Thème « affirmation de soi »
Elles sont rouges. Quand il les chausse, Babakar Quichon bat tout le monde à la course, ses frères, ses soeurs, son papa, sa maman, et même le lion de Stéphanie. Et ce n’est pas tout ! Quand il porte ses basquettes fantastiques et mirifiques, Babakar Quichon passe le mur du son, va plus vite que la lumière, plus vite que la musique, il sort de l’espace-temps ! Et puis, une fois qu’il a gagné, il les ôte, et, tranquillement, il attend les autres.
Cette poussette est à Cléo Quichon, et à elle seule ! C’est sa propriété privée, sa chasse gardée. Que quelqu’un d’autre y touche sans autorisation, la pousse, s’y installe ? Pas question ! Évidemment, une poussette, c’est fait pour pousser les gens, c’est mieux s’il y a quelqu’un dedans…
Gaspard n’est pas content du tout. Être à la fois le petit frère de Simon et le grand frère de Suzanne, c’est vraiment pas facile. Trop petit pour aider papa à bricoler… trop grand pour attendrir maman et se faire admirer… Dégoûté, il se venge en faisant plein de bêtises. Et il en rajoute en accusant bébé chat. Pourtant, Gaspard a des idées et de la bonne volonté. Il suffit que le vent se lève et fasse voler les feuilles sur la clôture repeinte de frais pour qu’il ait l’occasion de le prouver !
Quand il se réveille de sa longue hibernation, Mammouth ne reconnaît plus rien. Partout d'étranges créatures, et beaucoup de boucan… Mais où est passé son troupeau ? Il ne comprend rien à ce qui l'entoure. Il essaie pourtant de se faire des amis, et va de déception en déception, jusqu'à ce qu'il entende au loin un barrissement qui ressemble au sien…
Soixante-treize, c'est le nombre d'enfants dans la famille Quichon. Il y a Gaëtan Quichon, qui a des démêlés avec un cauchemar, et Philippe Quichon qui désire voler. Il y a aussi Diane Quichon, Paolo Quichon, la petite Cléo Quichon etc... Ne vous inquiétez pas, bientôt vous les connaîtrez tous. Évidemment, soixante-treize enfants, c'est parfois un peu compliqué pour les parents. Il arrive que Maman Quichon ait du mal à les coucher, par exemple. Il arrive même qu'elle soit obligée de se fâcher. Mais quand vos soixante-treize petits cochons vous font un bisou tous en même temps, vous ne regrettez sûrement pas d'être mère.
Bernard est un dragon rapide qui a un beau prénom et qui met beaucoup de buts au foot. Mais comme il est le plus petit de sa classe, Marcel, l’abruti jaloux, en profite pour l’embêter et se moquer de lui devant les filles. D’injures en coups de poing, de coquards en vengeance, cette histoire risque de mal se terminer. Même le réconfort apporté par sa maman peut se retourner contre Bernard, et ses mots d’amour se transformer en quolibets dans la bouche des autres. Il est temps d’y mettre bon ordre. Chauffe, Bernard !
À sa naissance, Édith a reçu deux dons. Le premier, d'une fée débutante, lui permet de donner la vie à n'importe quel objet. Le deuxième, d'une vieille fée en fin de carrière, est celui de l'Éternelle Enfance. C'est pourquoi, aujourd'hui, cent ans plus tard, Édith s'apprête à fêter son siècle en ayant l'air de n'avoir que sept ans. Ce qu'elle souhaite cette fois ? Un nouvel ami, peut-être. Une nouvelle vie, à coup sûr.
Pendant que les autres mulots font provision de maïs et de noisettes pour l'hiver, Frédéric, lui, fait provision de soleil, de couleurs et de mots.
Sophie a trouvé une trompette dans la rue : quelle chance ! Mais elle a beau la nettoyer, et s’entraîner à souffler dedans, aucun son n’en sort. Heureusement, sa voisine Mireille connaît la musique. Elle apprend un grand secret à Sophie : les instruments ont chacun leur histoire. Ils éprouvent des sentiments. Ils ont besoin d’être compris et aimés comme ils sont, pour pouvoir jouer… Un peu comme nous !
Dans le tome un de sa vie (Mô- Namour), Isée se laissait faire par des ventures qu’elle n’avait pas choisies, comme un accident de voiture. Elle a beaucoup appris, et maintenant, dans le tome deux de sa vie, Isée décide de partir vivre des ventures qu’elle décide elle-même. C’est mieux. La preuve : au lieu de subir, elle délivre. Au lieu de souffrir, elle guérit. Au lieu d’être seule, elle rencontre. Sa venture est variée. Une seule constante : Tadoramour, son doudou dodu, qui reste avec elle, à ses côtés, et ne la quitte pas, quoi qu’il arrive.
Simon a tout pour être heureux : une mare de boue dans laquelle se rouler quand il lui plaît ; des racines et des branchettes à grignoter toute la journée. Il n’a qu’un souci : sa mère. Elle lui demande au moins trois fois par jour quand il compte se marier. Chaque fois il répond qu’il a du travail, ou sommeil, bref, autre chose de mieux à faire. S’il continue, sa mère mourra de chagrin. À bout d’arguments, elle préfère appeler Bouliba la marieuse. Son rôle consiste à présenter à Simon des cochonnes de toutes sortes, jusqu’à ce que mariage s’ensuive…
« Les petits ne peuvent pas marcher en portant un gros sac. Ils ne savent pas ramasser du bois pour faire cuire le riz. Ils pleurent pour un rien. Ils ont peur du noir. »
Pour toutes ces raisons, les grands ont décidé que Nao n’avait pas le droit de partir camper avec eux. Heureusement, sa voisine Tomoko, qui organise la sortie camping, décide de lui donner sa chance. Toute fière, Nao tient à prouver son sens des responsabilités ! Elle va même se montrer capable d’aller faire pipi toute seule dehors, la nuit…
À force de faire bêtise sur bêtise dans son terrible costume de loup, Max s’est retrouvé puni et enfermé dans sa chambre. Mais pas seulement. Voilà qu’il se retrouve aussi roi d’une armée de bêtes immondes, les Maximonstres. Max le maudit les a domptés. Ils sont griffus, dentus, poilus, vivent sur une île et ne savent rien faire que des sarabandes, des fêtes horribles où il n’y a rien à manger. Max a la nostalgie de son chez-lui, des bonnes odeurs de cuisine et de l’amour de sa mère. Que faut-il faire pour rentrer ? Peut-être commencer par le désirer…
Parfois, quelqu’un change votre nom et vous devenez Mô-Namour. Parfois, ce même quelqu’un dit qu’il veut jouer et vivre avec vous, mais il ne fait que vous obliger à lui faire des gâteaux, vous prendre pour une balle, et vous envoyer partout à coups de coups. Parfois, quelqu’un d’autre, une étoile tombée de votre douleur, par exemple, vient vous dire la vérité : Hiltedi Kiltème Mézilteveu Dumal. Alors il faut partir, chercher ailleurs la paix. C’est ce qui est arrivé à Isée. Elle était devenue orpheline, elle était devenue une victime, mais ça ne pouvait pas durer.
Penchée à la fenêtre de sa chambre, Mouha décide d'aller voir le sol de par terre où elle n'est jamais venue. Il y a sûrement plein de choses, d'animaux, de plantes, de personnes et de surprises belles et intéressantes. Peut-être même des énigmes et des mystères rieuses ? Mouha n'est pas déçue. Les monstres de rencontre horribilivicieux, Archikrott, Bâfrafon, Marfagole et Rédèdékère ? Elle va n'en faire qu'une bouchée !
Voici l'histoire de Jean Carotte, un petit lapin qui en avait assez que tout le monde l'appelle « Mon petit lapin ». Alors, pour bien montrer aux grands qu'il n'est plus « leur petit lapin », Jean Carotte décide un jour de devenir le pire des lapins...