Thème « maison, habitation »
Chaque été, le premier jour des vacances, Papa et Maman Caprani et leurs sept enfants partent s'installer dans la maison construite il y a très longtemps par Grand-pépé Caprani, au fond des bois. Mais cette année, pour la première fois dans toute l'histoire des Caprani, la maison est devenue trop petite, et à l'heure du coucher, tout le monde est bien trop à l'étroit. À l'issue d'un grand conseil de famille, on décide la construction d'une annexe dans un arbre. Et c'est là que les choses se compliquent, car évidemment, une fois la nouvelle maison terminée, tous les enfants veulent y dormir... sauf Edmond, qui s'est carrément construit la sienne en secret, dans un hêtre un peu plus loin. À peine ses frères et soeurs l'ont-ils découverte qu'ils veulent en faire autant, et chacun selon son goût. Voilà les vacances des Caprani transformées en gigantesque chantier architectural. Papa Caprani est certes fier que le talent et le savoir-faire de Grand-pépé se soit transmis à la jeune génération, mais lui, ce qu'il aime avant tout, c'est avoir tous ses petits sous son aile... Sinon, comment fera-t-il pour trouver le sommeil ?
Une fenêtre s’éclaire dans la maison. C’est Mamie qui se lève si tôt. Elle est encore fatiguée pourtant. Que peut-elle bien faire de si bon matin dans la cuisine ? Ils sont ronds, ils sont beaux et c’est leur bonne odeur qui me réveille. Miam ! À moi les petits pains chauds.
Oh là là, vous savez quoi ? Le loup est revenu et nous n'avons pas de maison ! Vite, vite, les trois cochons dressent quatre murs. Le loup arrive à toute allure. Vite, vite, les trois cochons ajoutent un toit. Le loup est là !
Un livre à rabats pour mieux vivre l'histoire !
Vous connaissez sûrement les trois petits cochons. Savez-vous qu’ils ont une maman merveilleuse qui aime ses petits cochonnets plus que tout ? Mais l’heure de l’autonomie a sonné, ils doivent quitter le nid. (Attention ! L’oeil protecteur de Maman Chonchon n’est jamais loin !)
Il neige fort ce lundi matin. Matin Minet et Hadek sont bien ici, chez eux, à l’intérieur. Mardi, Hadek s’installe douillettement avec ses livres. Les autres jours de la semaine s’égrènent au rythme de la neige et des lectures d’Hadek. Dimanche, Matin Minet regarde par la fenêtre : « Hadek, je crois que je m’ennuie. » Son ami lui tend alors un grand livre illustré…
Peut aussi s’épeler ainsi : P. R. O. C. R. A. S. T. I. N. A. T. I. O. N.
« On verra demain », répondait Paco lorsqu’on lui demandait de ranger sa chambre.
« On verra demain », répétait-il au lieu d’aider les autres. « On verra demain... » Et puis, demain a fini par arriver.
Ce matin, comme tous les matins, Lola est heureuse de retrouver Simon. Mais Simon a l'air embêté. Il doit annoncer que ses parents déménagent et qu'il va changer d'école. Lola va-t-elle perdre son meilleur ami du monde ?
Alfred n’a plus de maison. Il a juste eu le temps de prendre sa chaise et il est parti. « Vous voulez bien me faire une petite place ? » demande Alfred.«Tu n’y penses pas. Va-t’en ! »« Hé, là-haut ! Je peux venir avec vous ? »« Oh, mais non, tu es trop lourd ! Et avec ta chaise, ce n’est pas très pratique. »Là-bas, Alfred voit une toute petite maison. C’est la maison de Sonia…
Quinze familles, quinze intérieurs, quinze pièces à vivre, quinze inventaires, quinze univers. Ici, un squelette, là, un accordéon, ailleurs encore, un vêtement, un meuble ancien… Partout, de la vie. Car cet imagier pas comme les autres est pour Pascale Bougeault le prétexte à croquer sur le vif les portraits de toutes sortes d’êtres humains, à fixer les ambiances de cette installation artistique permanente qu’est la vie dans une maison ou un appartement. Bienvenue chez eux !
Même quand on aime l’école et quand la journée a été bonne, on est parfois bien content de rentrer dans sa maison chérie et de retrouver les siens. Voyez ce petit garçon : tout le monde lui fait la fête. Son chien, bien sûr, mais pas seulement ; les autres animaux aussi, chatons, poissons, sans oublier ses jouets préférés. Et ses parents alors ? Ils ne sont pas loin… surprise !
Avec douceur, avec vigueur, Yuichi Kasano fait du retour de l’école un moment de célébration, de fête et de joie.
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
Killiok, le chien noir, est inquiet. Il attend le retour de Vari Tchésou, le magicien rouge, dont il n'a pas de nouvelles depuis le printemps. D'après les oiseaux, une roulotte aurait été aperçue au fin fond de la Grande Forêt… Killiok convainc Véronica de l'accompagner pour savoir ce qu'il en est.
Tous deux s'enfoncent dans la Grande Forêt et font des rencontres surprenantes : Pikkeli Mimou dans son refuge, le Chat Mystère qui va au festival de vol, Susy le cheval… et tous ces Bébés Mousse avec qui ils prendront le train !
La Chintia, dont Anne Brouillard a imaginé la carte, est divisée en 11 pays. L'histoire prend vie au travers des personnages, des lieux, et de leurs influences. Tout est possible et a l'air réel. Le premier tome met en mouvement les habitants du Pays du Lac tranquille.
Des vacances de Toussaint sur une mystérieuse île en Bretagne ? On ne peut rêver mieux pour le Club de la Pluie, qui aime l’aventure par-dessus tout ! Ambroise et sa bande sont invités dans une grande et vieille maison, où se produisent des faits étranges : un masque aztèque qui pleure du sang, un jardinier blessé, et surtout une voix qui surgit de nulle part… Il paraît que sur une île tout le monde se connaît… Mais alors, qui s’amuse à faire chuchoter la maison ?
C'est un livre où l'on apprend que les murs, les toits et les fenêtres d'une maison peuvent s'en aller, par coquetterie ou par désespoir. Que les portes peuvent s'en aller, elles aussi, mais pour des raisons plus subtiles, surtout si elles sont nos amies. C'est également un livre où l'on apprend comment les parents peuvent rétrécir et comment les maisons se construisent. On y découvre qu'il y a toutes sortes de larmes. Qu'elles peuvent être lourdes, énormes, mouillées, légères, bleues, profondes... Et qu'il peut être utile de pleurer tout aussi bien que de s'arrêter. On peut sécher en pleine mer, traverser un tunnel d'animaux tristes, décoller de la joue d'une statue géante et rester serein, parce que avec l'Eugénie des larmes, il y a toujours l'Eugénie du rire.