Gabriel
Martiarena
Textes
Gabriel Martiarena vit au-dehors. Il sait que c’est à la lisière que la vie se joue, lui qui a grandi en proche banlieue
et cherche « les limites de sa propre cartographie ».
Parce que le destin l’a fait nomade, le roman devient le lieu ouvert de tous les égarements et des mensonges. C’est vrai, quoi, rien n’empêche de s’inventer comme Polly un père dresseur de moineaux albinos. Sinon Gabriel voyage, est chamboulé par l’Esthétique du Pôle Nord.
Qu’il y aille, au pôle Nord.
Mais pas trop longtemps.
et cherche « les limites de sa propre cartographie ».
Parce que le destin l’a fait nomade, le roman devient le lieu ouvert de tous les égarements et des mensonges. C’est vrai, quoi, rien n’empêche de s’inventer comme Polly un père dresseur de moineaux albinos. Sinon Gabriel voyage, est chamboulé par l’Esthétique du Pôle Nord.
Qu’il y aille, au pôle Nord.
Mais pas trop longtemps.
Gabriel Martiarena vit au-dehors. Il sait que c’est à la lisière que la vie se joue, lui qui a grandi en proche banlieue
et cherche « les limites de sa propre cartographie ».
Parce que le destin l’a fait nomade, le roman devient le lieu ouvert de tous les égarements et des mensonges. C’est vrai, quoi, rien n’empêche de s’inventer comme Polly un père dresseur de moineaux albinos. Sinon Gabriel voyage, est chamboulé par l’Esthétique du Pôle Nord.
Qu’il y aille, au pôle Nord.
Mais pas trop longtemps.
et cherche « les limites de sa propre cartographie ».
Parce que le destin l’a fait nomade, le roman devient le lieu ouvert de tous les égarements et des mensonges. C’est vrai, quoi, rien n’empêche de s’inventer comme Polly un père dresseur de moineaux albinos. Sinon Gabriel voyage, est chamboulé par l’Esthétique du Pôle Nord.
Qu’il y aille, au pôle Nord.
Mais pas trop longtemps.