Thème « mort, deuil »

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Neuf / 9782211307543 / Disponible

Aujourd’hui, ma tante est morte. Ma grand-tante, plus exactement. Elle s’appelait Aimée, mais en vrai personne ne l’aimait. À part peut-être son caniche, Débile. En tout cas, ce n’est pas triste. Déjà, je vais pouvoir le raconter à l’école. En plus, je vais avoir un chien, même s’il s’appelle Débile et qu’il n’est pas très malin. Et puis surtout, je vais assister à mon premier enterrement. Et je ferai tout pour qu’il soit inoubliable.

Neuf / 9782211048309 / 12.00 € / Disponible

Kiyama, Kawabe et Yamashita sont trois copains d'école d'une douzaine d'années. Trois inséparables. La grand-mère de Yamashita meurt soudain. Il la connaissait à peine, mais il doit partir trois jours pour assister à son enterrement. Il revient troublé, fasciné, obsédé par la mort. Les deux autres se rendent compte qu'ils n'ont jamais vu de cadavre ailleurs que dans les mangas et les films à la télévision, et qu'ils ignorent ce qu'on ressent à la mort de quelqu'un. D'après eux, ce doit être une expérience comme une autre, un sujet d'étude. Et, justement, Kawabe vient de repérer une bicoque branlante sur un terrain vague. Elle est habitée par un très vieil homme. Elle a l'air mourante, cette maison. Son occupant doit l'être aussi. Ils se mettent au travail. À force de guetter, de scruter, d'espionner, ils vont bien finir par voir le vieillard mourir. Ils sauront enfin. Ils perceront le mystère. Ce qu'ils n'ont pas prévu, c'est qu'à force d'être observé le vieil ermite se sent exister, il se sent aimé, il reprend peu à peu goût à la vie. Et eux, en l'aidant à retaper sa maison et à cultiver son jardin en friche, en prenant soin de lui, en l'écoutant raconter ses souvenirs, c'est à une vie bien plus riche qu'ils accèdent patiemment.
 

Neuf / 9782211221160 / 9.50 € / Disponible

Jamais Anastasia n'a été aussi furieuse que le jour où ses parents lui ont annoncé qu'elle allait avoir un petit frère. Elle est allée dignement dans sa chambre, a décroché son poster d'orang-outang et a commencé à faire ses valises. Ses parents lui ont tout de même suggéré de passer Noël à la maison. Ils lui ont également dit que si elle restait, elle pourrait choisir le prénom du bébé. C'est alors qu'Anastasia a eu l'idée du prénom le plus abominable, le plus calamiteux qui puisse exister. Elle s'est empressée de le noter dans un endroit secret. Ensuite, elle a ajouté "les bébés" dans la liste des choses qu'elle déteste. Anastasia met très souvent ses listes à jour. C'est nécessaire. Des événements totalement imprévisibles et indépendants de votre volonté peuvent vous faire changer d'avis. Qui aurait cru, par exemple, que des mots comme "les garçons", "Mme Wesvessel" (la maîtresse), et même "les bébés" puissent un jour être rayés de la liste des choses qu'Anastasia déteste ?

La saga d'ANASTASIA dans l'ordre : "Anastasia Krupnick", "C'est encore Anastasia", "Anastasia à votre service", "Anastasia, demande à ton psy !", "Anastasia connaît la réponse", "Le nom de code d'Anastasia", "Anastasia avec conviction".

Neuf / 9782211085502 / 8.00 € / Disponible

Un hiver, le père de Philippe Dumas est mort. Il n'est pas parti en voyage, il ne nous a pas quittés, il n'a pas disparu. Il est mort. Et sa mort n'est pas un accident à taire, à passer sous silence, à étouffer, parce qu'en parler c'est tout simplement pouvoir mieux vivre et trouver des réponses à nos questions : Qu'est-ce que ça veut dire mourir ? Comment cela se passe-t-il ? Y a-t-il quelque chose après ? En parler, c'est aussi accepter que sa mort fasse partie de sa vie même et de ses tourbillons, exactement comme l'avait été sa naissance dans une fratrie nombreuse et la saveur des dragées d'alors. Ou ses bêtises d'enfants, ses récompenses d'adolescent, l'horreur de la Grande Guerre mais aussi la douceur des sentiments. Ou la saveur des dragées à la naissance de ses enfants et de ses petits-enfants. Ou sa maladie et les pansements des souvenirs. En parler, c'est faire fuir la peur qui se nourrit de silence et d'omissions. Comprendre que chacun doit trouver ses réponses, ne rien attendre ou tout espérer de l'après et, surtout, vivre intensément.

Neuf / 9782211093729 / 9.00 € / Disponible

Comment on sait quand on est amoureux ?
Kaï se sent tout bizarre depuis que Sidonie lui a donné une lettre pendant la récré. Quand il la voit, il a une drôle de sensation dans le ventre, comme s’il avait mangé trop de tomates. Et quand il ne la voit pas, il pense à elle. C’est ça être amoureux ?
Pour en avoir le coeur net, Kaï aimerait trouver quelqu’un à qui se confier. Mais son copain Obeid a l’air de s’en moquer ; son père, qui n’a jamais été un grand bavard, préfère raconter des blagues et Tom, son tonton – et son meilleur ami sauf que c’est un adulte –, ne le prend pas au sérieux. Kaï se dit pourtant que c’est le moment d’être grand. Il a dix ans, une furieuse envie de pleurer, de sortir tout ce qu’il a dans la tête et de vivre très fort, enfin.

Neuf / 9782211037655 / 9.00 € / Disponible

Jake hérite du chien de son père, lorsque celui-ci meurt. Un chien à moitié loup, tellement peu attirant que Jake l'a surnommée Jim l'Affreux... Un chien qui bizarrement est persuadé que son maître n'est pas mort et qui réussit à convaincre le jeune Jake de partir à sa recherche. Le garçon se lance donc sur les traces de son père, se fiant, malgré son aversion, au flair de impressionnant de Jim l'Affreux. À mi-chemin du western et du roman policier, une savoureuse histoire de morts qui ressuscitent et de diamants en toc, d'un garçon téméraire qui parcourt l'Ouest américain pour retrouver un père passablement fantasque.

Neuf / 9782211085540 / 8.00 € / Disponible

C'est la rentrée du CM1 et Andréa est de très mauvais poil. Pour commencer, la maîtresse l'a séparée de ses meilleurs amis, les Jojos, Johan et José, pour la coller à côté d'un nouveau qui parle comme un livre du Moyen Âge et fait des baisemains. Comme si ça ne suffisait pas, le nouveau, qui s'appelle Joseph, veut que tout le monde l'appelle Jojo. Ça va pas, non ? ! pense Andréa. Les Jojos, c'est sa bande à elle : chasse gardée ! Et, pour finir, il faut remplir une fiche de renseignements et répéter encore une fois cette phrase qui la torture depuis quatre ans : Profession du père : mort. Mais, soudain, Andréa glisse un oeil sur la feuille de Joseph et y découvre quelque chose qui l'abasourdit. Et quand Joseph dit : « La sonnerie a retenti, il est temps d'aller te restaurer », Andréa a très envie de le suivre. À la cantine, et même plus loin.

Neuf / 9782211309806 / Disponible

Les parents de Violette sont morts. Elle ne peut pas habiter toute seule, elle n’est qu’en CM1. L’assistante sociale qui s’occupe d’elle lui a dit que maintenant elle irait habiter chez son oncle, le frère de sa mère. Elle ne l’a pas vu depuis six ou sept ans mais elle s’en souvient très bien : il était vieux, gros et il puait. Quand elle arrive à Versailles, elle découvre que Régis-le-puant n’a pas changé et que sa maison est aussi horrible que lui. Violette est sûre d’une chose : elle ne peut pas vivre ici.

Neuf / 9782211200325 / 11.50 € / Disponible

Hal a l’air bête. Je sais qu’il n’est pas bête en réalité, il a la tête ailleurs, c’est tout. N’empêche, parfois, on pourrait s’y tromper. Quand je lui ai fait remarquer que ce n’était pas la meilleure idée de peindre son cerf-volant en bleu ciel ; il m’a simplement répondu – tenez-vous bien – qu’il fallait qu’il soit bleu. Bleu comme le vendredi. Non, mais on rêve ! Il a ajouté que dans sa tête le vendredi c’était bleu, avec un petit goût de sorbet citron. L’intérieur de sa tête doit être un endroit drôlement bizarre, non ? Même si parfois je fais d’énormes efforts pour le comprendre, Hal et moi on est amis depuis le jardin d’enfance. Je suis de son côté. Quoi qu’il arrive. Quand il m’a avoué qu’il avait un plan pour se débarrasser d’Alec, son futur beau-père, j’étais plutôt curieuse. Ce que Hal avait inventé risquait d’être un truc assez dingue…

Neuf / 9782211218504 / 9.00 € / Disponible

Avant, Kin et Jen vivaient heureux sur leur petite île de Yun. Ils regardaient le soleil couchant, jouaient sur le sable, exploraient tous les recoins. L’océan était la frontière de leur monde. Malheureusement, leurs parents n’ont plus les moyens de nourrir Kin et Jen. C’est pourquoi ils décident de les confier à monsieur Wai, un riche commerçant qui possède un bateau, afin qu’ils entrent à son service. Avec lui, ils traverseront la mer et chercheront une meilleure fortune sur le continent.
Quitter l’île, Kin et Jen n’en ont aucune envie. Surtout que leur nouveau maître est un homme colérique, effrayant, méchant, qui envoie tout le monde au diable et voit des diables partout, dans une baleine ou dans un orage. Mais quel est donc ce diable qui obsède monsieur Wai ?

Neuf / 9782211311212 / Disponible

Mon père dit qu’on va saluer Grand-Père Charles. Ça veut dire qu’on va au cimetière. Il est mort avant ma naissance, je ne l’ai jamais connu. Quand même, j’aime bien discuter avec lui, mentalement. Sur sa tombe, il y a ce chat trop mignon, un peu bizarre aussi. À 8 ans, on ne croit plus aux  fantômes. En tout cas moi, je n’y crois pas. Alors quand je découvre mon grand-père dans ma chambre, au milieu de la nuit, je n’ai pas peur, je suis surtout très curieuse...

Neuf / 9782211085373 / 8.50 € / Disponible

Clémence rêve d'abandonner son existence monotone de collégienne pour vagabonder à travers le monde, comme ses parents voleurs, et, surtout, pour ne jamais cesser de cambrioler l'ennui. Avec Oscar, son tuteur très particulier, elle est gâtée en étrangeté. Lui aimerait bien fuir son corps avec ses bourrelets embarrassants et ses angoisses paralysantes de fantôme. Chez eux, on s'amuse à traquer le silence avec un fusil de chasse. Jusqu'au jour où un bonheur écoeurant de sérénité s'installe au collège avec l'arrivée d'un nouveau venu, Simon. Tout le monde veut lui parler, le connaître, l'aimer. Avoir les yeux posés sur lui. Car Simon n'est pas un garçon comme les autres. Son visage et son corps se couvrent chaque jour de nouvelles taches de couleurs, des couleurs vives et changeantes. Certains l'appellent même le garçon arc-en-ciel. Un jour, Clémence fait un pas vers Simon. Pas pour être son amie, non, elle préférerait se faire mordre par un chien. Mais par curiosité. Elle voudrait juste savoir d'où lui viennent ses couleurs. Ce qui, d'après lui, ne la regarde pas. Mais Clémence est bien décidée à percer son secret.

Neuf / 9782211088763 / 10.50 € / Disponible

Jake ne s’intéresse ni aux filles, ni aux bébés. Ce qui tombe plutôt mal, parce qu’il vient d’avoir une petite sÅ“ur. Pire encore, Jake ne s’est pas rendu compte que sa mère était à nouveau enceinte. Personne ne l’a prévenu. Ses parents pensaient que Jake finirait par s’en apercevoir tout seul, mais il ne fait pas attention à ce genre de choses. Il préfère étudier les poissons.
C’est comme cette fille qui habite près de chez lui. Jake ne l’avait jamais remarquée avant de la croiser un soir à l’arrêt de bus. Depuis, il la rencontre partout, au supermarché, dans la rue… Elle s’invite même chez lui comme s’ils se connaissaient depuis toujours.
Finalement, Jake trouve que Stella n’est pas mal pour une fille. Elle aime le foot et la pêche. En plus, elle s’y connaît en bébé : c’est elle qui s’occupe de ses quatre petites sœurs quand ses parents travaillent. Stella serait- elle « l’ami » qui lui manque ?

Neuf / 9782211204828 / 8.50 € / Disponible

Ismaël possède un pouvoir magique. La nuit, il devient un petit garçon volant. Il passe d’une pièce à l’autre, sans s’en apercevoir. Le soir, il se couche dans son lit et, le lendemain matin, il a été téléporté dans celui de sa maman.
C’est aussi le soir que la mélancolie se manifeste. C’est le nom de l’étrange maladie dont souffre la mère d’Ismaël, cette maladie qui lui laisse des pierres dures au fond du ventre et la fait tant pleurer. La mélancolie a tout envahi. Elle a fatigué le papa d’Ismaël, qui a quitté la maison.
Lorsque sa maman a la mélancolie, Ismaël se sent seul. Alors il pense sans cesse à son pouvoir. Il est certain d’une chose : une cape magique lui pousse derrière le pyjama. Une sorte de cape rétractable qui se déploie dans son dos pour l’élever dans les airs et l’emmener loin de son lit. Une cape dans la nuit, il faut bien que ça serve à quelque chose. Qui Ismaël est-il censé sauver ? Quelqu’un ? Le monde ? L’univers ?
Ismaël attend et espère des réponses. Un jour, il le sait, il comprendra son pouvoir.

Neuf / 9782211091794 / 9.00 € / Disponible

Mon prénom est Lou. Mais lorsque j’étais petite, on m’appelait « Miss Catastrophe ». C’est bien simple : je fais gaffe sur gaffe. C’est plus fort que moi : je ne peux pas m’empêcher de dire ce qu’il ne faudrait pas dire. C’est ainsi que mes parents se sont disputés dernièrement avec certains de leurs amis. C’est ainsi également que Marine (ma meilleure amie) a décidé de se venger de moi et d’aller séduire Pablo dont je suis secrètement amoureuse.
Pourquoi tant de haine ? Il faut dire que mon jeu préféré, c’est écouter aux portes lorsqu’on me croit endormie. Confortablement installée (avec oreiller et couette, cela va sans dire), j’écoute les conversations des adultes. Sauf que là, j’ai entendu quelque chose de très grave. Quelque chose que j’aurais préféré ne jamais avoir entendu. Et cette fois je vais devoir me taire. Vraiment. Même si, parfois, il y a des secrets bien trop lourds à porter pour une fille de 12 ans.


LA FRESQUE DE LOU
Lou n’est pas une nouvelle venue sous la plume de Kéthévane Davrichewy. On la suit depuis Ma maison hantée, Les grosses lettres ou encore J’aurai une ferme en Afrique.

Qui est Lou ? Un jour, le docteur a dit qu’elle était « asthmatique ». Et puis « allergique » (à la poussière, aux plumes, aux animaux…). Et encore (pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?) « phobique ». Ce qui veut dire qu’elle a peur. Du noir, des araignées, des forêts profondes et des greniers… Bref, comme dit son cousin Arthur, « elle n’est pas très normale ». Une petite fille passablement angoissée. Et silencieuse. Parce que parler de tout ça, c’est trop difficile. Alors Lou a choisi le silence. Ainsi file son enfance : à se demander quand est-ce qu’elle va pouvoir se confier à quelqu’un et savoir y faire avec ses peurs, avec la parole…
Dans Les grosses lettres, Lou vient de perdre sa grand-mère et le silence devient décidément trop lourd. Alors elle lui écrit des lettres, une façon d’apprivoiser les mots et l’absence. Dans J’aurai une ferme en Afrique, Lou rencontre Fanny, qui va devenir une amie précieuse. Avec elle, elle va découvrir plus avant les baumes de l’amitié, des longues conversations, des rêves en partage…
Aujourd’hui, Lou a grandi, elle a 12 ans et cette jeune fille autrefois taiseuse, toujours plus ou moins à l’écart, sait utiliser les mots comme sa meilleure arme. En effet, les mots ont un pouvoir magique : ils donnent le change, tel un masque ; grâce à eux, on peut cacher toutes ses peurs, toutes ses angoisses et passer pour une fille… détendue et normale. Du coup, Lou s’est habituée à beaucoup parler, elle bavarde tout le temps.
Mais – revers de la médaille, on s’en doute – elle parle trop, et elle fait gaffe sur gaffe…
On l’appelle « Miss Catastrophe ».

Les mots. Une affaire de littérature par excellence. C’est bien ce qui occupe Kéthévane Davrichewy lorsqu’elle nous conte l’enfance et l’adolescence de Lou. « Lou représente ma face cachée ! », confie l’auteur. « Il y a une Lou en moi, dissimulée derrière la fille extravertie et joyeuse. Elle est l’incarnation de toutes mes peurs. » Je est un autre. Forcément. C’est bien ça (entre autres choses) qu’un écrivain explore dans l’écriture. Et l’on comprend que Kéthévane Davrichewy aime à suivre Lou d’année en année : « À cause de Lou, il se passe toujours quelque chose. » Ce pourrait être la définition même d’une héroïne de roman. Quoi qu’il en soit : pas de doute, c’en est une. Aujourd’hui Les pieds dans le plat vient ajouter sa pierre âpre et lumineuse à… la « fresque de Lou ».

Neuf / 9782211089944 / Disponible

Quand la mono du centre aéré a demandé ce qu’on avait comme Passion pour animer son propre Atelier Création et Découverte d’Activités Ludiques, Sportives et Artistiques, Gaspard a répondu « Haïku ».
Ça commençait très mal. Les haïkus, les autres ne savaient même pas ce que c’était et une grosse brute l’a surnommé « Aïe-mon-Kiki » et traité de tapette.
Tant mieux, après tout. Parce que en vérité, cette Passion, Gaspard ne souhaite la partager avec personne. Il souhaite rester seul avec elle. Avec elle et son chagrin. Avec elle et Léo. Personne ne le fera changer d’avis. Même pas cette fille en survêtement violet qui propose « Charlotte au chocolat ».

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