Thème « maison, habitation »
« Maman dit qu'il y a deux sortes de gens dans la vie. Ceux qui ont un paradis perdu et ceux qui n'en ont pas.» La petite fille qui raconte son histoire fait partie de ceux qui en ont un. Pour elle, le paradis perdu, c'est une grande maison pleine de billes de verre, de rires, de glycines enroulées à l'escalier du perron. Une grande maison remplie de fêtes d'anniversaire et de violoncelles. Malheureusement, cette maison ne sera bientôt plus remplie que de souvenirs...
Quels secrets renferme cette étrange maison de l'Avenue Jean Jaurès devant laquelle passe Georges tous les matins en allant à l'école ? C'est une maison magique dans laquelle « la salle à manger est toute à manger »...
Nous voici plongés dans un univers à la fois poétique et merveilleux et plein de surprises.
Quand les petits escargots ont la folie des grandeurs, heureusement qu’il se trouve quelquefois des papas escargots pour remettre les pendules à l’heure. Une maison époustouflante, gigantesque, plus belle qu’un palais, plus grandiose qu’une cathédrale ? Pourquoi pas… mais réfléchis, petit escargot. Avec une maison pareille sur le dos, pourras-tu encore bouger, manger, aller de chou frisé en chou pommelé ? Et pour mieux convaincre son petit, papa raconte une histoire exemplaire…
Pour rien au monde, Corbelle ne voudrait quitter son peuplier. Elle peut y boire paisiblement son chocolat avec son amoureux, Corbillo, et plonger de toute sa hauteur pour gagner la terre, ses ailes grandes ouvertes. Un jour, une marque bleue est tracée sur leur arbre. Leur domicile conjugal va être abattu, et Corbelle et Corbillo doivent déménager. Adieu train-train, une nouvelle vie s'annonce. Chercher un nid d'amour n'est pas chose facile, surtout quand on a mauvais caractère, de nombreuses exigences et des regrets plein le coeur. Très vite, rien ne va plus. Heureusement, Corbelle et Corbillo ont des amis pour veiller sur eux.
Arsène et Bartoli sont deux frères taquins et inséparables qui se préoccupent peu de ce qui les entoure : ils adorent se rouler dans les fleurs sauvages, tendre des pièges aux lapins et piétiner allègrement les vers de terre en comptant les points. Les coquins sont maîtres de ces bois… Après tout, qui pourrait défier deux ours ? Mais la forêt qui les a vus grandir leur réserve quelques surprises…
Lou a peur du noir, des araignées, des forêts profondes, du bruit, des greniers et des chauves-souris. En plus, elle est allergique à la poussière, aux plumes et à tous les animaux en général. Alors elle se demande vraiment pourquoi ses parents ont acheté une maison à la campagne. Cette maison est sinistre, exactement comme Lou l'avait pensé. Mais ce qu'elle n'aurait jamais pu imaginer, c'est que quelqu'un y habite déjà. Enfin, une sorte de quelqu'un. Une créature mince, barbue, très exigeante sur la température de son bain. Et douée de certains pouvoirs...
Un jour, Jérémie le lapin eut l'idée de faire un grand voyage. Il se mit à faire sa valise. Il en prit une petite, pour n'emporter que ce qu'il aimait vraiment. Mais c'était difficile de choisir parmi les livres de sa bibliothèque, et aussi parmi ses pyjamas. Il puis il fallait bien emporter de quoi manger et boire... Pas de souci, se dit Jérémie, je n'ai qu'à prendre une malle. Non, plutôt une petite caravane, ce serait plus pratique, il pourrait même dormir dedans. Mais lorsqu'il eut rempli sa petite caravane, Jérémie se trouva un peu à l'étroit. Il décida de mettre les roues de sa caravane sous sa maison. C'est alors que son ami Justin, puis ses parents, proposèrent de l'accompagner. Jérémie allait-il réussir à faire son grand voyage ? Trouverait-il l'île merveilleuse dont il avait rêvé, où il y avait à la fois la montagne, la mer et une petite ville pour danser le soir sous les réverbères ?
Un lion, roi de la jungle, et une simple chèvre étaient tombés amoureux du même endroit verdoyant, et avaient décidé d’y construire chacun sa maison. Le lion s’était cru le plus malin en laissant la chèvre faire tout le travail puis en s’installant dans la maison terminée et aménagée. Et, par-dessus le marché, il avait réduit la chèvre en esclavage… C’était compter sans la débrouillardise, la ruse et le courage qui sont l’apanage des plus faibles. Quand une chèvre se révolte, les lions feraient bien de numéroter leurs abattis !
Une armoire abandonnée traîne au bord de la route. Elle est grande, en bon état, très jolie, ma foi ! Meredith la coccinelle décide de s’y installer. Ça fera une excellente maison de campagne pour l’été. Mais voilà Totoche qui passe. Il avait justement besoin d’une armoire ! Il l’emporte sur son dos quand, tout à coup, elle se met à parler : « Repose-moi ! Cette armoire est à moi ! »
D’accord, Meredith, dit Totoche, mais moi j’ai besoin d’un garde-manger. On pourrait peut-être s’arranger ?
Marvin est un gros chien qui dort dans la rue. Dès qu’elle croise sa route, Mona décide de s’occuper de lui. Comme ses parents ne sont pas d’accord pour le prendre sous leur toit, Mona cherche partout dans les environs. Trop petit, trop cher, trop plein… Il faut explorer encore plus loin. À force d’insister, l’infatigable Mona et son protégé vont faire une série de rencontres inattendues, et trouver leur bonheur.
L'hiver arrive, et Verdurette se met en quête d'un logis. Elle commence par faire le tour de la mare : tous les trous sont occupés et personne n'a le sens de l'hospitalité. Ca commence mal...
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
En été comme en hiver, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, cette vallée est la plus belle du monde. Ce ne sont pas les Touim’s qui vous diront le contraire ! Laissez-vous guider par Poutchy-Bloue et découvrez toutes les merveilles de cet endroit unique : l’Arbre-Maison où il est né, la Forêt de l’Enfant-Perdu, l’Île Dodo-Dodu, ou encore le Théâtre des Colères…
C'est un livre où l'on apprend que les murs, les toits et les fenêtres d'une maison peuvent s'en aller, par coquetterie ou par désespoir. Que les portes peuvent s'en aller, elles aussi, mais pour des raisons plus subtiles, surtout si elles sont nos amies. C'est également un livre où l'on apprend comment les parents peuvent rétrécir et comment les maisons se construisent. On y découvre qu'il y a toutes sortes de larmes. Qu'elles peuvent être lourdes, énormes, mouillées, légères, bleues, profondes... Et qu'il peut être utile de pleurer tout aussi bien que de s'arrêter. On peut sécher en pleine mer, traverser un tunnel d'animaux tristes, décoller de la joue d'une statue géante et rester serein, parce que avec l'Eugénie des larmes, il y a toujours l'Eugénie du rire.