Thème « religions, croyances »
Amoila vit avec sa maman près d’un village du Haut-Pays. Et pendant que sa maman tisse, tisse, tisse, Amoila s’ennuie. Un matin, sa mère l’envoie au village, mais soudain, une ombre arrive. Deux ailes géantes… C’est le grand calao. « Debout, paresseux ! Il paraît que tu t’ennuies. Va au marché me chercher la Douceur, et rapporte-la-moi avant ce soir. Sinon, je t’envoie Yagana la hyène. »
Le petit homme et Dieu marchent côte à côte sur le chemin : « Vous êtes Dieu ! Le Dieu ? Je ne vous imaginais pas du tout comme ça ! »
« Tu imaginais Dieu comment ? » demande Dieu.
« Grand, vieux, avec une longue barbe blanche, un air sévère, une tunique bleue, mais les mains derrière le dos tout comme toi ! »
Et Dieu part d’un grand éclat de rire, ho ho ho ! Le petit homme propose à Dieu de venir manger une omelette chez lui. Mais Dieu ne sait pas ce que c’est…
Dans le monastère de l'Himalaya où vit Nima, c'est la catastrophe. La grande fontaine, seul point d'eau des moines, est à sec ! Que faire ? Le Grand Lama lui confie une mission. Avec Jumpa le yack, il doit se rendre à la source de la Roche Percée et y remplir des outres. Nima se met en route, muni des bénédictions de son supérieur et d'une parole de Bouddha : "Celui qui est maître de lui-même est plus grand que celui qui est maître du monde."
Le jour où Sann est né, son village a été enseveli sous les éboulis : la montagne s’est écroulée. Tous les habitants ont fui. Tous, sauf sa famille. La mère de Sann l’emmène souvent quand elle va travailler dur dans les petits champs restés cultivables. Que de souffrance ! Sann décide de l’aider en débarrassant son village des grosses pierres, l’une après l’autre. Un jour, Sann rencontre un vieil ermite et lui confie son projet. Sa détermination est si grande que, sans ricaner, sans se moquer, l’ermite décide de l’aider.
Ce livre est l'odyssée des grands aventuriers, des grands découvreurs, des grands savants qui ont affirmé un peu trop tôt pour leur époque qu'il devait bien y avoir quelque chose au bout de l'océan, que le ciel ne tournait pas au-dessus de nous, mais que c'était bien la Terre qui tournait sur elle-même parce qu'elle était ...ronde ! C'est aussi un livre sur ces moments de l'Histoire où l'on prenait les génies pour des fous ou pour des sorciers. Des fous et des sorciers sans qui nous serions peut-être encore persuadés que notre Terre est plate...