Thème « mort, deuil »
Le papa d'Alba est parti. « Savez-vous où il est allé ? » demande la petite fille aux fourmis. « Il nous a dit qu'il voulait voir la forêt », répondent-elles. Dans la forêt, Alba se retrouve nez à nez avec un éléphant. « Je cherche mon papa », dit-elle. Alors, l'éléphant la saisit avec sa trompe, la dépose sur sa tête et se met à courir en direction du lac...
Hipollène est presque grande et son père a décidé de lui apprendre tous les secrets de la chasse aux glousses. Ils habitent dans l'Arbre sans fin. Au bout d'une branche il y a toujours une autre branche. Grand-Mère sait tout de l'arbre. Grand-Mère meurt, l'arbre pleure. Hipollène se cache dans sa maison secrète. Elle est si triste qu'elle se transforme en larme, et c'est le début de son immense voyage.
Depuis quelque temps, Dora n'a pas la vie facile. Sa meilleure amie vient de la lacher et se moque d'elle, avec les autres filles de la classe, parce qu'elle a peur de l'eau. Dora se sent seule, et en plus, personne ne veut répondre aux questions qui la tracassent, comme par exemple : Où était-elle avant de naître ? Et pourquoi est-elle Dora, avec ses qualités, ses défauts, ses goûts à elle, et pas une autre petite fille ? Et puis un jour, Dora rencontre Bigarrée, une jeune fille, très seule elle aussi. Et cette rencontre va changer beaucoup de choses.
Lou n'arrive pas à se consoler du départ de sa grand-mère. Les mois passent et elle porte son chagrin toute seule. Elle ne peut le partager avec personne. Ni avec Marine, sa meilleure amie. Ni avec Arthur, son cousin. Ni même avec sa maman. Impossible d'en parler. Ça fait trop mal de dire. Pourtant c'est si lourd, si lourd, que Lou se met à écrire des lettres à sa grand-mère absente. Pour dire. Enfin. Les regrets, les petits et les grands malheurs de tous les jours, les secrets, les déceptions. Lentement un énorme noeud se défait. Et doucement, tout doucement, la vie reprend. Plus légère.
Dans la grande forêt, un petit éléphant est né. Il s'appelle Babar. Voici son histoire triste et gaie : comment sa mère fut tuée par un chasseur, comment il s'enfuit à la ville où il fut recueilli par la vieille dame et devint roi, en revenant dans son pays.
Lou a trouvé quelqu'un à qui elle peut tout dire. Cela arrive très rarement dans la vie, que l'on soit petit ou grand. Mais Lou, elle, a trouvé cette personne rare, toujours partante pour rire et jouer, toujours là pour comprendre et pour prendre soin d'elle. Sa chance s'appelle Fanny. Toutes les deux, elles sont dans la même classe, alors elles vont à l'école ensemble, elles s'échangent leurs rêves et leurs pensées. Elles ont même un projet en commun, vivre ensemble dans une ferme en Afrique. Plus tard, quand elles seront grandes. Ce sont des rêves d'enfants, leur disent les adultes. Une amitié pareille n'existe pas, déclare Arthur, le cousin de Lou. Maintenant, elles vont tout faire pour leur prouver le contraire.
En ce moment, Louis n'a pas très envie de jouer avec ses copains, Guillaume et Nicolas. Il a de bonnes raisons. Il ne s'ennuie pas. Il joue très bien tout seul. Il décide qu'il est un flic dans la maison d'un serial killer. Ou alors il fait des bêtises avec les réserves d'aspirine. Mais parfois, Louis joue aussi à des jeux étranges, connus de lui seul...dans lesquels Papa est encore vivant.
Petit-Bond et ses amis découvrent un merle qui ne bouge plus. Que lui est-il arrivé ? Peut-être dort-il ? Peut-être est-il malade ? Non. Le merle est mort... Petit-Bond et ses amis sont bien déconcertés par cette découverte. Mais très vite, la vie reprend ses droits.
Au milieu de la nuit, à l’heure où les monstres se réveillent, Lima découvre sa grande soeur dans la chambre. Pourtant, hier encore, Velvet dormait à l’hôpital. « Dépêche-toi, on va être en retard », lui dit-elle en lui tendant ses chaussures. Lima accompagnerait sa grande soeur jusqu’au bout du danger. Dehors, il y a plein de bruits inconnus. On dirait que la nuit parle une langue étrangère. Et une ombre étrange semble les suivre.
OK, OK, j'ai manqué l'enterrement de ce vieux Murphy. C'est la faute de ce fainéant de poisson rouge. J'attendais qu'il monte à la surface du bassin des Tanner. J'ai tellement attendu que finalement, quand je suis arrivé, la cérémonie était finie. Pas ma faute. À vrai dire, ce n'était pas la première fois que je manquais un enterrement. Si bien que j'ai fini par me demander qui viendrait au mien. Mais on ne peut pas savoir, il faudrait être mort. À moins que...
En Mongolie, rencontrer un loup est signe de chance. Depuis toujours, Nomin rêve d’en voir un de ses propres yeux, comme sa grand-mère autrefois. Ces créatures mystérieuses qui hantent les steppes lui semblent si proches, et restent pourtant invisibles… Mais sa grand-mère en est certaine : un jour, Nomin aussi rencontrera un loup.
Dunne a plein de raisons d’être heureuse. Elle est heureuse quand elle apprend à nager. Elle est heureuse à la maison, avec papa et le chat. Elle est heureuse en préparant sa rentrée à l’école élémentaire.
À l’école, Dunne rencontre Ella Frida, et très vite elles deviennent inséparables. Elles partagent leurs jeux, leurs repas… Presque tout, en fait. Mais, après les vacances de Noël, Ella Frida doit déménager.
Est-ce qu’on peut être heureux encore lorsqu’on est séparé des gens que l’on aime ? Peut-être que le bonheur n’est pas toujours là .
Peut-être faut-il quelquefois le chercher. Alors si Dunne cherche bien…
Rien est toujours avec moi, autour de moi. Il est toujours de bonne humeur et ne dit jamais rien de méchant. Je fais des tas de choses avec Rien. Pourtant, il arrive que Rien ne comprenne rien de rien. Quand je lui dis que j'aimerais bien rejoindre Maman au ciel, sur les montagnes d'Himalaya, par exemple. Rien, c'est mon ami à moi et rien ne le remplacera jamais.
Le grand-père de Pablito lui a offert un petit cochon jaune. Pablito l'a baptisé Amarillo, à cause de sa couleur. Ils sont inséparables. Mais un jour, Amarillo disparaît. Les jours passent et il ne revient pas. Personne ne sait ce qui lui est arrivé. Pablito pense à lui sans cesse, rien ne peut le consoler. « Peut-être Amarillo est-il mort », lui dit son grand-père. « Et ici, au Guatemala, quand les gens sont tristes comme toi, Pablito, ils envoient un cerf-volant dans le ciel pour communiquer avec les morts.»
Le jour de la fête des morts, le cerf-volant de Pablito est prêt. « Vole, vole vers Amarillo ! » lui dit-il. Et ce jour-là , il se passe une chose très belle : Amarillo lui répond.
Comment guérir d’une blessure ? Comment combler un vide ? Comment supporter une absence ? Comment survivre à la mort d’un être cher ? L’ours croit qu’il n’y arrivera pas. Qu’il restera inconsolable du départ de son ami le petit oiseau. Il ne se sépare plus du cercueil qu’il lui a fabriqué.
Mais c’est en acceptant de passer par toutes les étapes de la souffrance et du deuil – révolte, souvenirs, chagrin, solitude…– qu’il va enfin reprendre goût à la vie, et faire de nouvelles rencontres.
Dans une ville toute blanche, accrochée à une falaise qui domine l'océan, un vieux roi vient de s'endormir pour toujours. Les cloches sonnent à la volée : « Le vieux roi est mort, le vieux roi n'est plus ! »
Dans le palais doré perché au sommet du rocher, un petit prince pleure en regardant la mer. Un énorme chagrin lui serre très fort le coeur. « Viens, petit prince, viens, c'est ton tour... »