Thème « Antiquité »

array(49) { ["Les jeux de l'école des loisirs"]=> string(4) "2321" ["Moulin Roty"]=> string(4) "2322" ["Hors collection"]=> string(4) "2153" ["Lecture guidée audio"]=> string(4) "2311" ["Livre numérique"]=> string(4) "2155" ["Petit Loulou"]=> string(4) "2259" ["Loulou & cie"]=> string(3) "587" ["Albums"]=> string(3) "586" ["Pastel"]=> string(3) "593" ["Kaléidoscope"]=> string(3) "592" ["les lutins"]=> string(4) "1045" ["Grandes Images de l'Histoire"]=> string(4) "2127" ["DVD Albums filmés - Collectivités"]=> string(4) "2152" ["Moucheron"]=> string(4) "2225" ["Mouche"]=> string(3) "590" ["Neuf"]=> string(3) "594" ["Neuf poche"]=> string(4) "2143" ["Archimède"]=> string(3) "591" ["Médium"]=> string(3) "595" ["Médium poche"]=> string(3) "609" ["M +"]=> string(4) "2136" ["M+ poche"]=> string(4) "2137" ["Classiques"]=> string(3) "597" ["Illustres Classiques"]=> string(4) "2270" ["Théâtre"]=> string(3) "598" ["Rue de Sèvres"]=> string(3) "612" ["l'école des loisirs à écouter"]=> string(3) "606" ["l’école des loisirs récréative"]=> string(3) "610" ["mille bulles"]=> string(3) "608" ["Albums filmés VOD"]=> string(4) "2091" ["coédition"]=> string(4) "2100" ["romans grand format"]=> string(3) "611" ["broché"]=> string(3) "601" ["Classiques Abrégés"]=> string(3) "596" ["contes du monde entier"]=> string(3) "604" ["dialogue"]=> string(3) "589" ["DVD Albums filmés"]=> string(3) "605" ["livre abonnement max"]=> string(3) "607" ["médium documents"]=> string(3) "599" ["médium/cinéma"]=> string(3) "603" ["Petite bibliothèque"]=> string(3) "600" ["tout carton"]=> string(3) "602" ["belle vie"]=> string(4) "1233" ["divers"]=> string(4) "1234" ["L'École des lettres"]=> string(4) "1235" ["matou"]=> string(4) "1236" ["mouche poche"]=> string(4) "1238" ["Renardeau"]=> string(4) "1240" ["Margot"]=> string(4) "2317" }
array(3) { ["Livre numérique"]=> string(4) "2155" ["Albums"]=> string(3) "586" ["Margot"]=> string(4) "2317" }
Classiques Abrégés / 9782211037822 / 6.10 € / Disponible

Après la conquête des Gaules, César doit justifier sa politique extérieure aux yeux de ceux qui, à Rome, l'accusent d'avoir livré bataille à des peuples inoffensifs à seule fin d'étancher sa soif de gloire. Avant de se porter candidat à un second consulat, il doit s'expliquer et couper court aux médisances et aux intrigues. Tel est le dessein de sa Guerre des Gaules : faire connaître à l'opinion romaine les glorieux épisodes d'une non moins glorieuse conquête.
« À son arrivée, César fut reconnu à la couleur de son vêtement de bataille, et les Gaulois qui, de la hauteur, le voyaient venir avec la cavalerie et les cohortes dont il s'était fait suivre, commencèrent l'attaque. Une grande clameur s'élève des deux côtés et se répète dans tous les ouvrages. Nos soldats ayant lancé leurs javelots, mettent l'épée à la main ; en même temps notre cavalerie apparaît derrière l'ennemi, qui voit d'autres cohortes approcher encore. Alors ils lâchent pied, s'enfuient et vont tomber dans notre cavalerie qui en fait un grand carnage. Sédulius, général et premier citoyen des Lémovices, est tué ; Vercassivellaune, l'Arverne, est fait prisonnier alors qu'il fuyait ; soixante-quatorze enseignes sont prises et portées à César. De ce grand nombre d'ennemis il y en eut bien peu qui rentrèrent dans leur camp. Ceux de la place forte, qui virent le massacre et la fuite de l'armée de secours, perdirent toute espérance et rappelèrent leurs troupes qui attaquaient nos ouvrages. À cette nouvelle, les Gaulois qui étaient dans le camp, l'abandonnèrent à la hâte. Si nos troupes n'avaient pas été harassées par les continuels mouvements et les combats de cette journée, elles auraient pu détruire la totalité de cette armée gauloise. Vers minuit, notre cavalerie fut envoyée à leur poursuite ; elle atteignit leur arrière-garde et en tua ou fit prisonniers un grand nombre ; les autres se sauvèrent dans leurs cités. » 
Dans une collection qui se propose de rendre accessibles aux jeunes lecteurs de grandes oeuvres littéraires, voici une traduction révisée de « La Guerre des Gaules », abrégée de manière à laisser intacts le fil du récit, le style et le rythme de l'auteur. Une chronologie de la vie de César et de ses campagnes, un glossaire, une carte des tribus gauloises et de la marche des armées romaines viennent compléter le texte.

Archimède / 9782211085564 / 15.30 € / Disponible

Saviez-vous que les prêtres romains examinaient soigneusement le foie d'un lapin et d'un faisan capturés sur le site d'une future cité pour savoir si la région était salubre ? Saviez-vous qu'un amphitéâtre était conçu pour que ses 20 000 spectateurs puissent entrer ou sortir en moins de dix minutes ? Et que le sol, au centre de l'arène, contenait de profonds bassins qui pouvaient être remplis pour mettre en scène des batailles navales ? Connaissez-vous la signification des mots suivants : castrum, cardo, decumanus, groma, ou encore pouzzolane ? Saviez-vous que, pour les Romains, une ville bien conçue contribuait davantage à la sécurité et à la paix de l'Empire que deux camps militaires ? David Macaulay vous invite à revenir deux mille ans en arrière pour assister à la construction et à l'évolution de Verbonia, magnifique exemple de l'ingéniosité et de la puissance romaines. Verbonia est une ville virtuelle, mais son plan et son architecture sont inspirés des cités fondées entre 300 av. J.-C. et 150 ap. J.-C. David Macaulay l'a imaginée sous le règne d'Auguste. Des centaines de cités construites en majorité par des esclaves et par des prisonniers de guerre, gaulois, grecs ou égyptiens... L'histoire de sa conception nous révèle l'étonnante alliance de la religion et des techniques les plus sophistiquées pour régler la vie quotidienne dans ses moindres détails. Elle nous montre aussi à quel point les urbanistes essayaient de satisfaire les besoins de tous, des riches comme des pauvres. Les Romains savaient qu'une ville n'était pas seulement un centre commercial, politique et religieux, mais aussi et surtout qu'elle devait être un lieu où les gens avaient envie de vivre.

Archimède / 9782211085588 / Disponible

Les anciens Égyptiens croyaient que, en dehors de son corps, chaque être humain possédait une âme, le ba, et un double immatériel, le ka. Lorsque le corps mourait, son ba particulier continuait à vivre ici-bas, sur terre, durant le jour. La nuit, il se reposait auprès du corps. En revanche, le ka voyageait sans cesse entre la terre et l'autre monde. La vie éternelle n'était possible que si le ba et le ka réussissaient à identifier le corps auquel ils appartenaient. C'est pourquoi il était nécessaire de préserver les cadavres par la momification. La tombe dans laquelle le corps était placé remplissait un double rôle. Elle devait le protéger des intempéries et le mettre à l'abri des voleurs que risquaient d'attirer l'or et les objets précieux placés à l'intérieur et à l'extérieur du cercueil. En outre, elle devait servir de demeure au ka. Plus le rang du défunt était élevé, plus son tombeau était vaste. Étant donné qu'à leur mort les pharaons devenaient des dieux, leurs tombes étaient les plus grandes et les plus richement ornées. La pyramide dont vous allez lire l'histoire est imaginaire, mais emblématique et représentative de toutes les autres, comme chaque création de David Macaulay. Elle est située quelque part du côté du plateau de Gizeh, sa construction commence vers 2470 avant Jésus-Christ et prend fin trente ans, deux millions de blocs de pierre taillée et quelques morts d'ouvriers plus tard (soit en 2439, car n'oublions pas qu'on compte à l'envers !) Plans, dessins, lexique et explications détaillées sont là pour vous aider à en suivre le labyrinthe. Vous que les mots « canope », « barque sacrée » et « sarcophage » font rêver, vous qui avez en tête toutes les images du Mystère de la Grande Pyramide et d'Astérix et Cléopâtre, embarquez-vous pour une croisière sur le Nil et dans le temps avec ce livre intarissable qui vous dévoilera le B.A.BA du ba et tous les cas du ka.

  •  
Drupal 7 Appliance - Powered by TurnKey Linux