Thème « maison, habitation »
Vous connaissez sûrement les trois petits cochons. Savez-vous qu’ils ont une maman merveilleuse qui aime ses petits cochonnets plus que tout ? Mais l’heure de l’autonomie a sonné, ils doivent quitter le nid. (Attention ! L’oeil protecteur de Maman Chonchon n’est jamais loin !)
Peut aussi s’épeler ainsi : P. R. O. C. R. A. S. T. I. N. A. T. I. O. N.
« On verra demain », répondait Paco lorsqu’on lui demandait de ranger sa chambre.
« On verra demain », répétait-il au lieu d’aider les autres. « On verra demain... » Et puis, demain a fini par arriver.
Alfred n’a plus de maison. Il a juste eu le temps de prendre sa chaise et il est parti. « Vous voulez bien me faire une petite place ? » demande Alfred.«Tu n’y penses pas. Va-t’en ! »« Hé, là-haut ! Je peux venir avec vous ? »« Oh, mais non, tu es trop lourd ! Et avec ta chaise, ce n’est pas très pratique. »Là-bas, Alfred voit une toute petite maison. C’est la maison de Sonia…
Quinze familles, quinze intérieurs, quinze pièces à vivre, quinze inventaires, quinze univers. Ici, un squelette, là, un accordéon, ailleurs encore, un vêtement, un meuble ancien… Partout, de la vie. Car cet imagier pas comme les autres est pour Pascale Bougeault le prétexte à croquer sur le vif les portraits de toutes sortes d’êtres humains, à fixer les ambiances de cette installation artistique permanente qu’est la vie dans une maison ou un appartement. Bienvenue chez eux !
Même quand on aime l’école et quand la journée a été bonne, on est parfois bien content de rentrer dans sa maison chérie et de retrouver les siens. Voyez ce petit garçon : tout le monde lui fait la fête. Son chien, bien sûr, mais pas seulement ; les autres animaux aussi, chatons, poissons, sans oublier ses jouets préférés. Et ses parents alors ? Ils ne sont pas loin… surprise !
Avec douceur, avec vigueur, Yuichi Kasano fait du retour de l’école un moment de célébration, de fête et de joie.
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
Killiok, le chien noir, est inquiet. Il attend le retour de Vari Tchésou, le magicien rouge, dont il n'a pas de nouvelles depuis le printemps. D'après les oiseaux, une roulotte aurait été aperçue au fin fond de la Grande Forêt… Killiok convainc Véronica de l'accompagner pour savoir ce qu'il en est.
Tous deux s'enfoncent dans la Grande Forêt et font des rencontres surprenantes : Pikkeli Mimou dans son refuge, le Chat Mystère qui va au festival de vol, Susy le cheval… et tous ces Bébés Mousse avec qui ils prendront le train !
La Chintia, dont Anne Brouillard a imaginé la carte, est divisée en 11 pays. L'histoire prend vie au travers des personnages, des lieux, et de leurs influences. Tout est possible et a l'air réel. Le premier tome met en mouvement les habitants du Pays du Lac tranquille.
Des vacances de Toussaint sur une mystérieuse île en Bretagne ? On ne peut rêver mieux pour le Club de la Pluie, qui aime l’aventure par-dessus tout ! Ambroise et sa bande sont invités dans une grande et vieille maison, où se produisent des faits étranges : un masque aztèque qui pleure du sang, un jardinier blessé, et surtout une voix qui surgit de nulle part… Il paraît que sur une île tout le monde se connaît… Mais alors, qui s’amuse à faire chuchoter la maison ?
En été comme en hiver, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, cette vallée est la plus belle du monde. Ce ne sont pas les Touim’s qui vous diront le contraire ! Laissez-vous guider par Poutchy-Bloue et découvrez toutes les merveilles de cet endroit unique : l’Arbre-Maison où il est né, la Forêt de l’Enfant-Perdu, l’Île Dodo-Dodu, ou encore le Théâtre des Colères…
Un jour, Petit-Gris et ses parents attrapèrent la pauvreté. Ils durent quitter leur maison, des chasseurs à leurs trousses. Mais Petit-Gris savait ce qui pouvait les sauver..
C'est un livre où l'on apprend que les murs, les toits et les fenêtres d'une maison peuvent s'en aller, par coquetterie ou par désespoir. Que les portes peuvent s'en aller, elles aussi, mais pour des raisons plus subtiles, surtout si elles sont nos amies. C'est également un livre où l'on apprend comment les parents peuvent rétrécir et comment les maisons se construisent. On y découvre qu'il y a toutes sortes de larmes. Qu'elles peuvent être lourdes, énormes, mouillées, légères, bleues, profondes... Et qu'il peut être utile de pleurer tout aussi bien que de s'arrêter. On peut sécher en pleine mer, traverser un tunnel d'animaux tristes, décoller de la joue d'une statue géante et rester serein, parce que avec l'Eugénie des larmes, il y a toujours l'Eugénie du rire.