire un château. Et quand il verra la mer, il voudra s'y baigner.
Près de la mare, le canard cherche des vers. « Où allez-vous ? »
« Nous allons voir la mer. »
Le canard regarde la mare. C'est une mare minuscule. « Je viens avec vous », dit-il.
Un album plein de sensibilité, sur ces très grands voyages que l'on fait parfois, en ne bougeant que de quelques pas.
Loula a construit sa cabane tout au fond du verger, dans les bras d'un vieux pommier. Son petit nid terminé, elle dresse la table pour le goûter. Mais qui sera son premier invité ? « A quoi sert une cabane sans personne pour la partager ? » songe Loula en regardant les nuages passer.
Chaque été, le premier jour des vacances, Papa et Maman Caprani et leurs sept enfants partent s'installer dans la maison construite il y a très longtemps par Grand-pépé Caprani, au fond des bois. Mais cette année, pour la première fois dans toute l'histoire des Caprani, la maison est devenue trop petite, et à l'heure du coucher, tout le monde est bien trop à l'étroit. À l'issue d'un grand conseil de famille, on décide la construction d'une annexe dans un arbre. Et c'est là que les choses se compliquent, car évidemment, une fois la nouvelle maison terminée, tous les enfants veulent y dormir... sauf Edmond, qui s'est carrément construit la sienne en secret, dans un hêtre un peu plus loin. À peine ses frères et soeurs l'ont-ils découverte qu'ils veulent en faire autant, et chacun selon son goût. Voilà les vacances des Caprani transformées en gigantesque chantier architectural. Papa Caprani est certes fier que le talent et le savoir-faire de Grand-pépé se soit transmis à la jeune génération, mais lui, ce qu'il aime avant tout, c'est avoir tous ses petits sous son aile... Sinon, comment fera-t-il pour trouver le sommeil ?
C'est l'été. Et pourtant, il neige. De la neige en été ? Comme c'est bizarre. « C'est comme ça à la montagne », dit Maman en faisant la grimace. Maman n'aime pas la neige. Mais Maman n'a pas de goût. La neige, c'est merveilleux ! C'est comme une grande page blanche sur laquelle on peut imprimer la trace de son pied, la trace de son corps tout entier. Bientôt, les pentes sont décorées de dizaines de silhouettes de Mariette et Soupir. L'une avec son panier, l'autre avec son chiffon. Mais c'est plus drôle avec un panier. Les soeurs marmottes se disputent le précieux accessoire qui leur échappe et glisse, glisse sur la neige pour disparaître à tout jamais. À tout jamais ? Peut-être pas.
On l'a couvert de guirlandes. C'est Noël. Il est malheureux. Heureusement, il rencontre Camion-Poubelle. Commence une aventure, à la découverte des étoiles.
Notre papa est un peu fatigant. Pour nous endormir, il ne nous raconte que des histoires drôles. C'est toujours pareil... Oui mais, dans cette chambre, il y a quelqu'un qui aime les histoires drôles. Qui ça ? La table de nuit. Pourquoi ? Parce que son histoire, à elle, n'est pas drôle du tout.
Hipollène est presque grande et son père a décidé de lui apprendre tous les secrets de la chasse aux glousses. Ils habitent dans l'Arbre sans fin. Au bout d'une branche il y a toujours une autre branche. Grand-Mère sait tout de l'arbre. Grand-Mère meurt, l'arbre pleure. Hipollène se cache dans sa maison secrète. Elle est si triste qu'elle se transforme en larme, et c'est le début de son immense voyage.
Paa vit dans un village en Afrique. Son prénom signifie « gazelle »; ce qui est plutôt normal quand on court aussi vite. La mission de Paa, c'est d'aller au marché pour vendre des bananes, gagner de l'argent afin d'acheter du sel, de l'huile, du café, du savon et des allumettes pour Maman. Il adore ça ! Pourtant la route est longue et il fait très très chaud. L'aventure commence quand Paa entend qu'on lui parle. Mais qui peut bien lui parler... à part ce gros baobab ?
Zad le sanglier adore les arbres. Parce qu'un arbre ne ment jamais et ne dit pas de bêtises. Par contre, Zad n'aime pas les gens. Ils sont les seuls ennemis de la forêt, ceux qui coupent tant de troncs sans réfléchir. Zad chasse les intrus avec sa catapulte à pommes de pin. Mais quand la société immobilière des Quatre Frères Grandes Mallettes décide de raser la forêt à grands coups de tronçonneuse, peut-être devra-t-il se rapprocher de la belette Miss Angel et des autres animaux de la forêt pour éviter cette catastrophe.
Brindille passe son temps à faire le poirier et à jouer à cloche-bourgeon. L'arbre trouve que c'est fatiguant d'être papa. Mais dans l'ensemble, ils s'entendent bien tous les deux. A la première neige, Brindille voit ses amis les animaux se préparer chacun un nid douillet. Son père lui souhaite bonne nuit, bâille, et s'endort. Tout devient silencieux. Brindille se sent seule, elle n'a pas du tout sommeil. Elle voit au loin les lumières de la ville, et décide courageusement d'aller y chercher de la compagnie...