Thème « maison, habitation »
Bonjour, entre donc. Tu pourrais peut-être m’aider ? Vois-tu, il paraît... que cette maison est HANTÉE !
Foufours est sorti chercher de la paille pour réparer le toit de sa maison. Quand il revient, il pleut si fort qu'il ne voit plus rien. « Où est ma maison ? » demande-t-il à Glouton. Mais Glouton ne résiste jamais à l'envie de faire une mauvaise blague. « Ta maison a été emportée par la rivière ! » répond-il...
Connaissez-vous l'incroyable ville de Grand-Balai ?
Du simple chapeau pointu au fabuleux livre de sorts, on y trouve tout ce qui fait le bonheur des magiciens !
Non loin de là, sur la Colline-aux-Balais, emménagent quatre petites sorcières… et elles ont fort à faire pour que cette bicoque devienne la maison de leur rêve !
Trois petits cochons vivaient au village avec leur vieille maman, mais celle-ci était si pauvre qu'elle n'arrivait plus à les nourrir. « C'est à vous de vous débrouiller tout seuls dans la vie, maintenant », leur dit-elle.
Vous connaissez sûrement les trois petits cochons. Savez-vous qu’ils ont une maman merveilleuse qui aime ses petits cochonnets plus que tout ? Mais l’heure de l’autonomie a sonné, ils doivent quitter le nid. (Attention ! L’oeil protecteur de Maman Chonchon n’est jamais loin !)
Minusculette est reveillée en plein nuit par des bruits étranges, elle va donc interroger ses amis et voisins afin de découvrir d’où viennent ces bruits… Mais, regardez ! Une famille de loirs a élu domicile au sommet de notre arbre, ce sont eux qui faisaient tout ce bruit !
Peut aussi s’épeler ainsi : P. R. O. C. R. A. S. T. I. N. A. T. I. O. N.
« On verra demain », répondait Paco lorsqu’on lui demandait de ranger sa chambre.
« On verra demain », répétait-il au lieu d’aider les autres. « On verra demain... » Et puis, demain a fini par arriver.
Alfred n’a plus de maison. Il a juste eu le temps de prendre sa chaise et il est parti. « Vous voulez bien me faire une petite place ? » demande Alfred.«Tu n’y penses pas. Va-t’en ! »« Hé, là-haut ! Je peux venir avec vous ? »« Oh, mais non, tu es trop lourd ! Et avec ta chaise, ce n’est pas très pratique. »Là-bas, Alfred voit une toute petite maison. C’est la maison de Sonia…
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
Killiok, le chien noir, est inquiet. Il attend le retour de Vari Tchésou, le magicien rouge, dont il n'a pas de nouvelles depuis le printemps. D'après les oiseaux, une roulotte aurait été aperçue au fin fond de la Grande Forêt… Killiok convainc Véronica de l'accompagner pour savoir ce qu'il en est.
Tous deux s'enfoncent dans la Grande Forêt et font des rencontres surprenantes : Pikkeli Mimou dans son refuge, le Chat Mystère qui va au festival de vol, Susy le cheval… et tous ces Bébés Mousse avec qui ils prendront le train !
La Chintia, dont Anne Brouillard a imaginé la carte, est divisée en 11 pays. L'histoire prend vie au travers des personnages, des lieux, et de leurs influences. Tout est possible et a l'air réel. Le premier tome met en mouvement les habitants du Pays du Lac tranquille.
Un jour, Petit-Gris et ses parents attrapèrent la pauvreté. Ils durent quitter leur maison, des chasseurs à leurs trousses. Mais Petit-Gris savait ce qui pouvait les sauver..
C'est un livre où l'on apprend que les murs, les toits et les fenêtres d'une maison peuvent s'en aller, par coquetterie ou par désespoir. Que les portes peuvent s'en aller, elles aussi, mais pour des raisons plus subtiles, surtout si elles sont nos amies. C'est également un livre où l'on apprend comment les parents peuvent rétrécir et comment les maisons se construisent. On y découvre qu'il y a toutes sortes de larmes. Qu'elles peuvent être lourdes, énormes, mouillées, légères, bleues, profondes... Et qu'il peut être utile de pleurer tout aussi bien que de s'arrêter. On peut sécher en pleine mer, traverser un tunnel d'animaux tristes, décoller de la joue d'une statue géante et rester serein, parce que avec l'Eugénie des larmes, il y a toujours l'Eugénie du rire.