Thème « mort, deuil »

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Neuf / 9782211311212 / Disponible

Mon père dit qu’on va saluer Grand-Père Charles. Ça veut dire qu’on va au cimetière. Il est mort avant ma naissance, je ne l’ai jamais connu. Quand même, j’aime bien discuter avec lui, mentalement. Sur sa tombe, il y a ce chat trop mignon, un peu bizarre aussi. À 8 ans, on ne croit plus aux  fantômes. En tout cas moi, je n’y crois pas. Alors quand je découvre mon grand-père dans ma chambre, au milieu de la nuit, je n’ai pas peur, je suis surtout très curieuse...

Neuf / 9782211085373 / 8.50 € / Disponible

Clémence rêve d'abandonner son existence monotone de collégienne pour vagabonder à travers le monde, comme ses parents voleurs, et, surtout, pour ne jamais cesser de cambrioler l'ennui. Avec Oscar, son tuteur très particulier, elle est gâtée en étrangeté. Lui aimerait bien fuir son corps avec ses bourrelets embarrassants et ses angoisses paralysantes de fantôme. Chez eux, on s'amuse à traquer le silence avec un fusil de chasse. Jusqu'au jour où un bonheur écoeurant de sérénité s'installe au collège avec l'arrivée d'un nouveau venu, Simon. Tout le monde veut lui parler, le connaître, l'aimer. Avoir les yeux posés sur lui. Car Simon n'est pas un garçon comme les autres. Son visage et son corps se couvrent chaque jour de nouvelles taches de couleurs, des couleurs vives et changeantes. Certains l'appellent même le garçon arc-en-ciel. Un jour, Clémence fait un pas vers Simon. Pas pour être son amie, non, elle préférerait se faire mordre par un chien. Mais par curiosité. Elle voudrait juste savoir d'où lui viennent ses couleurs. Ce qui, d'après lui, ne la regarde pas. Mais Clémence est bien décidée à percer son secret.

Albums / 9782211215404 / 14.50 € / Disponible

Son père le lui avait bien dit : « Il ne faut pas sortir en mer quand le ciel est noir. » Mais comme il n’est plus là pour le lui interdire, le petit garçon part pêcher sous les nuages. Soudain, quelque chose se prend dans son filet. Alors qu’il tire, la tempête se déchaîne. Et voilà que sa prise apparaît. Horreur ! C’est un squelette qui se dresse devant lui. Il a beau fuir, pagayer de toutes ses forces, puis s’évanouir, le petit garçon ne se débarrassera pas du squelette avant d’avoir compris ce que celui-ci est venu lui enseigner…

Il y a huit ans que Chen Jiang Hong a eu l’idée de cet album, intrigué par un dessin traditionnel chinois du VIIe siècle sur lequel un squelette manipule une marionnette d’enfant-squelette devant un petit garçon qui les regarde paisiblement, tandis que, derrière lui, sa mère est terrifiée. Peu à peu, nourri aussi par des contes, il a trouvé son histoire qui illustre de façon profonde cette grande vérité de la philosophie chinoise : la vie et la mort sont comme les deux côtés de la même main. Les enfants, qui sont de grands sages, acceptent bien plus volontiers cette idée que les adultes…
 

Neuf / 9782211088763 / 10.50 € / Disponible

Jake ne s’intéresse ni aux filles, ni aux bébés. Ce qui tombe plutôt mal, parce qu’il vient d’avoir une petite sœur. Pire encore, Jake ne s’est pas rendu compte que sa mère était à nouveau enceinte. Personne ne l’a prévenu. Ses parents pensaient que Jake finirait par s’en apercevoir tout seul, mais il ne fait pas attention à ce genre de choses. Il préfère étudier les poissons.
C’est comme cette fille qui habite près de chez lui. Jake ne l’avait jamais remarquée avant de la croiser un soir à l’arrêt de bus. Depuis, il la rencontre partout, au supermarché, dans la rue… Elle s’invite même chez lui comme s’ils se connaissaient depuis toujours.
Finalement, Jake trouve que Stella n’est pas mal pour une fille. Elle aime le foot et la pêche. En plus, elle s’y connaît en bébé : c’est elle qui s’occupe de ses quatre petites sœurs quand ses parents travaillent. Stella serait- elle « l’ami » qui lui manque ?

Neuf / 9782211204828 / 8.50 € / Disponible

Ismaël possède un pouvoir magique. La nuit, il devient un petit garçon volant. Il passe d’une pièce à l’autre, sans s’en apercevoir. Le soir, il se couche dans son lit et, le lendemain matin, il a été téléporté dans celui de sa maman.
C’est aussi le soir que la mélancolie se manifeste. C’est le nom de l’étrange maladie dont souffre la mère d’Ismaël, cette maladie qui lui laisse des pierres dures au fond du ventre et la fait tant pleurer. La mélancolie a tout envahi. Elle a fatigué le papa d’Ismaël, qui a quitté la maison.
Lorsque sa maman a la mélancolie, Ismaël se sent seul. Alors il pense sans cesse à son pouvoir. Il est certain d’une chose : une cape magique lui pousse derrière le pyjama. Une sorte de cape rétractable qui se déploie dans son dos pour l’élever dans les airs et l’emmener loin de son lit. Une cape dans la nuit, il faut bien que ça serve à quelque chose. Qui Ismaël est-il censé sauver ? Quelqu’un ? Le monde ? L’univers ?
Ismaël attend et espère des réponses. Un jour, il le sait, il comprendra son pouvoir.

Neuf / 9782211091794 / 9.00 € / Disponible

Mon prénom est Lou. Mais lorsque j’étais petite, on m’appelait « Miss Catastrophe ». C’est bien simple : je fais gaffe sur gaffe. C’est plus fort que moi : je ne peux pas m’empêcher de dire ce qu’il ne faudrait pas dire. C’est ainsi que mes parents se sont disputés dernièrement avec certains de leurs amis. C’est ainsi également que Marine (ma meilleure amie) a décidé de se venger de moi et d’aller séduire Pablo dont je suis secrètement amoureuse.
Pourquoi tant de haine ? Il faut dire que mon jeu préféré, c’est écouter aux portes lorsqu’on me croit endormie. Confortablement installée (avec oreiller et couette, cela va sans dire), j’écoute les conversations des adultes. Sauf que là, j’ai entendu quelque chose de très grave. Quelque chose que j’aurais préféré ne jamais avoir entendu. Et cette fois je vais devoir me taire. Vraiment. Même si, parfois, il y a des secrets bien trop lourds à porter pour une fille de 12 ans.


LA FRESQUE DE LOU
Lou n’est pas une nouvelle venue sous la plume de Kéthévane Davrichewy. On la suit depuis Ma maison hantée, Les grosses lettres ou encore J’aurai une ferme en Afrique.

Qui est Lou ? Un jour, le docteur a dit qu’elle était « asthmatique ». Et puis « allergique » (à la poussière, aux plumes, aux animaux…). Et encore (pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?) « phobique ». Ce qui veut dire qu’elle a peur. Du noir, des araignées, des forêts profondes et des greniers… Bref, comme dit son cousin Arthur, « elle n’est pas très normale ». Une petite fille passablement angoissée. Et silencieuse. Parce que parler de tout ça, c’est trop difficile. Alors Lou a choisi le silence. Ainsi file son enfance : à se demander quand est-ce qu’elle va pouvoir se confier à quelqu’un et savoir y faire avec ses peurs, avec la parole…
Dans Les grosses lettres, Lou vient de perdre sa grand-mère et le silence devient décidément trop lourd. Alors elle lui écrit des lettres, une façon d’apprivoiser les mots et l’absence. Dans J’aurai une ferme en Afrique, Lou rencontre Fanny, qui va devenir une amie précieuse. Avec elle, elle va découvrir plus avant les baumes de l’amitié, des longues conversations, des rêves en partage…
Aujourd’hui, Lou a grandi, elle a 12 ans et cette jeune fille autrefois taiseuse, toujours plus ou moins à l’écart, sait utiliser les mots comme sa meilleure arme. En effet, les mots ont un pouvoir magique : ils donnent le change, tel un masque ; grâce à eux, on peut cacher toutes ses peurs, toutes ses angoisses et passer pour une fille… détendue et normale. Du coup, Lou s’est habituée à beaucoup parler, elle bavarde tout le temps.
Mais – revers de la médaille, on s’en doute – elle parle trop, et elle fait gaffe sur gaffe…
On l’appelle « Miss Catastrophe ».

Les mots. Une affaire de littérature par excellence. C’est bien ce qui occupe Kéthévane Davrichewy lorsqu’elle nous conte l’enfance et l’adolescence de Lou. « Lou représente ma face cachée ! », confie l’auteur. « Il y a une Lou en moi, dissimulée derrière la fille extravertie et joyeuse. Elle est l’incarnation de toutes mes peurs. » Je est un autre. Forcément. C’est bien ça (entre autres choses) qu’un écrivain explore dans l’écriture. Et l’on comprend que Kéthévane Davrichewy aime à suivre Lou d’année en année : « À cause de Lou, il se passe toujours quelque chose. » Ce pourrait être la définition même d’une héroïne de roman. Quoi qu’il en soit : pas de doute, c’en est une. Aujourd’hui Les pieds dans le plat vient ajouter sa pierre âpre et lumineuse à… la « fresque de Lou ».

Neuf / 9782211089944 / Disponible

Quand la mono du centre aéré a demandé ce qu’on avait comme Passion pour animer son propre Atelier Création et Découverte d’Activités Ludiques, Sportives et Artistiques, Gaspard a répondu « Haïku ».
Ça commençait très mal. Les haïkus, les autres ne savaient même pas ce que c’était et une grosse brute l’a surnommé « Aïe-mon-Kiki » et traité de tapette.
Tant mieux, après tout. Parce que en vérité, cette Passion, Gaspard ne souhaite la partager avec personne. Il souhaite rester seul avec elle. Avec elle et son chagrin. Avec elle et Léo. Personne ne le fera changer d’avis. Même pas cette fille en survêtement violet qui propose « Charlotte au chocolat ».

Neuf / 9782211098038 / 8.50 € / Disponible

Thomas a rendez-vous avec le docteur Zblod qui ne l’ausculte pas, ne regarde ni sa gorge ni ses oreilles.
Ce n’est pas ce genre de docteur.
C’est un spécialiste des angoisses et des cauchemars.
On peut lui dire tout ce qui nous passe par la tête, a dit maman. Thomas craint que cette phrase n’agisse comme une malédiction, et que n’importe quoi, absolument n’importe quoi lui passe par la tête.
« – Les cauchemars que tu fais le jour, est-ce que ce sont toujours les mêmes ? a demandé le docteur.
– Il y en a plusieurs sortes. Mais il y en a un qui revient plus souvent que les autres.
– Est-ce que je peux te demander de quel cauchemar il s’agit, si ce n’est pas indiscret ?
C’était un moment important, parce que j’allais prononcer le nom qui compte le plus dans ma vie. »
Le nom qui compte le plus dans la vie de Thomas, depuis qu’il a vu le film, c’est celui de Nanouk l’Eskimo.

les lutins / 9782211095457 / 6.00 € / Disponible

« Ce jour-là, nous avons créé une entreprise qui s'appelait Enterrements SA. Nous allions faire les plus beaux enterrements du monde et rendre service à tous ces malheureux animaux morts qui gisaient par terre. Le travail d'Esther, ce serait de creuser. Moi, j'écrirais les poèmes. Et Lolo, lui, pleurerait. »

Neuf / 9782211202886 / 8.00 € / Disponible

Depuis qu’Odile n’existe plus, Émilie essaie de croire que sa cousine est toujours là. Elle se voit dormir cent ans comme la Belle au bois dormant, semer des cailloux de Petit Poucet jusqu’à la maison de sa cousine, planter des haricots magiques et grimper jusqu’au ciel pour rejoindre Odile.
– Arrête de faire l’enfant, lui dit son père. Odile n’existe plus. Tu verras son cercueil demain.
Émilie s’entête. Elle sait bien que le loup ne l’attend pas au coin de la rue, que ses haricots ne sont pas géants, que ses faux nains ne lui rendront pas sa cousine Odile. Mais elle aimerait tant !

Neuf / 9782211093385 / 11.50 € / Disponible

David voudrait juste qu’on le laisse tranquille. Que les choses soient claires : non, il n’a pas besoin d’amis. Ce dont il a besoin c’est d’une mère, et la sienne est morte il y a un an. Ce dont il n’a aucune envie c’est d’aller à cette stupide chasse aux oeufs de Pâques où l’emmène sa grand-mère.
Bon, c’est vrai que cette chasse se révèle plus originale que prévue. David trouve une morte dans la forêt : une fille cachée sous des feuilles, un oeuf dans la bouche. Il se sent tout de suite bien avec elle, alors il lui parle. Et il repart.
Et puis l’autre jour à la bibliothèque, avec qui David se retrouve nez à nez ? La Morte. Elle s’appelle Rose, elle a treize ans. C’est le genre de fille qui installe sa chambre dans une vieille camionnette pour échapper à sa mère voyante et timbrée. Son point fort : elle est on ne peut plus vivante.

Neuf / 978221102250 / Disponible

Bon-Papa est mort. Bon-Papa qui appelait Suzanne Cocotte, qui faisait des blagues vraiment pas drôles avec la mousse de sa bière, qui avait une chemise à carreaux trempée de sueur, qui dégommait les taupes au fusil, et qui disait : « Voyons, on ne pleure pas pour un hamster. » Bon-Papa à qui Suzanne tirait la langue, intérieurement, plusieurs fois par jour, parce qu'elle en avait marre de ses plaisanteries, qu'elle était contre l'assassinat de taupes, et qu'elle avait beaucoup pleuré à la mort de son hamster. 
Bon-Papa est mort dans sa chemise à carreaux, en tondant la pelouse avec Suzanne. La maison est pleine de larmes, de coups de téléphone, d'hommes en chaussures noires, et de silences inquiétants. Dans la cour, il y avait une grande malle noire. Suzanne se pose des questions, elle pense à Bon-Papa et elle attend l'arrivée de l'oncle Henri.

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