Le nom d’Hervé Jubert n’est pas inconnu aux amateurs de science-fiction. Certains auront certainement un jour ou l’autre lu un de ses romans, comme Le quadrille des assassins, par exemple, et beaucoup auront entendu parler de cet auteur renommé de la littérature dite imaginaire. De «formation  poussée en Histoire de l’art», il  construit ses romans fantastiques à partir de sources historiques, qui lui...

Le nom d’Hervé Jubert n’est pas inconnu aux amateurs de science-fiction. Certains auront certainement un jour ou l’autre lu un de ses romans, comme Le quadrille des assassins, par exemple, et beaucoup auront entendu parler de cet auteur renommé de la littérature dite imaginaire. De «formation  poussée en Histoire de l’art», il  construit ses romans fantastiques à partir de sources historiques, qui lui permettent non seulement d’approcher une certaine vérité mais aussi de donner à la fiction «un socle solide» à partir duquel tout est possible.
La recherche documentaire, comme le travail de fiction, ne sont pas des nouveautés pour lui. Et la vie légendaire d’Alexandre le Grand lui offre la possibilité d’écrire une biographie comme un roman, une naissance divine, des oracles, des épisodes merveilleux avec, toujours, cette volonté de rechercher dans les existences les trames d’une fiction et, ainsi, de «redonner vie à ce qui est mort».

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