Thème « adoption »
Timoun veut dire enfant en créole. Adopter un enfant, c'est toute une aventure. Une longue attente peuplée de rêves, d'espoirs, de doutes, de craintes. Puis, un jour, c'est le départ, la rencontre ...
Ici, c'est un vieil étang où plus personne ne vient. Un étang frileux où on s'ennuie un peu. Ici, on attend. On attend. On attend la toute-petite. On attend le moment où les deux grenouilles seront trois. Patience, l'oiseau messager est en route...
Que faire quand une maman chat se présente à la porte avec ses enfants et puis abandonne sur le seuil son nouveau-né ? Entre mamans, on se comprend. Celle de Lina décide d’adopter le chaton. La petite fille, elle, est un peu dégoûtée : il a les yeux tout collés, il est chétif, il a l’air malade… et si on en prenait un beau ? Heureusement, à force de soins, le petit chat se requinque, au point de s’échapper… Alors Lina comprend qu’elle l’aime. Reste à lui trouver un nom qui lui ira comme un gant.
Il y a très longtemps, du temps où il était enfant unique, Mimi Quichon avait un frère imaginaire qui s'appelait Heumsteum et ne faisait rien comme lui. Il ne buvait pas de lait, ne mettait pas de manteau, ne regardait pas avant de traverser. Il était libre, Heumsteum. Forcément, cela finit par donner des idées à Monsieur et Madame Quichon, qui se décidèrent à appeler le Bureau International des Adoptions... L'histoire "préquel" de la famille Quichon !
Un oeuf tacheté trônait dans une grotte sombre et profonde. « Il n’éclora jamais si je ne le tiens pas au chaud », se dit une gentille maman cane qui trouva l’oeuf.
Une drôle de petite créature sortit de l’oeuf tacheté qui trônait dans la grotte sombre et profonde. « Une chose est sûre : tu n’es pas un canard », dit la maman cane qui embrassa la drôle de petite créature.
Quelle aventure que celle de Riquipouce, le tout petit, le minuscule enfant tant attendu par sa mère ! « Tu m’as voulu, me voici, lui déclare-t-il. Et maintenant, je veux sortir explorer le monde ! » De la taille d’un pouce, Riquipouce n’a peur de rien. Ni de la poule, ni de l’ours. « Le monde est à moi ! » dit-il.
Je faisais une promenade quand j'ai entendu un minuscule « cui cui cui cui ». Je t'ai ramassé, minuscule petit tas de plumes, et je t'ai porté jusqu'à ma maison. Les jours ont passé et tu as pris des forces pour vivre, apprendre et jouer. Ton regard était souvent attiré par l'horizon, il était bientôt temps que tu prennes ton envol. Je ne devais pas te retenir.
On raconte qu’il y a dans la famille de Léonie une exploratrice-dompteuse de dragons, Tata Zaza. La petite fille rêve de lui ressembler… Un jour, Tata Zaza offre à sa nièce son épée de jeune fille et sa carte personnelle du pays des dragons. À l’aventure ! Pleine d’entrain, bien équipée, Léonie se met en chemin. Elle se voit déjà en train de fendre l’air, sur le dos d’un dragon géant qui crache des flammes de deux mètres. Mais à la pause déjeuner, cachée derrière un tronc, une chose plutôt inattendue apparaît…
En ce beau jour du Moyen Âge, Dame Suzanne trouve un nouveau-né, abandonné au pied de la statue de saint Gilles. Titiyou-bilibili-titiyou fait le nourrisson. Elle ne peut quand même pas le laisser là … C’est ainsi que Gilou arrive à la ferme et que les villageois se relaient pour éduquer l’enfant : Dame Régeane qui file sa laine, Ganelon le forgeron, Olivier le charpentier, Xavier le chevalier… et Hoël le ménestrel qui lui enseigne le luth et la musique.
Hibiscus, ce qu’elle veut, c’est un bébé. Un petit kangourou qui passe la tête par la poche pour cueillir une fleur ou un brin d’herbe de-ci de-là . Mais rien ne se passe. Car Hibiscus est une hyène dans une peau de kangourou. C’est sa mère qui lui a tricoté son costume avec la laine de tous ses ancêtres.
Alors, Hibiscus comprend pourquoi elle est toujours la dernière à la course en sauts, pourquoi elle s’est toujours sentie différente.
Sous la forme d'une petite bande dessinée, cet album raconte avec humour et tendresse des épisodes de la vie quotidienne d'une famille comme les autres. Des dialogues cocasses accompagnent les images sur lesquelles on a envie de s'attarder. On sourit, on rit et, souvent, on se reconnaît.
Un jour d'hiver, une souris enceinte jusqu'aux moustaches arriva à Paris, aux portes du Jardin du Luxembourg. La souris se dit : « C'est ici que je mettrai au monde mon enfant ».
Or, il faut vous dire qu'à cette époque un chat d'une taille énorme, qu'on appelait Catimini, semait la terreur dans le jardin...
Il était une fois trois vilains brigands... dont la vie changea totalement le jour où ils rencontrèrent Tiffany, la petite orpheline. De trois méchants elle fit... des bienfaiteurs de l'humanité.
Il était une fois un petit singe qui n’avait pas de nom. Il vivait dans un zoo où les visiteurs étaient rares. Le petit singe n’avait qu’un vieux pneu pour jouer. Il s’ennuyait. Au loin, il apercevait des grandes forêts et des prés. Être libre, ce serait quand même plus drôle pour un singe, pas vrai ?
Un soir, une vieille femme frappe à la porte de Monsieur et Madame Shung. Elle a perdu son chemin, et la nuit est glaciale. Monsieur et Madame Shung lui offrent l'hospitalité et l'unique bol de soupe qui chauffe sur le feu. Avant de repartir, elle leur promet que pour les remercier de leur bonté, le ciel leur enverra un cadeau.
Le lendemain matin, sur le seuil de leur porte, il y a un panier. Le visage de Madame Shung s'éclaire. Seraient-ce des oeufs ? Ou mieux, une poule ? Non, c'est une toute petite fille. « Il faut lui rendre son cadeau », dit en pleurant Madame Shung. « Comment pourrions-nous nous charger d'un enfant alors que nous avons à peine de quoi nous nourrir ! » Mais le bébé a froid et faim. Monsieur et Madame Shung s'en occupent de leur mieux, en espérant que la vieille femme reviendra vite le chercher. Madame Shung lui tisse des chaussons en poil de chèvre, son mari lui fabrique un berceau. Ils prennent si bien soin de la petite fille qu'elle survit à l'hiver. Ils font en sorte qu'elle ne manque de rien. Chaque matin leur apporte une gaieté et une énergie nouvelles.
Mais un jour, on frappe à la porte. C'est la vieille femme. Vient-elle reprendre son cadeau ?
Un jour, un loup trouva un œuf. Comme il n’aimait que la viande rouge, il ne le mangea pas et le plaça délicatement entre mousse et fougères dans sa musette. Chemin faisant, il croisa un corbeau puis un ours, à qui cet œuf n’appartenait pas. Il continua jusqu’au pré où broutaient Vachette et ses copines : « J’ai trouvé cet œuf ce matin et Grand Ours me dit qu’il pourrait être le tien. »
Vachette regarda l’œuf sous toutes ses coutures et dit : « Il n’est pas assez tacheté pour être un œuf de vache ! On dirait un oeuf de loup… »