Thème « amitié »
Zoreilles ?… C’est le chien d’Adrien. Ressort ?… C’est le chat d’Adeline, et Galipette, c’est le hamster d’Antoine.
Mais Hyper ?… Hyper, c’est l’ami d’Arthur. Hyper est très gros, mais il sait aussi être très discret. Il est très lourd, mais personne ne nage aussi légèrement que lui. Il est terriblement fort, mais il sait se faire aimer de tout le monde. Il n’a que quatre dents, mais il adore les algues au chocolat.
Au début, bien sûr, tout le monde avait un peu peur de sa grosse voix, mais aujourd’hui, tout le monde veut être son copain, même les filles.
Certains soirs, Hyper est un peu triste, il aimerait bien retourner là -bas, dans son pays, en Afrique. Mais il ne partirait pas longtemps, c’est juré ! Il reviendrait vite voir son ami Arthur, qui a tant besoin de lui. Parce que, depuis qu’Hyper dort tout à côté de lui, Arthur n’a plus jamais peur du noir ni des cauchemars !
Ils étaient trois copains. Sur le podium, ils se retrouvaient toujours dans cet ordre : Gus, premier, Brice, deuxième, Jeff, troisième. Mais voilà , Gus n’est plus là . La première place est donc vide. Que faire ? La prendre ? Brice en a très envie, Jeff aussi est tenté. Mais rien à faire, ils n’y arrivent pas. On ne peut pas le remplacer comme ça, Gus. Impossible de l’oublier. Et voilà qu’arrive Taya, une inconnue, chargée d’un bouquet de fleurs… pour qui ? Pour Gus, évidemment.
Pour son anniversaire, Omri a reçu trois cadeaux. Ses parents et son frère aîné lui ont offert un skateboard avec un casque, son ami Patrick lui a offert un vieux Peau-Rouge en plastique dont il souhaitait probablement se débarrasser, et son autre frère, Gillon, qui avait été privé d'argent de poche, lui a donné un placard qu'il a trouvé près des poubelles. Contrairement à que l'on pourrait croire, ce dernier cadeau plaît beaucoup à Omri, notamment parce que c'est un placard qu'il peut fermer à clé. Il commence par y ranger l'Indien en plastique. Mais...le placard aurait-il des pouvoirs magiques ? Voilà que l'Indien s'anime. Il est vivant, aucun doute. Il se montre tout de suite très courageux, très susceptible et complique énormément la vie d'Omri.
Maintenant adapté au cinéma, le best-seller de Lynne Reid Banks est devenu un film de la Columbia, par les producteurs de « Qui veut la peau de Roger Rabbit ? » et des « Aventuriers de l'Arche perdue », écrit par la scénariste de E.T. et réalisé par Frank Oz.
Lors d'une excursion dans un château, Isis n'écoute rien de la visite guidée, et trouve plus excitant d'explorer les pièces interdites au public. Dans une chambre sombre, elle découvre une vieille dame. Celle-ci prétend être la descendante de la reine égyptienne Hatchepsout et lui ordonne de délivrer l'amulette dissimulée dans un coffret d'Anubis… avant qu'il ne soit trop tard. Isis ne comprend rien. Cette dame est-elle en plein délire ? Pourquoi lui confie-t-elle cette mission ? Elle ne la connait pas et elle n'a que 11 ans ! Ce n'est pas parce que sa mère est égyptologue qu'elle peut faire quoi que ce soit ! La vieille dame insiste. Curieuse, Isis est intriguée : dès le lendemain, elle demande à sa mère de l'emmener voir le fameux coffret dans les réserves du Louvre…
Le collège, c’est dur… Nat aimerait bien avoir un guide, un plan, un lexique pour s’y retrouver.
Au collège, on ne dit plus « bizarre », mais « chelou », on doit présenter son carnet toutes les cinq minutes, il y a au moins dix profs pour remplacer la maîtresse, et certains demandent de drôles de trucs comme d’adopter un œuf à la maison !
Heureusement, il y a choses qui ne changent pas. Nat a toujours Mimi comme meilleure amie et elle continue d’organiser des réunions dans les toilettes pour discuter avec ses copines. Sujet du jour : peut-on avoir pour deuxième meilleur ami un garçon ? Et même s’il s’agit d’un ancien amoureux comme Louis ?
Nat et Mimi ont grandi d’un coup ! Dominique Souton, qui a toujours aimé suivre ses personnages de livre en livre, nous les avait présentées en CE2 dans « Ma meilleure amie
a une meilleure amie ». Nous les retrouvons en sixième, au collège, où plus rien n’est pareil. Un changement de lieu, d’âge et de questionnements qui a entraîné la romancière sur des forums pour ados où elle a passé des heures. Un « bonheur de littérature », selon elle, et un domaine qu’elle ne se lasse pas d’explorer.
Si Henri est devenu révolutionnaire, ce n'est pas tellement à cause de ses parents qui vont tous les mercredis à des réunions de cellule, c'est plutôt par admiration pour Yvan. Yvan a douze ans et c'est un vrai révolutionnaire. Il aime l'armée russe, fabrique des maquettes de spoutniks et prononce des phrases comme : « Si tu ne t'intéresses pas à la politique, c'est la politique qui s'intéressera à toi. »
Yvan est aussi fort en géographie qu'en politique, et il connaît le nom de tous les grands : Lénine, Staline, Mao Tsê Tung, Che Guevara... Grâce à son enseignement, Henri milite activement. Il explique à ses camarades ce qui se passe au Viêt-Nam et va peindre des slogans la nuit sur les murs de la cité. Pour être un vrai révolutionnaire comme Yvan, Henri est prêt à tout. À être premier de la classe, à se séparer de certains de ses amis, à tenir tête aux Américains, à marcher des heures sans craindre d'avoir mal aux pieds, à supporter dignement le spleen des fins de manifestations. Il est même prêt à voir Yvan mourir dans ses bras et à prendre sa place comme chef de la révolution. Il se plaît d'ailleurs beaucoup à imaginer ce grand moment bouleversant. Mais que se passerait-il si jamais Yvan venait à le décevoir, si un jour, pendant quelques instants, il se comportait comme n'importe quel garçon de douze ans ? Pire, que se passerait-il si Henri s'apercevait tout à coup qu'Yvan n'est pas aussi révolutionnaire qu'il veut le faire croire, et que certaines injustices, beaucoup moins éloignées que le Viêt-Nam, le laissent totalement indifférent ?
2 septembre, veille de la rentrée. Contrairement à ce que pense ma mère, je n’entreprends pas ce journal aujourd’hui par plaisir, ni parce que j’entre en sixième demain. Je n’ai rien à dire là -dessus. Je veux parler des raisons pour lesquelles je vais devenir nul. Point à la ligne.
Elle est timide, Mattie, et elle a un peu peur. Elle n’a qu’une semaine pour s’habituer à sa nouvelle école. Parce que dans une semaine, elle entrera en CM2. Et il faudra bien qu’elle se présente devant la classe. Heureusement, son oncle Popote est le gardien de l’école. L’oncle Popote raconte beaucoup d’histoires. Il dit qu’il parle à la Lune, par exemple, et que la Lune lui répond. Et elle aime ça, Mattie, les histoires. Elle en écrit plein dans son carnet, au milieu des « Règles d’or du nettoyage ». Mais à qui pourrait-elle les montrer ? À une amie, certainement. À une vraie amie. Mais, pour commencer, comment se fait-on des amis ?
Résumé de ma situation. Je m'appelle Jeanne, j'ai dix ans. Aujourd'hui, c'est mon anniversaire, et mon père m'a emmenée à Venise. Je devrais être folle de joie, mais comme il y a de l'eau dans le gaz entre mes parents, et que ma mère est à des milliers de kilomètres, à Séoul, oui, Séoul, j'ai peur que cet anniversaire soit le plus triste de ma vie. Le plus raté, aussi. Car notre guide vient d'être emportée par un bateau-ambulance, et mon père a disparu, lui aussi, me laissant seule sur la place Saint Marc. Heureusement, il y a Indaco. Il a dix ans, et il connaît Venise comme sa poche.
C'est la rentrée du CM1 et Andréa est de très mauvais poil. Pour commencer, la maîtresse l'a séparée de ses meilleurs amis, les Jojos, Johan et José, pour la coller à côté d'un nouveau qui parle comme un livre du Moyen Âge et fait des baisemains. Comme si ça ne suffisait pas, le nouveau, qui s'appelle Joseph, veut que tout le monde l'appelle Jojo. Ça va pas, non ? ! pense Andréa. Les Jojos, c'est sa bande à elle : chasse gardée ! Et, pour finir, il faut remplir une fiche de renseignements et répéter encore une fois cette phrase qui la torture depuis quatre ans : Profession du père : mort. Mais, soudain, Andréa glisse un oeil sur la feuille de Joseph et y découvre quelque chose qui l'abasourdit. Et quand Joseph dit : « La sonnerie a retenti, il est temps d'aller te restaurer », Andréa a très envie de le suivre. À la cantine, et même plus loin.
Killiok, le chien noir, est inquiet. Il attend le retour de Vari Tchésou, le magicien rouge, dont il n'a pas de nouvelles depuis le printemps. D'après les oiseaux, une roulotte aurait été aperçue au fin fond de la Grande Forêt… Killiok convainc Véronica de l'accompagner pour savoir ce qu'il en est.
Tous deux s'enfoncent dans la Grande Forêt et font des rencontres surprenantes : Pikkeli Mimou dans son refuge, le Chat Mystère qui va au festival de vol, Susy le cheval… et tous ces Bébés Mousse avec qui ils prendront le train !
La Chintia, dont Anne Brouillard a imaginé la carte, est divisée en 11 pays. L'histoire prend vie au travers des personnages, des lieux, et de leurs influences. Tout est possible et a l'air réel. Le premier tome met en mouvement les habitants du Pays du Lac tranquille.
Pierre habite à la campagne et il connaît par coeur le moindre caillou, la moindre brindille, le moindre insecte. Nina a beaucoup voyagé et la campagne, elle n’y connait rien. Cela ne l’empêche pas d’être curieuse, de poser des questions, et de s’enfoncer dans la forêt, malgré les conseils de Pierre de ne pas y aller toute seule. Il y aurait là une mare, et dans cette mare, des sorcières. Mais cela n’effraie pas Nina, au contraire.
Tous les troisièmes dimanches de chaque mois, Lola retrouve son Papy Jacquot et pendant des heures, tous les deux, en silence, ils font des origamis. Or un dimanche, impossible pour Lola de lui rendre visite. Même si ses parents ne lui disent rien ou si peu, même si elle ne parle pas, Lola comprend que son grand-père est à l’hôpital et qu’il est très malade. Un jour, elle rencontre un drôle de garçon qui parle tout le temps et qui a d’étranges activités : il pêche mais avec une canne à pêche sans fil ; il chasse les pigeons mais avec un lance-pierres sans pierres et il est prêt à aider Lola à envoyer un signe à son grand-père.
De nombreux mystères planent autour de Louis XVII, ce petit garçon qui avait huit ans quand il fut enfermé au Temple avec sa famille, par le peuple des Parisiens en colère. À quoi pensait-il quand il voyait pleurer sa mère, la reine Marie-Antoinette ? À quoi jouait-il, tandis que dehors on brandissait au bout d'une pique la tête de la princesse de Lamballe ? Pourquoi sa personnalité a-t-elle brusquement changé ? Pourquoi a-t-il fait un faux-témoignage contre sa mère ? Pourquoi a-t-il un jour cessé de parler ? A-t-il été assassiné et remplacé dans sa cellule par un autre enfant ? Une seule personne connaît la vérité. C'est Angèle, la fille de la lingère.
Il pleut, il pleut, ça ne s’arrête pas. Mon oncle Régis doit s’occuper de toutes les choses fragiles du château et des jardins abîmés par le déluge. C’est son travail, il ne va pas laisser Versailles se faire inonder ! Moi, je m’inquiétais surtout à l’idée de la fin du CM1, du collège qui approchait. Mais lorsque même les bassins se sont mis à déborder et que l’eau est montée dans notre petite maison du parc, j’ai compris que les choses allaient être compliquées bien plus tôt que ce que j’imaginais.
C'est bientôt la fin de l'année scolaire et Violette a encore un devoir à rendre : son arbre généalogique. Sur les traces de ses ancêtres, elle doit retourner dans l'appartement dans lequel elle a grandi avec ses parents, la boucle se boucle… Ce dernier tome de la série sera publié en même temps que la première diffusion des 6 épisodes animés La vie de château sur France TV fin 2024 (octobre). Chacun des épisodes correspond à chacun des livres. L'épisode 5 qui correspond au tome 5 déjà paru Le fantôme de Versailles est en compétition au festival d'Anncecy 2024.