Thème « travail et métier »
Benjamine Bijoux est une petite fille comme les autres. Pourtant lorsque, pour consoler son petit frère, elle crache sur un grillon complètement mort, il se passe une chose incroyable. Comme par miracle, l'insecte revient à la vie. Désormais, le petit frère de Benjamine pense qu'en crachant, sa grande soeur peut guérir toutes les blessures. Et s'il avait raison ? Si la salive de Benjamine avait des pouvoirs magiques ? Si la petite fille était une sorte de fée des temps modernes ?
Pivoine est une princesse, une vraie. Comme en plus elle travaille bien en classe, on l’imagine entrer dans une de ces écoles d’élite pour devenir quelqu’un de très important, qui parle d’« évaluation » et de « croissance ».
Mais les mots qui font rêver Pivoine sont très différents : il s’agit d’« aspirateur » ou de « fer à repasser ». Ce qu’elle adore, c’est ranger la chambre de ses amies, faire son lit ou vider le lave-vaisselle… Une princesse qui fait le ménage ! Inutile de dire que ses royaux parents ne sont pas du tout d’accord…
Le maître d'école a cassé sa tirelire pour aider ses élèves à acheter un cheval. C'est lui qui a eu cette idée. C'est un maître d'école très gentil et spécialement têtu, et heureusement qu'il y a un maître d'école gentil et têtu dans cette histoire. Le cheval s'appelle Bir-Hakeim. Il est sorti de son box et il a souri aux enfants. Les enfants étaient ravis. Ils ne pouvaient pas savoir qu'un cheval qui sourit est un cheval gravement malade. Le maître a appelé le vétérinaire, et heureusement qu'il y a un vétérinaire dans cette histoire.
Nous sommes cinq dans la salle d'attente du docteur des jouets. Il y a l'oiseau mécanique, l'oiseau à roulettes, l'ours, la grenouille et moi. Nous avons tous un petit quelque chose qui cloche.
Ce livre, conçu à partir d'un poème d'Ernst Jandl, a reçu le Prix BolognaRagazzi 1998 et a été sélectionné pour le Prix Allemand de la littérature de jeunesse.
Si Monsieur et Madame Bolkodaz étaient vieux et s’ils écrivaient un livre sur leur vie, ils pourraient raconter le jour où Madame Bolkodaz cuisina trois perdrix et commença à grignoter dans le plat. Ou encore leur partie de pêche quand une terrible tempête s’abattit sur la mer. Ou bien la panne de leur voiture sur une route de campagne… Autant d’histoires à lire, à chanter ou à cuisiner !
Fabienne Mounier et Daniel Hénon ont fondé ensemble la compagnie Faction Mauricette aux Oeillets, qui leur a permis, notamment, de créer le spectacle adapté de leur Histoire du petit tabouret, premier album publié à l’école des loisirs. Pour Le grand livre des Bolkodaz, ils mettent enscène les mêmes personnages que dans La forêt des grands et Bon chien.
John Chatterton, le grand détective, est de nouveau sur la brèche. On l'a chargé de surveiller une jeune fille qui risque, paraît-il, de se piquer le doigt au fuseau d'un rouet et de plonger dans « Le Grand Sommeil ». Chatterton n'est pas très inquiet, toutefois, ces éléments lui rappellent une affaire célèbre...
Martin était le facteur de la forêt. Tous les matins, très tôt, il recevait un colis de toutes les lettres à distribuer. Tout le monde aimait Martin le lapin facteur: Madame Ourse, Dina la souris et aussi Émile l'écureuil. Jusqu'au jour où il arriva quelque chose de terrible...
Noël ! Etienne était très impatient de découvrir son cadeau. Une console, des baskets ? Non, une petite boîte de peinture. Très déçu, il l’a vite rangée sous son lit. Un jour où il s’ennuie, il la ressort. Il dessine ce qui lui passe par la tête : la mer, un bateau, des pirates… Et voilà qu’un grand vent souffle dans sa chambre. Il ferme les yeux un instant. Quand il les ouvre à nouveau, il est là, au milieu des pirates ! Est-ce qu’il est devenu fou ?
Juan habite avec sa grand-mère à San Pablo, dans les montagnes du Guatemala. Il a sept ans, il est cireur de chaussures. Il est fier de gagner sa vie, mais il a le coeur gros chaque fois qu'il voit passer des enfants avec des cartables...
Chez les Dumordu, on est fermier de père en fils. C’est ce qu’Archibald Dumordu a déclaré à son fils Douglas, juste avant de mourir. Malheureusement, il n’a rien eu le temps de lui dire d’autre. Douglas veut bien devenir fermier, mais il ne sait pas traire les vaches, il croit que les carottes poussent dans les arbres, et ne peut conduire le tracteur qu’en marche arrière. Les fermiers des alentours se moquent tous de lui. Le père Tropenjus, c’est certain, ne voudra jamais qu’il épouse sa fille, la charmante Miranda.
Heureusement, il y a une chose que Douglas sait faire, c’est parler aux animaux. C’est une chance, car dans son poulailler, il y a un poulet qui s’appelle Ernest, un poulet merveilleux, qui peut transformer sa vie.
« Monsieur Chatterton, ma belle-fille a disparu. Ses cheveux sont noirs comme l'ébène, ses lèvres rouges comme le sang, sa peau blanche comme le lilas. Retrouvez-là ! »
Les enquêtes du grand John Chatterton ne sont jamais sans rappeler quelque célèbre affaire criminelle !
Le père d'Anton est écrivain et il vient de commencer un nouveau livre. Comme tout écrivain, il aime en parler; Anton le sait. Il est résigné, prêt à écouter une fois de plus ce qui se passe dans la tête de son père. Pourtant, cette fois, Anton reçoit un choc. Le nouveau livre de son père est un effondrement, une trahison, une tragédie... Et cela ne fait que commencer.
Deux amis, Konta et Samba, vont en pirogue au marché. Konta doit y vendre ses poissons, Samba veut y vendre sa chèvre. Les poissons n'ont plus leur mot à dire, la chèvre si. En tout cas, elle le pense. Et cette chèvre a décidé qu'elle ne serait pas vendue au marché. C'est une chèvre très intelligente. Elle sait que si elle se jette à l'eau, l'un des garçons va se lancer à sa poursuite. Elle sait qu'elle nage plus vite que lui, qu'elle court plus vite que lui, et qu'elle est bien plus maligne que lui. Elle sait qu'elle peut lui faire passer la pire matinée de sa vie, et ne jamais le laisser l'attraper. Mais elle sait aussi, cette petite chèvre, qu'elle a besoin d'un allié, d'un ami. Pour être sûre de ne jamais être vendue au marché. Et aussi parce qu'il est bien plus agréable d'avoir un ami qu'un ennemi. Et peut-être même parce qu'elle commence à éprouver de la compassion pour son pauvre poursuivant. Alors, après avoir mis toute son intelligence à l'épuiser, elle va mettre toute son intelligence... à se faire pardonner.
Ça s'est passé au jardin du Luxembourg. Des gens se sont approchés de Jeanne, lui ont posé plein de questions et lui ont demandé si elle aimerait passer à la télévision. Ils ont aussi dit qu'ils n'avaient jamais vu une petite fille aussi particulière. Léon est triste. Il ne reconnaît plus Jeanne. Comment sa princesse peut-elle avoir envie de faire de la publicité pour du fromage ?
Là où un ours s'était endormi au début de l'hiver, une usine est construite au printemps suivant. On prend l'ours pour un ouvrier récalcitrant et on le traite comme tel. Réussira-t-il à faire admettre qu'il est un ours ? Invraisemblable, direz-vous ? Et pourtant, dans toute société organisée, combien d'hommes sont traités en intrus ? On ne leur accorde le droit d'exister qu'à la condition qu'ils tiennent le rôle qu'on leur attribue à la place qu'on leur assigne.
L’argent ? Il est partout, mais on en manque. Tout le monde en parle, et on ne sait rien sur lui. Mathilde se pose un tas de questions depuis qu’elle a visité son futur collège tout pourri.
Elle aimerait bien que les adultes lui expliquent pourquoi on n’en dépense pas plus, d’argent, pour construire de beaux établissements où il ferait bon étudier.
Et tant qu’à faire, elle aimerait bien comprendre ce que c’est au juste l’argent, et d’où ça vient. L’enquête de Mathilde s’annonce compliquée, car chacun y va de son couplet.
Après avoir milité pour la suppression de l’argent puis tenté de promouvoir le troc auprès de sa boulangère, Mathilde a une idée révolutionnaire pour changer le système monétaire.
Le monde ne le sait pas encore, mais grâce à elle, il sera bientôt sauvé !