Thème « recueil d'histoires »
C’est un grand jour pour Charlotte et Mona. Aujourd’hui, elles vont entrer dans leur nouvel appartement. Chacune y aura sa chambre. Dans celle de Charlotte, il y a un grand placard. Dans celle de Mona, il y a une cheminée. Mais… cela voudra dire que leurs peluches seront séparées ? Et où lira-t-on une histoire ce soir ?
Ce livre réunit trois histoires de Charlotte et Mona : La chambre de gauche et la chambre de droite, Radio Pistache et Le fantôme de Charlotte.
Charlotte et Mona pourraient être les petites cousines de Delphine et Marinette, les deux soeurs des Contes du chat perché, de Marcel Aymé, auxquels Florence Seyvos voue une admiration infinie. Ses deux héroïnes ne vivent pas à la ferme entourées d’animaux dotés du langage, mais s’installent dans un nouvel appartement et ont des peluches et des poupées qui n’ont pas la langue dans leur poche.
Monsieur Monsieur tombe amoureux de Mademoiselle Moiselle sous une branche de Charmilla Moremilla, prend toutes sortes de formes face aux montres molles, mais redevient lui-même en pensant à sa chérie.
Et il s’achète des chaussures neuves pour lui plaire…
La belle vie !
Maud et Pierre ont trouvé une idée pour devenir riches et gagner plein de chewing-gums. Ils vont ouvrir un beau salon de coiffure qui s’appellera « Chez Maud et Pierre ». Ils proposeront à leurs clients une seule coupe, la coupe au bol, et se feront payer en chewing-gums. Mais pour attirer les clients, il faut d’abord lancer la mode de la coupe au bol. Et vite ! avant que ça se démode…
Il était une fois un escargot qui n’avait pas d’histoires, mais qui aimait en raconter.
Il en connaissait beaucoup, par exemple celle du lapin qui n’arrivait pas à se réchauffer les oreilles. Ou celle du roi qui ne pouvait plus faire sécher ses chaussettes dans son jardin. Celle de la sorcière qui était plus petite qu’une mouche, celle de la souris sans moustaches. Et bien d’autres encore.
Et tandis qu’il racontait, racontait, il arriva à cet escargot une chose étonnante : il devint lui-même le héros d’une histoire !
Ils sont vraiment amis, Grignotin et Mentalo. Des amis, ça joue. Par exemple à être Robin des Bois ou Don Diego de La Vega, alias Zorro, et à voler les riches pour donner aux pauvres. Mais quand l'un pique le sandwich au saucisson de l'autre pour se le donner à lui-même parce qu'il a faim, est-ce que l'amitié peut survivre ? Oui, ils sont très amis, Grignotin et Mentalo. Des amis, ça passe beaucoup de temps ensemble, parfois ça vit sous le même toit. Mais quand l'un a envie d'un animal de compagnie et que l'autre est triste et jaloux, est-ce que l'amitié peut survivre ? Toutes les amitiés, peut-être pas. Mais celle-là, oui.
C’est trop injuste ! Pendant que Mentalo trime dans le potager pour qu’il y ait de quoi manger cet hiver, son ami Grignotin se la coule douce en compagnie des autres animaux. Mentalo a bien envie de leur donner une leçon : il va préparer un spectacle pour tous les habitants de la forêt qui s’appellera La cigale et la fourmi de Jean de la Fontaine.
Grignotin est emballé ! Il serait parfait dans le rôle de la cigale ! À condition de changer un tout petit peu la fin de la pièce… et que, par amitié, la fourmi lui offre un morceau de vermisseau pour passer l’hiver.
Delphine Bournay a, très tôt, avec ses deux soeurs, imaginé bien des histoires pour se faire rire. Delphine Bournay a décidé d’en faire son métier après des études aux Arts Décoratifs de Strasbourg. Elle a créé la série des Grignotin et Mentalo, deux copains qui ont vraiment le sens de l’amitié, dont la première des aventures illustrées a été récompensée par le Prix Sorcières en 2007.
Hulul est un hibou solitaire, à la fois sage et naïf. Il se pose des questions sur tout et ses aventures sont poétiques. Le voilà qui s'étonne d'être suivi par la lune jusque chez lui, de ne pouvoir être en haut et en bas de l'escalier en même temps...Mais ce qu'il réussit le mieux, c'est le thé aux larmes...
Quand il était petit, Igor le Labrador avait pour voisin un vieux dalmatien qui s'appelait Félicien. Félicien passait sa journée à danser d'une patte sur l'autre et il souriait tout le temps. C'est parce que Félicien avait vendu son âme au diable. C'est ce que disaient les gens du village. Vendre son âme au diable ! Quelle drôle de chose, pensait Igor, comment fait-on, qu'est-ce que ça rapporte ? Et ça lui donna une idée.
Bienvenue sous le grand chapiteau de Monsieur et Madame Bolkodaz ! Découvrez sa ménagerie et son troupeau de bêtes sauvages. Tremblez de peur face à la terreur de la jungle, la terrible panthère Tralala ! Rêvez d’enfourcher le cheval qui parle, admirez les oiseaux perchés sur des baleines… de parapluie.
Dans ce cirque-là, vous verrez des acrobates faire des pirouettes autour d’une girouette et un dompteur lilliputien se laisser guider par un drôle de Petit Poucet.
Grignotin et Mentalo rêvent d’avoir un ami lointain. Ils rédigent une petite annonce pour trouver un correspondant. C’est le monstrueux, le laid, l’horrible iguane qui répond. La lettre de l’affreux est si jolie que Grignotin et Mentalo l’invitent dans leur pays.
L’attente commence, longue, très longue. Grignotin est tellement impatient de rencontrer l’iguane que Mentalo est un peu jaloux. Il décide de partir au bout du monde pour trouver un autre ami, russe, anglais ou chinois.
« L’aventure c’est ce petit vent qui vous soulève les cheveux quand on sautille… » Une petite brise du grand large qui nous enivre imperceptiblement quand on lit les histoires d’Olga. Olga est une rebelle, une idéaliste. Olga s’insurge contre l’ennui, les injustices, les trahisons. Olga grandit et s’interroge sur le monde dans lequel elle vit. « Olga m’a demandé si ça valait la peine de vivre pour toujours s’ennuyer », raconte la maîtresse. Les adultes n’ont pas toujours de réponses. Olga invente les siennes et bâtit un monde meilleur où la poésie et la solidarité l’emportent.
Kéthévane Davrichewy
Lire les histoires d’Olga, ça peut vraiment aider à s’en sortir dans la vie. On y apprend comment mener une enquête sérieuse sur l’existence du Père Noël, ou ce qu’il convient de mettre dans un balluchon. Olga aime réfléchir à des questions capitales du genre : est-ce qu’Orléans est en France ? Pourquoi est-il difficile de faire des voeux ? Pourquoi les parents ont-ils toujours peur ? De son côté, elle ne redoute que l’ennui. Si ça continue, elle n’aura rien à raconter quand elle sera grande. Alors elle s’invente des aventures et s’embarque dans les défis les plus fous. Heureusement, sa grande soeur Esther est là pour l’aider et lui souffler des phrases magiques comme « Il faut laisser la porte ouverte à l’erreur, sinon par où entrerait la vérité ? »
Agnès Desarthe
Si vous avez vu une femme, debout, écrabouillée par les voyageurs de la ligne 14, mais qui, en dépit des mauvaises conditions de voyage, éclatait de rire, c’était peut-être moi quand je lisais Olga au ski. Qui de Maman ou d’Olga est la plus courageuse quand elles se font surprendre par une tempête de neige ? Ni l’une ni l’autre. Le courage vient de leur complicité, de leur drôlerie. En pleine tempête, Olga demande à Maman: « Qu’est-ce que tu ferais si quelqu’un que t’aimes beaucoup t’offre quelque chose que tu n’aimes pas du tout ? » Maman éclate de rire. Et tant qu’on rit, on est encore en vie ! Lire la série des Olga, c’est entrer dans l’univers d’une petite fille qui fait des colliers pour Maman avec LE bouton qui appartient à la maîtresse, qui appelle ses poissons Marc et Françoise, qui tend des pièges au Père Noël, et qui, lorsqu’elle est fâchée, voudrait rebaptiser sa rue « rue des Non». Moi, j’attends que ma petite fille grandisse un peu pour pouvoir lire les aventures d’Olga avec elle. Je sais déjà que nous rirons ensemble en nous reconnaissant dans ces histoires.
Nathalie Kuperman
Si on peut aimer un livre parce qu’une seule de ses phrases vous a touché au plus profond – et c’est mon cas –, en voici une extraite d’Olga fait une fête : « Selon Maman, un enfant ne doit jamais obéir à une phrase qui le culpabilise. » Tout simplement, en quelques mots, le poids qui nous a étouffés, qui continue parfois de nous étouffer à l’âge adulte, se transforme en plume. Olga refuse les compromis des adultes, slalome entre les « il faut » et les « on ne peut pas ». Avec Olga, Geneviève Brisac rend aux tragédies de l’enfance toute leur réalité, celles dont les parents disent en haussant les épaules que ce n’est pas grand-chose. Elle sait aussi rappeler en nous la joie, l’euphorie, l’infini des possibilités de nos huit ans. Olga est une héroïne consolatrice qu’il est temps de (re)découvrir, c’est une petite fille avec un prénom de princesse, de grand-mère, de fée. Olga ? C’est une magicienne qui méritait bien son propre château à elle toute seule, et c’est chose faite aujourd’hui !
Jérôme Lambert
Si Monsieur et Madame Bolkodaz étaient vieux et s’ils écrivaient un livre sur leur vie, ils pourraient raconter le jour où Madame Bolkodaz cuisina trois perdrix et commença à grignoter dans le plat. Ou encore leur partie de pêche quand une terrible tempête s’abattit sur la mer. Ou bien la panne de leur voiture sur une route de campagne… Autant d’histoires à lire, à chanter ou à cuisiner !
Fabienne Mounier et Daniel Hénon ont fondé ensemble la compagnie Faction Mauricette aux Oeillets, qui leur a permis, notamment, de créer le spectacle adapté de leur Histoire du petit tabouret, premier album publié à l’école des loisirs. Pour Le grand livre des Bolkodaz, ils mettent enscène les mêmes personnages que dans La forêt des grands et Bon chien.
Avec Grand-papa, c’est la fiesta ! Au programme : gymnastique, musique et pêche !
Savez-vous que certaines vaches parlent comme vous et moi, et que cela peut leur causer des ennuis ? Savez-vous qu'une sorcière peut être parfois victime de ses sautes d'humeur ? Savez-vous que le seul moment où un roi s'autorise à enlever sa couronne, c'est quand il est aux toilettes ? Avez-vous entendu parler du chien Solusthène, qui vivait dans la tête de son maître ? Savez-vous pourquoi, grâce au lapin magique, les lapins sont toujours heureux le dimanche?
Ce recueil contient les histoires suivantes : L'homme qui rêvait d'une voiture, Le lapin magique, Le bouffon muet, Le chien Solusthène, La sorcière énervée.
À l’heure de la sieste, monsieur et madame Bolkodaz découvrent qu’ils peuvent traverser le miroir de leur salon. De l’autre côté, avec leur chat Chat, ils sont attaqués par des loups et par des bêtes féroces, deviennent riches et malheureux, et se mettent à parler de travers. Mais comment monsieur et madame Bolkodaz feront-ils pour regagner leur maison douillette ?
Fabienne Mounier et Daniel Hénon ont fondé ensemble la compagnie Faction Mauricette aux OEillets, qui leur a permis, notamment, de créer le spectacle adapté de leur Histoire du petit tabouret, premier album publié à l’école des loisirs. Pour Le grand livre des Bolkodaz et Le Miroir mou des Bolkodaz, ils mettent en scène les mêmes personnages que dans La forêt des grands et Bon chien.
Les Bolkodaz, de doux rêveurs qui ont un petit grain, auxquels les auteurs aimeraient ressembler, plus tard…
Ce matin, le facteur a apporté à Pierre un énorme colis.
Pierre appelle tout de suite son amie Maud pour qu’elle vienne l’ouvrir avec lui.
À l’intérieur, il y a une cage, et dans la cage, un oiseau qui s’appelle Robert. Il y a aussi une lettre du grand-père de Pierre. Il dit qu’il part en voyage et qu’il lui confie son oiseau.
Ni Maud ni Pierre ne se sont jamais occupés d’un oiseau.
La première chose qu’ils font… c’est d’ouvrir la porte de la cage !