Thème « amour »
Quelle est cette armée de fantômes immobiles, pétrifiés dans l’abbatiale d’Abbey Road ?
Ce sont les pensionnaires et les professeurs de l’orphelinat, tous plongés dans une torpeur mortelle.
À peine revenues du monde magique d’Alvénir, Joy et ses camarades doivent y retourner pour trouver l’Alchiminott, le seul contrepoison qui puisse dissiper cet envoûtement. Mais cette fois, franchir la porte secrète ne suffit pas, c’est dans le passé d’Alvénir qu’elles doivent se rendre, aux origines du mal, à cette époque où le Diable Vert, désormais maître de l’orphelinat, n’était qu’un être d’amour et de compassion. Peut-être auront-elles, pour changer le cours du temps, à risquer leurs vies. Peut-être Ginger aura-t-elle enfin la preuve qu’elle n’appartient pas tout à fait au même monde que ses camarades.
Pour l’instant, la seule certitude de Joy s’appelle Alonn, ce garçon aux yeux violets auquel elle aimerait bien ne plus penser. Pourtant, lorsqu’elle rencontre Mauk, avec sa peau mate et son regard intense, son cœur se met à battre étrangement. En Alvénir, les enchantements comme les drames pourraient bien naître des histoires d’amour impossibles…
Tandis qu’au manoir d’Abbey Road le Diable Vert prépare l’invasion de l’orphelinat par les gens de son peuple, les Mogadors, Joy est kidnappée, retenue de force dans le monde d’Alvénir.
Elle seule, paraît-il, peut guérir Alonn, le garçon aux yeux violets, du mal qui le ronge.
Pour Joy, ce nouveau voyage est celui des révélations et d’une compréhension nouvelle. Elle découvre peu à peu que le monde magique d’Alvénir, sous son apparente douceur, est une dictature. Et malgré la peur que lui inspirent le Diable Vert et les Mogadors, elle comprend désormais leur révolte. Mais ce voyage est aussi celui de la confusion dans le cœur de Joy.
Est-elle vraiment amoureuse d’Alonn ? Est-il possible que par ses propres sentiments elle ait changé la nature de cet Almour et l’ait rendu capable d’aimer ? Et pourquoi alors est-elle toujours éprise de Mauk, le Mogador, qui l’a peut-être trahie ?
Ça y est ! Juliette est à New York, dans une grande école d'art. « La Grosse Pomme » est à elle, « la ville qui ne dort jamais ». À elle les buildings, les trottoirs enneigés l'hiver, les parcs verts l'été et, pourquoi pas, Robert Redford. Oui, elle passe devant son immeuble tous les jours, alors, pourquoi pas ? Mais avant de rencontrer Robert Redford, Juliette a bien le temps de rencontrer d'autres personnes, si différentes, si fascinantes, bien le temps de parcourir la ville en tout sens et d'assister à des concerts de rock dans des petits cafés. C'est justement un de ces soirs-là qu'elle va rencontrer Taddei. Le mystérieux et ténébreux Taddei. Il est un peu plus âgé qu'elle et il est guitariste. Juliette est folle amoureuse, à n'en pas douter. Tout va bien et elle est heureuse. Mais alors, pourquoi a-t-elle l'impression que ses amis ne regardent pas Taddei du même oeil ? D'où vient ce silence gêné quand elle parle de son amoureux ? Sont-ils tout bêtement jaloux ou y a-t-il quelque chose d'autre que personne n'ose dire à Juliette ?
Pour conquérir le cœur de Caroline, Olivier a dû vaincre sa timidité, braver le danger, affronter la Mafia, accomplir un exploit. Et maintenant ? Ils ont seize ans et ils s’aiment. Tout devrait être simple. Pourtant, ils ont peur. Peur de ne pas être à la hauteur de leur amour. Peur que tout s’arrête soudain. Car apprendre à s’aimer, aujourd’hui, c’est comme apprendre à conduire dans un cimetière de voitures. Qui va les aider ? Leurs parents ? Ils ne comprennent rien. Les cours d’éducation sexuelle ? Ils sont d’une nullité affligeante. Et si le secours venait d’ailleurs, inattendu, puissant comme un murmure ?
Aisselle manie la pelle, et le poste de radio fredonne : « J'entends un signal d'aaaalarme Quand tu t'approches, ça me désarme... » Il vient de passer quatorze mois à creuser des trous au camp de redressement du lac vert, et que fait-il une fois rentré chez lui à Austin ? Il creuse des trous ! Sauf que, cette fois, Aisselle est payé pour son travail. « Alerte rouge ! J'ai les m-m-mains tremblantes... » Aisselle est bien décidé à économiser de l'argent, à passer son bac, à éviter les embrouilles et surtout à se débarrasser de ce surnom qui lui colle à la peau. « Alerte rouge ! J'ai mal au ventre... » Mais bizarrement, quand on est noir, baraqué et affligé d'un casier, on trouve peu de soutien autour de soi. À moins d'avoir pour meilleure amie une petite fille handicapée qui, elle, n'est pas du tout impressionnée. « Alerte rouge ! Le sol sous m-m-mes pas s'éventre. » C'est alors qu'un ancien pensionnaire du camp du lac vert, X Ray, vient proposer à Aisselle une « affaire en or » qui va le propulser dans l'univers d'une jeune star de la chanson. Son plus grand tube : « Alerte rouge ! »
Pauline est une jeune Hollandaise. Et, comme toutes les filles d’aujourd’hui, elle se pose beaucoup de questions sérieuses ou farfelues. Une fille et un garçon de cultures différentes peuvent-ils s’aimer ? Est-ce possible de comprendre les adultes et d’être compris par eux ? Faut-il toujours faire confiance à ses amis ? Doit-on se méfier des inconnus ? Est-il normal de se confier à une vraie vache qui fait meuh ? D’écrire de la poésie ? De prier sans être croyante ? D’avoir un père qui se rase le crâne et se balade en robe ? D’éprouver du chagrin quand son grand-père adoré tombe malade ? D’avoir envie de rire dans un cimetière ?
Les réponses à toutes ces questions, et à bien d’autres, ne sont jamais simples. Elles se font même parfois attendre. Mais Pauline acquiert peu à peu une certitude : rien ne vaut ni ne remplace la vie. On rit, on pleure et c’est ainsi.
Ce volume contient : Unis pour la vie, La vie, ça vaut le coup, Le bonheur surgit sans prévenir, Porté par le vent et l'océan et un inédit, Je suis Pauline !.
Fin d’été. Léo est très pressé. Il court rendre visite à sa grand-mère, anxieuse depuis plusieurs jours. En traversant le parc, il se heurte violemment à une fille de son âge qu’il n’a jamais vue. Il veut prendre le temps de s’excuser, de se présenter, de parler un peu, mais la fille, elle, prétend qu’elle n’a rien à lui dire. Alors, ils se taisent. Et le silence parfois dit beaucoup plus que les mots.
La première fois, Antoine a eu vraiment la frousse. Il faisait ses devoirs dans la cuisine. Sa mère épluchait des carottes pour le dîner. C’est là que ça s’est produit. Un silence absolu. Et puis le monde autour de lui figé comme pour l’éternité. La deuxième fois, c’est arrivé au collège, au beau milieu d’une dictée. Antoine en a profité pour retoucher quelques copies et s’échapper, mais quand tout s’est remis en marche, il a fallu se justifier, et les choses ont pris un tour plus compliqué. La troisième fois que le temps s’est arrêté, Antoine a été moins surpris. Il est entré dans la maison voisine, jusque dans la chambre de Léa. Il n’a pas résisté. La plus belle fois, c’était un samedi sur la plage, et Antoine n’était plus seul…
Petite sirène a quinze ans. Elle a enfin le droit de quitter les eaux profondes pour aller voir là -haut le monde des humains. Son père, le Roi des mers s'inquiète de tant d'impatience et déclenche une terrible tempête pour ramener au plus vite sa fille auprès de lui. Hélas, c'est une autre tempête qui se déchaîne. Petite Sirène a vu le Prince, elle l'a sauvé du naufrage, elle est prête à tout pour le retrouver et pour s'en faire aimer. Mais que peut l'amour d'une petite sirène ?
Consultez le dossier « Pièce (dé)montée » sur le site Canopé
Loïc connaît un arbre magnifique auprès duquel il va se réfugier, seul. Pourtant, quand il rencontre Ariane, il est si troublé qu'il l'invite. Elle ne ressemble pas à celle qu'il imaginait, elle est si brusque ! Elle prend peu à peu possession de l'arbre, elle y suspend un poisson rouge, elle y fait une cabane. Loïc est furieux, c'est son arbre, après tout. Ce que ne sait pas Loïc, c'est que les arbres ne sont pas éternels. Ce qu'il ne sait pas, c'est que les filles brusques sont aussi fragiles.
Une belle villa en bord de mer, pleine de recoins et de mystère. Quatre sœurs qui sont cinq, orphelines de fraîche date, cousines des quatre filles du Docteur March et des cinq sœurs Bennet d'Orgueil et Préjugés. Emplie de personnages hilarants, de péripéties en tous genres et de dialogues piquants, cette intégrale nous fait (re)découvrir avec bonheur la vie de ces cinq sœurs, leurs amis, leurs amours, leurs humeurs, leur humour... Un pur régal pour le cœur et l'esprit !
Hortense, sur SA falaise, tient SON journal intime. Elle y raconte combien c'est dur d'être 1 sur 5, une parmi la multitude, surtout quand cette multitude est composée de :
- Charlie qui veut tout réparer à la Vill'Hervé et regarder à la dépense au lieu d'épouser Basile le docteur, de vivre à ses crochets et de fêter Noël au foie gras.
- Geneviève qui ment alors qu'elle ne ment jamais.
- Bettina qui est odieuse avec les êtres les plus sensibles de l'univers, à savoir : elle, Hortense, et Merlin Gillespie, le livreur magicien de Nanouk Surgelés, très, très laid à l'extérieur, mais si, si beau à l'intérieur.
- Et Enid qui a des conversations à bâtons rompus avec son ami Gnome de la Chasse d'eau.
Hortense se demande ce qu'elle va devenir. Architecte de monuments éternels ? Zuleika Lester, du feuilleton Cooper Lane ? Chirurgienne de maladies incurables ? Et si c'était comédienne ? Une idée folle, complètement Saint-Pierre-et-Miquelon, comme dirait Muguette, la locataire malade de la maison voisine. Hortense sait que, pour devenir comédienne, il faut une présence, une voix, de la mémoire, mais surtout de l'entraînement. Alors elle referme SON journal, elle quitte SA falaise, et elle fonce.
Il a été adapté en bande dessinée par Cati Baur chez Rue de Sèvres.
Le printemps, saison du renouveau, des amours et des primeurs, éclate dans toute sa splendeur à tous les étages de la Vill'Hervé. Renouveau ? Oui. Harry et Désirée, les petits cousins, viennent passer des vacances au grand air. Charlie, à sec, s'est résignée à louer la chambre des parents. Le locataire s'appelle Tancrède, il est jeune, célibataire, drôle, fabricant d'odeurs bizarres. Et beau. Primeurs ? Trop. On retrouve des poireaux nouveaux partout, dans la soupe, coincés dans un cadre de tableau et même dans le pot d'échappement de la voiture de Tancrède. Toujours lui. Amours ? Hélas. Tancrède sème le trouble et récolte la tempête dans le coeur de Charlie. Bettina se languit du très très moche et si splendide Merlin. Hortense découvre que les règles peuvent être autre chose que « l'ovule non fécondé et les structures endométriales se font la malle, Chantal ». Enid fait des confidences. Geneviève se tait. Et Mycroft, le rat, qui tombe amoureux à son tour...
Quatre sœurs - tome 3 : Bettina a été adapté en BD chez Rue de Sèvres.
L'été a vidé la Vill'Hervé. Hortense et Enid sont à Paris, pour voir leurs cousins, Désirée et Harry. Bettina est partie camper avec les DBB. Charlie se demande toujours comment faire pour nourrir, loger et blanchir tout son monde. Geneviève passe ses journées à la plage à vendre des chichis et des churros en regardant passer les bateaux, les pédalos, les glaces à l'eau et surtout le ténébreux Vigo. Il la promène en barque, la mène en bateau, lui donne rendez-vous et disparaît. Geneviève est toute tourneboulée. Et la Vill'Hervé, quoique vide, est sens dessus dessous, vu qu'avant, c'est elle qui rangeait tout. D'ailleurs, vide, la maison ne l'est plus tellement. Hortense et Enid ont ramené leur tante Jupitère. Les DBB ont ramené leur voisin de camping pour le remercier de leur avoir sauvé la vie. Geneviève est revenue de la plage et de quelques illusions. Alors, cette maison soudain pleine d'hôtes, forcément, ça donne des idées à Charlie...
Quatre sœurs, tome 4 - Geneviève a été adapté en BD chez Rue de Sèvres.
Greg est amoureux, il en est sûr. Tout l’été, il a sculpté son corps et soigné ses cheveux pour plaire à Jennifer Wade. Mais Jennifer Wade a déménagé.
Megin, elle, n’est pas amoureuse. Tout l’été, elle a attendu l’automne pour que le lac gèle, afin de pouvoir utiliser sa crosse de hockey. Mais la glace peine à prendre.
Greg et Megin sont frère et sœur, et tout les sépare. Ils se haïssent. Une véritable guerre civile règne chez eux. Quand leur petit frère Toddie a le malheur de traîner dans le coin, ils n’hésitent pas à le prendre en otage. Les parents sont désemparés – en particulier la mère qui pratique l’auto-hypnose. Les batailles se multiplient et tous les coups sont permis : coups de donuts, coups de cafards et, bien sûr, coups de crosse.
C’est une guerre fratricide. Une guerre à mort.
Ça fait maintenant quatorze ans qu'Alexa Victoire Hannibal, dite Alex, est un garçon manqué. La nuit de sa naissance, elles étaient huit femmes de la famille à guetter la merveille, le prodige, le miracle promis par l'échographie : le premier garçon depuis des siècles dans une lignée exclusivement féminine. Mais tout le monde peut se tromper, même les échographies. Alors pendant toutes ces années, Alexa s'est appelée Alex, a joué au foot, s'est baignée en T-shirt, est devenue la reine du roller et a souri quand on lui disait : « Bonjour p'tit gars ! »
Or, depuis quelques jours, en se regardant dans son miroir, Alex commence à se demander à quoi ça ressemblerait d'être une fille, une vraie fille, une fille réussie. L'éveil du printemps, en quelque sorte. Mais comment le dire ? Et à qui ? Et pourquoi ? Et à quoi bon ? Et après ? Alex a su patiner à deux ans, avant de parler. C'est ce qu'elle adore dans les patins, rollers, snake-boards et autres quads : ils sont un langage à eux tout seuls. Quand on glisse, le vendredi soir, le long de l'avenue d'Italie, on peut se taire. Les arabesques en disent long. Les pleins et les déliés des mouvements sont plus éloquents que des phrases. Surtout quand on sait trop bien ce qu'on voudrait crier à la terre entière, et plus particulièrement à Abdel Leroy-Merlin, le pote de toujours, qui lui ne sait pas patiner d'ailleurs. Mais qui écoute et qui observe. Le problème, si Alex se change subitement en fille, comme un vieux crapaud en princesse, c'est que ça va se voir et se commenter, dans la cour du collège où les langues de vipère passent leur temps à décortiquer la vie privée des filles. Le problème, si Alex ne fait rien, c'est qu'elle sera toujours privée de la vie privée des filles. Mais il arrive que le hasard, le printemps et les rollers arrangent quelque peu les choses.















