Thème « animaux domestiques »
Devant les cages pleines de bébés cochons d'Inde, Martin a complètement fondu. Il se demande comment il va arriver à choisir. "Je vous en donne deux pour le prix d'un" dit le marchand. Maman fait un peu la tête, elle trouve qu'un seul cochon d'Inde, c'était amplement suffisant. Mais, miraculeusement, elle cède. A condition qu'il s'agisse de deux mâles, ou de deux femelles. Pas question de se retrouver à la tête d'un élevage. Martin et le marchand se mettent à examiner les cochons d'Inde de très près. C'est tout simple, disent-ils.
Je suis sous le choc. Que diriez-vous si, au lieu de fêter dignement votre anniversaire, vos maîtres organisaient une soirée entre voisins pour ce stupide Halloween ?
Voilà des gens qui vous nourrissent, vous câlinent, vous font croire que vous faites partie de la famille, et qui préfèrent les fantômes et les vampires à leur propre chat !
Est-ce ma faute à moi si je suis né un 31 octobre ?
Tuffy est en rogne mais bien décidé à organiser sa propre fête avec les matous du quartier.
Tout bien considéré, la nuit d’Halloween convient comme un gant à l’anniversaire d’un chat assassin…
Rupert se souviendra longtemps de cette journée chez sa grand-tante. Son chien Roly aussi. Grand-tante Ada n'est pas très sensible au charme des chiots polissons. Elle interdit qu'on touche à ses massifs. Elle n'a pas la télé, et si vous lui dites que vous vous ennuyez, elle vous fait passer l'aspirateur. Et en lignes bien droites et bien parallèles, s'il vous plaît. Mais en fait, dans cette maison, il y a pire que Grand-tante Ada : c'est Gordon, le perroquet. Il vaut mieux se méfier de ses clins d'oeil. Et de son don d'imitation. Gordon est un tyran, un véritable monstre !
« Chaque été, je passe mes vacances chez Mémé. Ce n’est pas comme à la ville, où on court tout le temps. Ici, à la campagne, tout est calme. Quand elle voit que je commence à m’ennuyer, Mémé me donne des missions, comme nourrir les animaux, planter des graines ou aller chercher le courrier. Moi, je préférerais des enquêtes, j’adore ça. Enfin dans les livres, parce que je n’ai jamais eu l’occasion d’en mener en vrai. Mais voilà que Barnabé, le chat de la maison, a disparu et que quelqu’un a déposé un étrange mot dans la boîte aux lettres. »
Olga et Eléonore ont installé leur marché de choses à vendre au bord de la route. Elles proposent, à un prix très raisonnable, du jus de pomme à la grenadine, des trèfles à trois feuilles qu'elles ont transformés en trèfles à quatre feuilles, et un très joli tableau, qui représente un chevreau en train de sautiller, et qui est une oeuvre de jeunesse de maman. Elles ont un tel sens du commerce que les automobilistes se bousculent. Et leurs voitures aussi. Mais ce n'est pas très grave, moins préoccupant en tout cas que l'état de Schmurff, le hamster qui a peur de son ombre, ce qui navre Olga, et n'accepte de manger que des champignons, ce qui lui donne une idée.
Retrouvez Olga dans d'autres histoires.
Si j’avais un animal de compagnie, il se coucherait au pied de mon lit, on jouerait ensemble et tout le monde me dirait qu’il est trop mignon. Odin, un de nos dieux vikings, a deux loups, deux corbeaux et un cheval à huit jambes. Moi, je voudrais juste un chat. Mais pour ma mère, hors de question : son petit cabillaud, c’est-à-dire mon frère, est allergique. J’ai bien pensé à un mouton, mais il mangerait les rideaux. Il va falloir que je trouve autre chose.
Au chenil où Pouët est né, les autres chiens, costauds et optimistes, ont vite trouvé preneurs. Mais lui a dû attendre longtemps qu’un maître vienne le chercher. C’est le fermier Martin. Pouët, éperdu de reconnaissance, cherche comment lui plaire, comment le servir. Comme le fermier n’exige rien, Pouët essaie tout. Courir après les vaches ? Ramener les poules entre ses dents ? Embêter le Vieux Cheval ? Et si ce qu’attendait le fermier Martin était bien plus simple et moins fatigant ?
C’est une histoire drôle, une sorte de pendant à leur précédent album, Le métier de chat, qu’ont voulu réaliser Daniel Hénon et Fabienne Mounier, mais aussi un hommage aux paysages, à la terre et aux hommes qui la cultivent dans leur région, la Nièvre. Ces types rudes, secs, taiseux, filmés par Raymond Depardon, ignorés par le reste du monde, qui continuent de nourrir l’humanité, sans commentaires inutiles. Et si le métier de chien, comme le métier de paysan, c’était tout simplement d’être soi-même ?
Lundi, j'ai tué un oiseau. C'est vrai. Ellie, ma maîtresse, a sangloté si fort en me serrant contre elle que j'ai cru me noyer. Mais dites-moi, qu'est-ce que je suis censé faire quand une petite boule de plumes m'arrive entre les pattes ? Je suis un chat, tout de même. Mercredi, j'ai rapporté une souris morte à la maison. Je ne l'avais même pas tuée mais Ellie a encore beaucoup pleuré.
Le journal d’un chat assassin a été adapté en BD par Véronique Deiss, d’après le texte de Anne Fine, chez Rue de Sèvres. Retrouvez le Tome 1 de la BD sur le site des éditions Rue De Sèvres.
Jules le chaton n'est pas heureux chez ses maîtres. Quand il n'est pas la victime de jeux idiots, il essaie d'éviter les attaques de l'aspirateur ou les cendres de cigare qui tombent du ciel. Un jour, il voit la porte entrouverte. Il ne lui faut qu'une seconde pour se décider...
C'est un grand jour pour la grande Adèle : elle vient d'avoir un bébé chat. Seulement, il n'a pas l'air aussi content qu'elle. Adèle lui propose une tarte au poisson, il répond qu'il n'aime pas le poisson, elle lui chante une berceuse, il se bouche les oreilles.
- Il n'y a qu'une solution, dit madame Cochonnet à Adèle. Tu dois l'emmener voir Brodequin le guérisseur.
Chez monsieur Brodequin, tout est sombre et ça sent la vieille pantoufle...
Je lance à la mère d’Ellie mon regard le plus noir. Car, non contente de me prendre en photo sous mon plus mauvais profil, elle décide maintenant d’utiliser mon portrait, oui vous avez bien entendu ! mon portrait, à sa propre gloire. Je serai sa première œuvre dans son tout nouveau cours d’arts plastiques. Mais que croit-elle donc ? Je ne vais pas me laisser ridiculiser aussi facilement. D’autant que le tableau est accroché juste au-dessus du canapé, là où tout le monde peut l’admirer. Et là où je pourrais l’atteindre…
La Vengeance du Chat assassin a été adapté en BD chez Rue De Sèvres.
Quand Laura, le terre-neuve d'Alice, prend des vacances à Paris, il faut s'attendre à ce qu'il ait la nostalgie de la mer...
« Rejoins-moi dans la lumière » indiquait la banderole suspendue entre deux arbres. Ce jour-là, rejeté de tous, et pire encore, banni par ma bande, j’ai rencontré mon nouveau Moi, un nouveau Tuffy s’est révélé pour enfin déployer ses ailes. Un Tuffy plein d’enthousiasme, en harmonie avec l’univers et prêt à avoir des liens étroits avec toutes les créatures vivantes. Pendant combien de temps, ai-je été ce nouveau moi ? (Je sais que tu meurs d’envie de le savoir).
D'accord, d'accord. Encore une nouvelle ombre à mon tableau déjà peu reluisant ! J'avoue, ce jour-là, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai affirmé à toute la bande que je ne me trompe jamais. J'aurais mieux fait de me taire : ils me sont tous tombés dessus en me rappelant le fameux épisode de la grenouille mortellement dangereuse… Ok, ok, je vais vous le raconter et vous verrez que dans cette histoire je ne suis pas entièrement fautif, simplement, je ne lâche rien.
Puisqu’on ne veut plus de lui dans cette maison, Tuffy a décidé de partir à la recherche d’un nouveau foyer, un endroit où il sera mieux traité et apprécié à sa juste valeur. Mais cet endroit existe-t-il ?
« Onze secondes ! Il a fallu onze secondes interminables avant qu’Ellie éclate en sanglots et prenne ma défense quand ses parents lui ont suggéré de se débarrasser de moi. Pire ! Lorsqu’ils lui ont parlé d’adopter un chaton, cette enfant déloyale a semblé hésiter. Qu’Ellie puisse songer un seul instant à me remplacer par une boule de poils qui sait à peine faire sa toilette ou attraper un oisillon dans son nid, c’est impardonnable ! »
La vie de chat peut parfois être magique. Ellie et ses parents partent une semaine en vacances. Je vais pouvoir me dorer au soleil sur les parterres de fleurs, sans leurs réprimandes et leurs cajoleries. Magique, je vous dis. À un détail près : ils m'ont trouvé un chat-sitter, le pasteur Barnham, un vrai tortionnaire. Il m'impressionne assez dans son genre. Entre nous, c'est une furieuse amitié. Je crois que je vais le quitter pour une perle, Mélanie. Elle m'aime parce que ma fourrure est douce. Je suis un chat, non ? Enfin, j'étais un chat. Car, quand elle me mettra un bonnet en dentelle et commencera à m'appeler Janet, cela sera le début des vrais ennuis.
Le Chat assassin, le retour a été adapté en BD chez Rue de Sèvres.