Quand elle était enfant, Ana Pêgo habitait près de la mer – certaines personnes ont un jardin, Ana avait une plage où elle passait le plus clair de son temps. Son intérêt pour la mer ne l’a pas quittée si bien qu’elle a étudié la biologie marine à l’université de l’Algarve et a, par la suite, participé à des recherches sur les océans. C’est au bord de la mer qu’elle trouve les trésors marins dont elle se sert dans ses ateliers : des oursins, des crabes et des anémones de mer, mais aussi des...

Quand elle était enfant, Ana Pêgo habitait près de la mer – certaines personnes ont un jardin, Ana avait une plage où elle passait le plus clair de son temps. Son intérêt pour la mer ne l’a pas quittée si bien qu’elle a étudié la biologie marine à l’université de l’Algarve et a, par la suite, participé à des recherches sur les océans. C’est au bord de la mer qu’elle trouve les trésors marins dont elle se sert dans ses ateliers : des oursins, des crabes et des anémones de mer, mais aussi des choses inquiétantes, d’une autre espèce… le plastique.

Ces dernières années, elle s’est consacrée à des projets d’éducation environnementale mêlant l’art et les sciences afin de sensibiliser à la préservation des océans. Elle a ainsi imaginé le projet contenu dans Plasticus maritimus.