Thème « affirmation de soi »
Une petite fourmi grimpe, grimpe en haut d’une montagne. Le papillon lui propose de la transporter plus haut mais la petite fourmi veut y arriver toute seule, comme une grande ! Arrivée en haut, elle s’aperçoit qu’elle n’était pas sur une montagne mais sur une girafe ! Tout en haut sur la tête de la girafe, elle peut maintenant voir très loin tout ce que d’habitude elle regarde d’en bas !
Un éléphant, un rhinocéros et un hippopotame, tout ça dans le même livre ! Mais ça prend beaucoup trop de place, se dit le petit oiseau. Celui-ci est bien décidé à se sentir moins serré, quitte à pousser tout le monde hors des pages du livre. On a toujours besoin d'un plus petit que soi chez soi, mais attention à la chute !
Aujourd’hui le livre est grognon. Il dit NON à tout : non à une promenade, non à une lecture, non à un bisou ! Vraiment non ? Autant fermer le livre ! Ah ! on ne ferme pas le livre ? Alors qu’est-ce qu’on fait ?
Après sa journée chez Grand-Ma et Grand-père où il a fait beaucoup de choses comme un grand, il n’a pas pris de biberon, il n’a pas eu peur de l’eau, il a bien rangé ses jouets, Maman le félicite ! Et Maman lui a apporté une surprise, une surprise toute petite qui va prendre beaucoup de place dans le coeur de Lucien !
Nini la petite souris sait faire pleinde choses toute seule : mettre son manteau, aller sur le pot... Avec Nini, nous partageons des moments de la vie des tout petits.
Quel phénomène, cet Ollie ! Depuis des semaines, Olga et Lola l'attendent. Mais il refuse de sortir de sa coquille, le coquin ! Et quand, enfin, il arrive, quel caractère de cochon ! Lui, aussi veut des bottes...
Gilbert ne supporte pas les oeufs. Absolument pas. Même à très, très petite dose, ils le font vomir. Beaucoup. Tout de suite. Certaines personnes connaissent le problème de Gilbert et ne lui servent pas d'oeufs, d'autres l'ignorent. Et puis, il y a la tante de Gilbert, sa méchante tante qui, elle, ne peut pas s'empêcher de mettre un tout petit peu d'oeuf dans ses boulettes de viande. Pour voir. Pour voir si c'est vraiment vrai. Si Gilbert n'exagère pas. S'il ne fait pas sa chochotte. Ce livre raconte comment Gilbert a voulu se venger de sa méchante tante. Pour voir... Ce livre nous parle aussi, avec un humour froid et décalé, du droit à la différence, de la compréhension et de l'acceptation de l'autre.
Anton Kraszowski ne s’est jamais résigné à être malheureux. Il a toujours su que sa vie méritait mieux. Un jour, il traverse le boulevard pour la première fois et lit la plaque de l’immeuble d’en face : Conservatoire national de Paris. Et tout à coup, Anton se dit que ça y est, sa vie va changer. Mais il ne peut pas deviner à quel point.
Je m’appelle Lilas Fleury, j’ai onze ans, j’entre en sixième et je ne suis plus un bébé. J’ai un grand frère un peu fleur bleue, une soeur qui s’habille d’un tutu et des parents qui se chicanent ; à la maison ce n’est pas toujours joli-joli. Je suis amoureuse en secret de Clovis Buzenval, le fils de la gardienne, mais je ne suis pas du tout gnangnan. J’ai des amies à épater, et je vais organiser en février un dîner de classe exceptionnel qui changera ma vie sans chichis. Parce que les choses doivent changer. Parce que je vais grandir. Alors surtout, surtout, n’allez pas croire que je sois cucu.
La danse, au début, pour Suzanne, c’était un jeu. Elle l’a apprise grâce à un livre, a suivi des cours, et elle y a pris goût. Tant et si bien qu’aujourd’hui c’est un nouveau monde qui s’offre à elle. Oui ! Car elle a présenté sa candidature à l’école des petits rats de l’Opéra. Le début de la gloire ? Oh, pas si vite…
Suzanne va devoir quitter son école et sa famille pour rejoindre l’internat de Nanterre. Sa directrice redoutable. Ses élèves aux prénoms improbables, prêtes à tout pour réussir. Et rencontrer Romu Millorteil en personne, le dieu vivant des chorégraphes. Et quand on a onze ans, entrer dans la danse est loin d’être une simple partie de plaisir…
Son nom est Cathrine, Arnaud Cathrine. Ça ne fait pas garçon comme nom. Pourtant, il est un garçon. Il aimerait le prouver, d'une manière ou d'une autre. Il essaie de boire du café mais il déteste ça. Dommage, il trouvait que ça faisait très garçon. Il essaie de péter la gueule à son meilleur copain qui lui a sorti une crasse. Ça marche assez bien (une incisive fêlée), mais ce n'est pas trop son genre d'être une brute. Un peu plus tard, il essaie d'embrasser une fille. C'est une réussite totale, mais qui ne regarde pas les autres. Alors les autres continuent à se moquer. Un jour, la prof de français note ce sujet de rédaction au tableau : « On vous donne la possibilité de changer une chose dans votre vie. Racontez. » Devinez ce qu'il choisit.
Pour Léo, les mauvaises nouvelles s’accumulent : papa a perdu son travail, maman a l’air « déboussolée » et, pire que tout, ils divorcent ! Quant à son meilleur ami… il est tout simplement devenu fou ! Heureusement, Léo hérite d’une boussole pas comme les autres qui a appartenu à son grand-père espagnol. Quand, dans les moments de doute, Léo l’interroge, c’est magique ! L’objet semble lui indiquer les bonnes réponses et la direction à suivre. Voilà de quoi remettre un peu d’ordre dans sa vie !
À la naissance de Lili Prune, personne dans son village ne s'aperçut qu'elle était une petite fille extraordinaire. À peine née, elle inventa le jour, la nuit, la nourriture, et bientôt le soleil, les planètes, le haut, le bas et le jet d'eau dans tous les sens. Mais on lui dit que ça existait déjà. Un peu plus tard, elle inventa l'eau chaude, l'eau froide, l'eau tiède un peu chaude, l'eau tiède un peu froide. Elle inventa aussi le manège et même une machine volante pour se promener dans le ciel. Mais on lui dit que ça existait déjà et que c'était sans intérêt. Alors Lili Prune quitta son village et partit faire d'autres inventions ailleurs. Un jour, pourtant, elle reviendrait. Et ce jour-là, la somme de toutes les inventions qu'elle avait faites allait sauver son village - et le monde. Mais cela, personne ne pouvait le savoir, même pas elle.
Les parents de Violette sont morts. Elle ne peut pas habiter toute seule, elle n’est qu’en CM1. L’assistante sociale qui s’occupe d’elle lui a dit que maintenant elle irait habiter chez son oncle, le frère de sa mère. Elle ne l’a pas vu depuis six ou sept ans mais elle s’en souvient très bien : il était vieux, gros et il puait. Quand elle arrive à Versailles, elle découvre que Régis-le-puant n’a pas changé et que sa maison est aussi horrible que lui. Violette est sûre d’une chose : elle ne peut pas vivre ici.
Chez les pies, on est voleur de père en fils et de mère en fille. C’est comme ça. Becca, elle, n’a pas le tempérament d’une voleuse, contrairement à ses frère et sœur, qui rivalisent d’audace et se moquent de la police des pigeons. Elle se dit qu’elle préférerait être pompière, voler au secours des gens au lieu de les voler tout court.
Mais aujourd’hui, c’est son anniversaire, et elle a rendez-vous avec Philippe, son maître de stage, qui doit faire d’elle, en quelques leçons, la plus habile des cambrioleuses. « Tu vois ce nid aux volets bleus ? lui dit-il, entres-y et rapporte-moi quelque chose de brillant. » Becca s’élance, le coeur battant. Elle n’a pas l’âme d’une voleuse, c’est certain, ni celle d’une délinquante. Mais peut-être bien l’âme d’une rebelle.
Comme son nom l’indique, Lancelot Dulac est chevalier. Mais il n’en est pas encore sûr. Pour le moment, il fait 1,35 mètre, rentre en 6e et tout change. Dans la Cour de récréation, un certain Arthur a le pouvoir. Quand la plus belle fille du collège dont il est amoureux disparaît, il lui faut se lancer dans une quête semée d’épreuves. Tournoi, traversée de la jungle du métro, fées et Palais des Glaces seront autant d’occasions d’éprouver sa peur et son amour, d’exercer son courage, et de devenir pour de bon, le preux chevalier qu’il espère être.