Thème « voyage »
Pipioli le souriceau rêve d'aller en Afrique comme son amie l'hirondelle. Le merle Zigomar accepte de l'y emmener...mais il n'a aucun sens de l'orientation. Un voyage inattendu les attend.
Bih-Bih se promène tranquillement, quand, tout à coup, elle s’aperçoit que son chemin se trouve sur la langue d’un monstre… Il est en train de l’avaler ! Et ce chemin était le dernier morceau intact du monde. Le monstre vient de l’engloutir.
C’est un Bouffron-Gouffron.
Il bouffe, il se goinfre, c’est un gouffre. Dans son ventre, Bih-Bih distingue bientôt des monuments, des bâtiments, des tableaux, des sculptures de tous les temps et de tous les pays. Peut-on laisser mourir ces chefs-d’oeuvre ? Non !
Sunny le suricate en a assez de surveiller ses petits frères et soeurs et il n'en peut plus de vivre dans le désert. Il trouve la chaleur accablante et sa famille étouffante. Bref, Sunny a vraiment besoin de changer d'air. Il part donc un beau matin. Mais en fils aimant, il prend soin d'envoyer une carte postale quotidienne à ses parents. Ce qui permet au jeune lecteur de savourer, jour après jour, le récit hilarant des péripéties de Sunny...
Une famille qui a fui son pays ravagé par la guerre survit dans un terrible dénuement. Jusqu’au soir où le père rentre non pas avec l’habituel maigre repas, qui de toute façon ne calme jamais l’estomac, mais avec un objet extraordinaire, capable de transcender la faim et la misère…
Cette fabuleuse leçon de vie est aussi le vibrant hommage d’un fils, l’immense auteur Uri Shulevitz, à son père.
Falgu le fermier ne supporte plus les bruits de sa ferme, il a besoin de silence ! Du moins, c’est ce qu’il croit…
Une petite fille regarde avec envie ces incroyables machines à liberté. Où vont-elles ? Comment fonctionnent-elles ? Une chose est sûre, il lui faut trouver la sienne ! Mais comment s’y prendre ?
Olga travaille dans un kiosque à journaux. Ce kiosque, c’est toute sa vie. Elle connaît les désirs de ses clients par coeur. Elle y dort, elle y mange et, le soir, elle lit des magazines de voyage en rêvant de couchers de soleil fabuleux. Mais en vérité, elle est coincée. Jusqu’au matin où elle découvre qu’elle peut déplacer son kiosque et même voguer avec lui !
Luna arrive en vacances chez son Grand-Père. C’est le seul indien Naskapi qui, l’été, dort dans un tipi. Ce matin, le facteur lui apporte une lettre de son meilleur ami, celui avec qui il a fait le tour du monde. Grand-Père veut absolument lui faire parvenir une mystérieuse boîte rouge le plus vite possible : « Prends mon vieux cheval, dit Grand-père à Luna. Je t’en prie, cours plus loin que très loin jusqu’à la très grande ville. L’adresse est écrite. Partout, tu seras mes yeux. Même sans être là, je te protégerai. »
Le lièvre et la tortue, on connaît. Mais Sébastien le lapin et Madame Laterre la tortue, c'est une autre histoire. Une histoire de course à travers le monde, de solitude et d'amitié. Une belle histoire de découverte du monde, des autres et de soi-même.
Après avoir passé toute sa vie dans un zoo, il est temps pour Nénette de prendre sa retraite. Installée dans un petit deux pièces de la capitale, elle profite de l’été pour découvrir sa nouvelle vie. Mais quand vient l’automne, Nénette ressent soudain une grande nostalgie pour sa contrée natale.
Il était une fois un garçon obligé de traverser la mer pour chercher un nouveau chez-lui. Mais que va-t-il découvrir, là-bas ?
C'était l'été, Laurent s'ennuyait. Il demanda la permission d'aller jouer dehors. « Après tout, tu es grand, maintenant, dit sa maman. Joue dehors, mais ne dépasse pas la barrière.» Laurent alla jusqu'à la barrière... et un tout petit peu plus loin. Et le lendemain, il dépassa le châtaignier. Quand on commence à grandir, c'est pour de bon.
Oscar habite depuis peu au Japon avec ses parents. Aujourd'hui, pour la première fois, sa maman et lui vont au bain japonais avec leur ami Motoyuki. Oscar n'est pas très rassuré : d'abord, il faut dire au revoir à maman qui part toute seule du côté des dames, et ensuite, dans les vestiaires, il faut se mettre tout nu devant tout le monde. Mais ce qu'il découvre ensuite est plutôt amusant : avant d'entrer dans l'eau, on se lave sur un banc jusqu'entre les orteils et on se rince en se versant une bassine sur la tête. Si le premier bain est beaucoup trop chaud, et le deuxième beaucoup trop froid, le bain rouge, qui sent si bon, est tout à fait du goût d'Oscar, et le jacuzzi aussi, avec ses bulles qui chatouillent. Mais tout ça donne terriblement envie de faire pipi. Oscar part bravement à la recherche des toilettes. Heureusement, le magnifique samouraï qui orne son peignoir lui donne du courage...
Un album vivant et drôle, riche en détails - complété par un lexique illustré - dans lequel le lecteur peut à la fois frémir et s'étonner avec Oscar, et découvrir ce qu'est un « yukata », des « geta » et, même, qui est Hokusaï...
Dans son étang, Félicie tourne en rond et ennuie tout le monde avec ses lamentations. Elle se demande où se cache le bonheur. « Cesse tes jérémiades et va chercher le bonheur ailleurs ! » gronde Joe le crapaud baveur. À ces mots, sans attendre, Félicie se lance dans l'aventure.
En le voyant passer le groin par sa fenêtre, un beau matin, Josette l’a tout de suite su : c’est un cochon magique, il exauce les rêves.
Difficile d’en convaincre les autres. Un lapin le trouve sale, un chat le trouve nauséabond, un chien le trouve bête… ce qui ne les empêche pas de monter sur son dos et d’accepter de partir à l’aventure avec Josette et son cochon. Quand ils finissent par arriver à la ville, et, entraînés par la foule, montent sur la scène du théâtre, chacun s’aperçoit que son rêve fou est en train de se réaliser. Merci qui ?
Dans ce cas précis, on peut parler de catastrophe : après un énorme coup de grand vent, toutes les lettres adressées au Père-Noël se sont envolées. Toutes sauf celle d'Else. Dans ce grand malheur, Else a bien de la chance puisque le Père Noël va lui offrir tous ses secrets de Père Noël. N'est-ce pas le plus beau des cadeaux ?