Thème « sœurs et frères : aîné, cadet »
Aujourd'hui, Maman a demandé à Lila de coucher son petit frère pour la sieste. Mais c'est plus compliqué que Lila ne le pensait. Dès qu'elle s'éloigne, son petit frère pleure. Et si elle essaie de lui faire peur, il rit !
Théo n'a peur de rien. Ni des monstres, ni des colères de Papa, ni des vers de terre ou des araignées et encore moins des dragons qui n'existent même pas. Et si sa grande soeur Lisa éteint la lumière ? Que se passe-t-il ?
Avec ma sœur, je ferai une cabane au printemps, un château de sable en été, un cochon de neige en hiver... Oui mais... ce n'est pas pour tout de suite !
Quand c’est jour de foot, c’est aussi jour de frites pour la famille Souris parce qu’ils aiment autant le foot que les frites ! Et aujourd’hui c’est la première fois que Lily joue un match. Son équipe va-t-elle gagner ? L’important est de participer et… qu’il y ait des frites !
Le poussin a beaucoup d'activités : regarder les œufs de ses frères et sœurs éclore, picorer des graines dans les champs, tout ça en une journée !
Après sa journée chez Grand-Ma et Grand-père où il a fait beaucoup de choses comme un grand, il n’a pas pris de biberon, il n’a pas eu peur de l’eau, il a bien rangé ses jouets, Maman le félicite ! Et Maman lui a apporté une surprise, une surprise toute petite qui va prendre beaucoup de place dans le coeur de Lucien !
Quand on est tout seul et qu’une petite sœur arrive, on a hâte de jouer avec elle. Alors on lui donne son biberon, puis on lui donne à manger pour qu’elle grandisse vite.
Et enfin, quand elle est grande, on fait tellement de choses avec elle, qu’on se dit : c’est vraiment la meilleure petite sœur du monde !
Maman est partie faire des courses. Caramel et Lulu sont restés à la maison, au chaud. Mais Caramel s'impatiente : quand est-ce que Maman rentrera, dis, Lulu ? Caramel a beau attendre, compter jusqu'à 20, regarder la neige recouvrir l'arrosoir dehors... Toujours pas de Maman en vue.
Une pauvre bûcheronne et un pauvre bûcheron vivent dans une forêt. Ils ont déjà six enfants, trois fois des jumeaux, quand naît le septième, Poucet. Sept enfants qui ont faim ! Comment les nourrir ? Il n’y a plus rien à manger ! Les parents doivent se résoudre à les abandonner au plus profond de la forêt. La première fois, Poucet trouve le chemin du retour grâce aux cailloux blancs qu’il a semés. La deuxième fois, ils sont retenus prisonniers dans la maison de l’Ogre. Les frères de Poucet sont terrorisés. Pas lui. Il a même l’air content de le rencontrer.
Le père — Il nous reste quatre pommes de terre dans le sellier qui commencent à germer.
La mère — Oui et alors ?
Le père — On ne peut pas nourrir sept enfants avec quatre pommes de terre germées !
La mère — Et alors ?
Le père — Alors faut trouver une solution. Je ne veux pas voir mes enfants mourir de faim devant moi.
La mère — Tu veux faire quoi ?
Le père — Il faut les abandonner, ma femme...
Simple dit « oh, oh, vilain mot » quand Kléber, son frère, jure et peste. Il dit « j'aime personne, ici » quand il n'aime personne, ici. Il sait compter à toute vitesse : 7, 9, 12, B, mille, cent. Il joue avec des Playmobil, et les beaud'hommes cachés dans les téphélones, les réveils et les feux rouges. Il a trois ans et vingt-deux ans. Vingt-deux d'âge civil. Trois d'âge mental.
Kléber, lui, est en terminale, il est très très courageux et très très fatigué de s'occuper de Simple. Simple a un autre ami que son frère. C'est Monsieur Pinpin, un lapin en peluche. Monsieur Pinpin est son allié, à la vie, à la mort. Il va tuer Malicroix, l'institution pour débiles où le père de Simple a voulu l'enfermer, où Simple a failli mourir de chagrin. Monsieur Pinpin, dans ces cas-là, il pète la gueule.
Rien n'est simple, non, dans la vie de Simple et Kléber. Mais le jour où Kléber a l'idée d'habiter en colocation avec des étudiants, trois garçons et une fille, pour sauver Simple de Malicroix, alors là, tout devient compliqué.