Thème « amour »

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0 à 3 ans13 ans et +
M + / 9782211336741 / Disponible

Continent Nord-Américain, 1870. Un jeune journaliste, Kristopher Andersonn, est lancé sur les traces d'une jeune fille asiatique prénommée Vinh. Ses motivations sont incertaines. Sous couvert d'un grand reportage sur les migrations des peuples d'Asie, il la poursuit sans relâche. La jeune femme semble s'être lancée dans une quête vengeresse et son cheminement est jonché de cadavres. Elle exécute les anciens membres d'une bande sans état d'âme et sa colère n'a pas de limite. Les deux protagonistes finiront par se retrouver, au cœur d'un maëlstrom de fureur et de sang. Et cette rencontre ne se fera pas sans quelques étincelles. L'amour est-il encore envisageable dans une contrée aussi impitoyable que l'Ouest Sauvage ? 

M + / 9782211201612 / 9.00 € / Disponible

Son nez n’est pas du tout crochu. Elle ne chevauche aucun balai, ne touille aucun chaudron. Pourtant, Ingrid est une sorcière. Et une belle.
Le jour où elle débarque au village de Skelleftestad, tous les hommes tombent raides. Elle pourrait prendre celui qu’elle veut. Alors pourquoi choisit-elle d’épouser Nils Swedenborg, qui est certes beau, joyeux, fidèle et travailleur, mais aussi pieux et indécrottablement stupide ? Pour se ranger ? Mener une vie tranquille au coin du feu, avec le charpentier du cru, et s’en aller prier au temple tous les dimanches ?
Non. Une sorcière a un besoin viscéral de tours et de magie. C’est leur fille qui raconte l’histoire. Elle connaît la réponse. Et cette réponse fait froid dans le dos.

M + / 9782211086929 / 9.50 € / Disponible

Clara a tout accepté depuis la mort de sa mère. Elle n'a pas fait d'histoires quand son père lui a annoncé qu'il se remariait avec Géraldine. Elle n'a émis aucune protestation lorsque les photos de sa mère ont disparu des murs et que ses objets personnels ont été relégués à la cave. Elle n'a rien dit quand sa nouvelle belle-mère a refait la décoration de l'appartement sans égard pour les souvenirs des jours heureux. Elle a répété qu'elle comprenait, alors qu'elle n'en pensait pas un mot. Elle a serré les dents. Elle s'est parfois retenue de vomir. Mais trop c'est trop ! Laisser son père vendre la Marotte, leur maison de vacances et son coin de jardin, l'endroit sacré où les cendres de sa mère ont été dispersées ! Ça, Clara ne peut l'accepter. Sa famille lui reproche de vivre enfermée dans ses souvenirs ? Elle va la prendre aux mots et vivre enfermée au milieu de ses chers souvenirs...

M + / 9782211238847 / 14.00 € / Disponible

Pour Antoine et ses amis, l'été qui commence sépare les années lycée de l'entrée à l'université. Si tous (Mehdi, Hannah, Alice) savent déjà ce qu'ils vont faire, ce n'est pas son cas. En pleine incertitude, y compris familiale — car sa mère a un nouveau compagnon qui ne lui plaît guère —, Antoine broie du noir depuis qu'Hannah et lui ont rompu. Faute de mieux, entre deux fêtes trop arrosées, il se console dans les bras d'une jolie blonde et accepte un petit boulot dans une maison de retraite. 
Mais le temps presse, et il faudra bien qu'il décide ce qu'il veut faire de sa vie, avec ou sans Hannah.

Illustres Classiques / 9782211302241 / Disponible

En épousant Camille, son cousin souffreteux et sans charme aucun, Thérèse découvre l’ennui… Elle tombe très vite sous le charme de Laurent, un ami du couple. Les deux amoureux vont rapidement trouver ce mari bien encombrant. L’idéal serait qu’il disparaisse. Alors, pour profiter pleinement de cette passion dévorante, les amants décident de le tuer. Peu à peu, leur projet meurtrier s’affine jusqu’au passage à l’acte sans que jamais les scrupules ne viennent les effleurer. Sauf que… gérer l’aprèscrime exige de posséder des nerfs d’acier, de la
patience et de l’endurance. Faute de quoi, la suite des événements peut mener tout droit en enfer.

Classiques / 9782211211949 / 6.50 € / Disponible

Thérèse n’a pas précisément « tiré le gros lot » en épousant son cousin Camille Raquin, garçon souffreteux et sans charmes d’aucune sorte. Très vite, elle va le tromper avec Laurent, l’ami du couple, et les deux amants en viennent bientôt à ressentir l’existence du pauvre mari comme un obstacle intolérable à leurs plaisirs.
L’idéal serait qu’il disparaisse. Alors que faire ? Le tuer ? À condition de ne pas se faire prendre, on pourrait ensuite s’aimer librement et ce serait la belle vie…
Peu à peu, le projet se précise. Le scrupule est un sentiment étranger aux deux complices, qui sont à peu près dépourvus l’un comme l’autre du moindre sens moral. Ils décident donc de passer à l’acte. Mais si le crime est, comme on l’a dit de la guerre, un « art tout d’exécution », l’après-crime exige des nerfs solides, de la patience, de l’endurance. Faute de quoi, la suite des événements peut déboucher sur l’enfer.
L’histoire atroce que nous conte Zola dans Thérèse Raquin, roman de jeunesse antérieur au cycle des Rougon-Macquart, aurait pu être la chronique d’un remords, mais elle est celle d’un cauchemar : le Mal a ouvert une plaie qui, bizarrement, ne se referme pas…

M + / 9782211025430 / 9.00 € / Disponible

Est-ce parce que Rachel Robinson est un petit génie en maths et que sa chambre est toujours impeccablement rangée, qu'on pense toujours à elle pour représenter, défendre, aider, conseiller ses camarades ? Est-ce pour les mêmes raisons que ses amies, Alison et Stéphanie la croient difficilement capable de vivre une histoire d'amour ? Est-ce parce que tout le monde la sait raisonnable qu'elle ne cesse de se faire du souci pour tout, et particulièrement au sujet de son frère Charles qui, lui, se comporte de la façon la plus déconcertante et la plus agaçante qui soit ? D'ailleurs, c'est tout de même à cause de lui, de ses sarcasmes permanents et de ses petits scandales, que les Robinson se retrouvent un jour chez un docteur spécialiste des problèmes familiaux. Rachel essaie de confier ses angoisses à Alison et Stéphanie, mais tout ce qu'elles trouvent à dire, c'est que Charles a un charme fou !
 

M + / 9782211068864 / 9.50 € / Disponible

C'est la rentrée et Julien sent tout de suite que quelque chose cloche dans ce nouveau lycée. Pourtant, la classe de seconde D est une classe comme les autres, avec des crâneurs, des premiers de la classe, des filles aux agendas de star et des paresseux collés au radiateur. Non, ce qui cloche, c'est Julien. Il se sent à la fois si loin et si différent. Il n'aime pas les blagues sur les filles, il ne s'intéresse pas au foot et déteste les jeux vidéo. Il fait tout de même des efforts pour s'intégrer. Il suffit d'ailleurs de quelques vannes à la récré, et le voilà adopté. Avec Clément, c'est différent. Dès le premier jour, Julien décide que ce garçon calme et silencieux, assis en classe devant lui, avec sa grande nuque et son col de chemise impeccable, sera son meilleur ami. Un ami dont il se surprend à écrire le nom en tout petit sur ses classeurs...

Classiques / 9782211204231 / 6.50 € / Disponible

De l’aveu même de Hugo, Les Travailleurs de la mer est un roman sur la nature, ainsi qu’un hommage à sa terre d’adoption et d’exil, l’île de Guernesey. C’est là qu’au début des années 1820 Lethierry, propriétaire d’une petite entreprise de cabotage, opère une véritable révolution en assurant un service entre l’île et Saint- Malo, grâce à un bateau à vapeur, la Durande. Une concurrence qui ne plaît pas à tout le monde et soulève bien des jalousies…
La Durande s’échoue donc un jour entre les écueils de Douvres, mais ses machines sont encore intactes dans le ventre de l’épave. Lethierry promet la main de sa nièce à quiconque les sauvera. Par amour, Gilliatt, le pêcheur solitaire, le maudit soupçonné d’avoir des accointances avec le Malin, relève le défi et brave l’océan…
Gilliatt, c’est Quasimodo, c’est Gwynplaine, mais c’est aussi Hugo, l’exclu, le solitaire, le proscrit, l’homme indissociable de l’oeuvre, qui, dans un premier temps, avait intitulé L’Abîme ce cauchemar maritime.

 « Le génie de Victor Hugo brise invinciblement tous les moules, et ce serait en vérité une prétention quelque peu insensée que de vouloir endiguer cette lave et proportionner cette tempête. Les Travailleurs de la mer, L’homme qui rit, Quatrevingt-treize parurent successivement. Les mêmes beautés d’imagination, d’originalité et de style s’y retrouvent à chaque ligne. » Leconte de Lisle, discours de réception à l’Académie française, 1887.

La lecture d’un roman de Victor Hugo figure au programme de français des classes de quatrième.

M + / 9782211318068 / Disponible

Le jour où son père quitte la maison sans un mot, Sandra perd pied. Le monde lui échappe, les cours l’indiffèrent, et elle cherche coûte que coûte à s’accrocher pour ne pas tomber. Au lycée, elle succombe au charme sulfureux de Ben, à ses yeux sombres, son sourire éclatant, et au parfum de mystère qui flotte autour de lui. Ben, de son côté, veut rester le maître du jeu. Un jeu dangereux, très dangereux, dont lui seul connaît les tenants et les aboutissants.

M + / 9782211317566 / Disponible

Julie Maupin court les duels et dégaine à tout va. Elle se produit également sur les plus grandes scènes d’opéra. Elle aime se travestir, collectionner les amants et séduire les jolies femmes. Par amour, elle peut se lancer dans de folles aventures, quitte à mettre sa vie en jeu. Elle combat les préjugés de son temps et conquiert sa liberté pied à pied. Cette femme hors du commun a grandi à la cour de Versailles et traversé le XVIIe siècle telle une comète. Sa vie est un roman !

Classiques / 9782211228589 / 6.50 € / Disponible

Lorsqu'il publie Une vie, en 1883, Guy de Maupassant a trente-trois ans et derrière lui, déjà, une carrière d'écrivain reconnu. Il saisit Jeanne, son personnage, à l'âge de dix-sept ans. Comme son aînée Emma Bovary, Jeanne rêve du grand amour. Elle a tout pour être heureuse, tout pour devenir la princesse de contes de fées de ses songes. Mais l'irruption de Julien dans sa vie va la faire pénétrer de plain-pied dans la réalité sociale des femmes de son époque, et la désillusion deviendra le motif obsédant qui ponctuera sa vie. L'inconséquence et les compromissions de ses parents, la muflerie et les infidélités de son mari, les hypocrisies d'une société empesée dans ses traditions vont transformer son destin en « une vie » emblématique d'une forme de résignation féminine. Emma Bovary, Jeanne, Tess d'Urberville, Effi Briest : on pourrait s'étonner que la figure de la femme bafouée se manifeste avec une telle constance dans le roman réaliste européen. S'annonce, en fait, à travers ces peintures littéraires, une prise de conscience de l'insoutenable condition de la femme, laquelle présidera aux révolutions idéologiques féministes du XXe siècle.

M + / 9782211083249 / 10.00 € / Disponible

« J'étais entrée dans la pièce pour chercher un livre que j'avais posé, et je me suis retrouvée nez à nez avec ma grand-mère qui avait plongé sa main dans le sac et qui, quand elle m'a vue, a fait un bond en arrière. Au lieu de poser une question ou de quitter la pièce, j'étais restée figée, fixant ma grand-mère comme si je la voyais pour la première fois.
Elle avait tenté de se justifier : - Ne fais pas cette tête, c'est ta maman qui m'a demandé de...
Je n'ai pas écouté ses explications. Jamais ma mère n'aurait demandé à quiconque de regarder dans son sac. Je l'ai toujours entendu répéter que son sac, c'était sacré, et que jamais personne ne devait y toucher. C'était son intimité, sa liberté, son argent, ses secrets.
Mamido a commencé à s'énerver : - Ne reste pas là avec ton air idiot. Le problème, c'est que je ne pouvais plus bouger.
Mes jambes ne m'obéissaient plus. Et des jambes qui décident de faire grève au moment même où elles sont censées vous protéger d'un danger, c'est très inquiétant. Ça veut dire que vous ne pouvez plus compter sur vous. Mes jambes ont fini par céder à mes supplications et elles m'ont littéralement propulsée hors de la pièce. Dans la précipitation, j'ai glissé sur le bord du tapis et je me suis retrouvée allongée dans le couloir, face contre terre, aux pieds de ma mère qui venait de quitter la salle de bains. Je n'ai rien dit à ma mère, je me suis contentée de pester contre le tapis. »

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