Thème « sœurs et frères : aîné, cadet »
Il a des petits yeux tout jaunes. Et un sourire à faire peur. Il a une langue bicolore. Une bouche molle, une voix métallique, et en plus… il rote. Dès que je ferme les yeux, je le vois : le monstre qui se cache derrière mes paupières. Il est là la nuit, dans le noir. Et dans la classe aussi. Et à la maison, chaque fois que je pense à mon petit frère. Mais comment fait-on pour dompter les monstres ? Ou pour s’en débarrasser ? Alors ça, j’aimerais bien le savoir.
Même s'il est encore petit et qu'il ne sait pas vraiment écrire, Rolka Pachin a plus d'un message dans sa tête. C'est pourquoi il décide de se mettre à écrire des lettres coûte que coûte. Des lettres d'amour, des lettres de revendications, des lettres aux animaux, des lettres au Père Noël... Ces lettres sont très importantes d'abord parce qu'elles sont secrètes, mais aussi parce qu'elles pourraient bien lui sauver la vie.
Voir son père s’en aller sur son navire et disparaître par-delà les mers est un vrai cauchemar pour Ida, qui en oublie de s’occuper de sa petite soeur. Heureusement, papa veille…
C’est un conte qui fait mentir le dicton « Loin des yeux, loin du coeur ». Une comptine qui rime avec la pensée magique des enfants. Une histoire onirique riche en symboles et en références picturales, mais accessible aux tout-petits par sa puissance d’évocation des terreurs enfantines. Un album de légende.
Raoul, le petit loup, a posé beaucoup de questions à ses parents sur l’arrivée du bébé. Maintenant qu’il est là, quelle déception. Car, lui, ce n’est pas une petite sœur qu’il avait commandée ! Alors, quand Maman lui dit : « Tu viens m’aider à changer Lola », Raoul répond : « Oui, change-la et prends un petit-frère à la place ! »
13 histoires de tous les jours, dans lesquelles le petit loup se pose les grandes et petites questions de la vie.
La princesse Selma a deux petits frères. Elle les trouve assez mignons quand ils dorment, et moches comme tout quand ils pleurent. Le problème, c’est qu’ils n’arrêtent pas de pleurer. Parole de Georges, ÇA NE PEUT PLUS DURER !
Une pauvre bûcheronne et un pauvre bûcheron vivent dans une forêt. Ils ont déjà six enfants, trois fois des jumeaux, quand naît le septième, Poucet. Sept enfants qui ont faim ! Comment les nourrir ? Il n’y a plus rien à manger ! Les parents doivent se résoudre à les abandonner au plus profond de la forêt. La première fois, Poucet trouve le chemin du retour grâce aux cailloux blancs qu’il a semés. La deuxième fois, ils sont retenus prisonniers dans la maison de l’Ogre. Les frères de Poucet sont terrorisés. Pas lui. Il a même l’air content de le rencontrer.
Le père — Il nous reste quatre pommes de terre dans le sellier qui commencent à germer.
La mère — Oui et alors ?
Le père — On ne peut pas nourrir sept enfants avec quatre pommes de terre germées !
La mère — Et alors ?
Le père — Alors faut trouver une solution. Je ne veux pas voir mes enfants mourir de faim devant moi.
La mère — Tu veux faire quoi ?
Le père — Il faut les abandonner, ma femme...
Simple dit « oh, oh, vilain mot » quand Kléber, son frère, jure et peste. Il dit « j'aime personne, ici » quand il n'aime personne, ici. Il sait compter à toute vitesse : 7, 9, 12, B, mille, cent. Il joue avec des Playmobil, et les beaud'hommes cachés dans les téphélones, les réveils et les feux rouges. Il a trois ans et vingt-deux ans. Vingt-deux d'âge civil. Trois d'âge mental.
Kléber, lui, est en terminale, il est très très courageux et très très fatigué de s'occuper de Simple. Simple a un autre ami que son frère. C'est Monsieur Pinpin, un lapin en peluche. Monsieur Pinpin est son allié, à la vie, à la mort. Il va tuer Malicroix, l'institution pour débiles où le père de Simple a voulu l'enfermer, où Simple a failli mourir de chagrin. Monsieur Pinpin, dans ces cas-là, il pète la gueule.
Rien n'est simple, non, dans la vie de Simple et Kléber. Mais le jour où Kléber a l'idée d'habiter en colocation avec des étudiants, trois garçons et une fille, pour sauver Simple de Malicroix, alors là, tout devient compliqué.






