Thème « ogre »
Où est Petit Ogre ? Dans la prairie ? Non ! Dans la forêt ? Non ! Dans la mer ? Non ! Dans la montagne ? Non !
Mais alors, où est-il, Petit Ogre ?
Comment dormir tranquille quand on a peur des monstres ? Ton petit chat Sufi veille sur toi, a dit maman à Zélie.
Bon. En route pour le bois où se cachent les monstres ! Avec un lit magique et un chat veilleur, tout devient possible… Zélie et Sufi rencontrent tour à tour la Sorcière, l’Ogre et le Grand Méchant Loup. Chaque fois, Sufi devient géant et rugit. Rahouwaaaa ! Les affreux n’ont qu’à bien se tenir.
Allez, tous en rang, mettez vos pyjamas, et au lit ! Bonne nuit !
Samantha quitte sa maison. Un mystérieux inconnu lui a donné rendez-vous ce matin, au fond du bois. Quelqu'un l'observe derrière un arbre. C'est un ogre. Il attend que Samantha se soit éloignée, et va se cacher dans sa maison. Arrive une sorcière sur son balai. Que fait-elle ? Elle entre, elle aussi, dans la maison de Samantha. Arrive un horrible monstre, et puis un loup qui porte un gros paquet. Ils sont tous à l'intérieur de la maison, maintenant. Le loup ferme les volets. Samantha revient du fond du bois. Il n'y avait personne au rendez-vous. Samantha cherche sa clé... C'est étrange, il n'y a plus de courant. Décidément, se dit Samantha, ce n'est pas mon jour. Mais au fait, quel jour sommes-nous ? N'est-ce pas aujourd'hui l'anniversaire de Samantha ?
Mouflette Papillon ne peut pas se coucher. Un ogre est assis sur son lit. Il n'arrête pas de pleurer. C'est embêtant un ogre qui pleure : il y a des flaques par terre, et l'oreiller de Mouflette est tout trempé. Et pourquoi pleure-t-il, cet ogre ? Parce qu'il est trop gros. Ou bien c'est son château qui est trop petit. En tout cas, il ne peut pas entrer dans sa chambre. Par chance, Mouflette sait exactement ce qu'il faut faire pour que l'ogre puisse retrouver son lit et elle le sien.
Igor et Olaf sont deux petits ogres qui ont toujours faim. « Mais vous venez de goûter, vous attendrez bien le dîner », dit leur maman. « Je pars faire des courses. Soyez sages. Papa va s'occuper de vous.» Mais les petits ogres ne sont pas sages du tout. Et ils ont tellement faim qu'ils décident de manger leur papa !
« J'ai faim ! dit l'ogre. Il me faut un enfant, un tout-petit enfant qui croque sous la dent. Vite, il me faut manger ou je vais tout casser ! Pas de doute, mon gueuleton habite une de ces maisons. Approchons... »
Quand Raoul range sa chambre, c'est pour la mettre sens dessus-dessous l'instant d'après. Quand Raoul décide de faire la vaisselle, il transforme toute la cuisine en piscine. Un jour, Fred, son grand frère, en a vraiment assez : « Je te préviens, si tu fais encore une seule bêtise, je t'emmène chez le bûcheron ! » Mais on dirait bien que Raoul s'en fiche, de son frère, du bûcheron et du reste. Le lendemain, c'est la maison tout entière qu'il démolit. Est-il possible d'être si fâché contre son petit frère qu'on souhaite l'abandonner à un inconnu ? Qu'on puisse se dire : bon débarras ? Oui, parfois, quand on est vraiment en colère contre son petit frère, on peut dire et faire des choses pareilles. Mais s'il est malheureux, s'il est en danger, alors on n'a plus qu'une idée en tête : venir à son secours.
Violette vivait heureuse dans la ferme de ses parents. Mais un jour, sa maman tomba gravement malade et Violette dut partir toute seule chercher le docteur. En chemin, elle rencontra Priska, la terrible sorcière mangeuse d'enfants ! Ses dons d'acrobate lui furent d'un grand secours pour échapper à la méchanceté de l'ogresse.
Il était une fois un ogre qui avait une horrible réputation. Dès que le bruit courait qu’il se trouvait dans les environs, les gens se bandaient les yeux, se bouchaient les oreilles et se recroquevillaient sous les tables. Un après-midi, alors qu’il partait en quête de son dîner, il aperçut devant une petite maison, une jeune fille qui s’activait dans le jardin. « Comment pouvez-vous rester aussi calme ? s’exclama-t-il. N’avez-vous pas entendu parler de moi ? Où diable vivez-vous ? » Il réalisa qu’elle ne le craignait pas.
Lorsqu’il se réveilla ce matin-là, l’ogre ne parvint pas à ouvrir la porte, tant la neige était tombée durant la nuit. Ogre passa alors ses jambes par la fenêtre et s’enfonça à hauteur de ses grandes bottes de cuir rouge. Puis il aperçut quelque chose frétiller au loin. Il pensa d’abord à un animal familier, chat ou lapin, mais lorsqu’il s’en approcha, il comprit qu’il n’en était rien. C’était une aile. Quitte à porter une aile, je préférerais en porter deux ! pensa Ogre.