Thème « kangourou »
Boum! C’est difficile de marcher. «À bras Papa» demande bébé. Alors abracadabra! Papa se transforme et bébé se retrouve dans la poche du kangourou, sur le ventre du singe, dans la gueule du loup… Mais patatras ! C’est Papa qui fait boum!
Y a-t-il une différence entre sauter et bondir ? Non ? Pourtant Kangourou est persuadé que si. Il fait des bonds prodigieux, mais il se croit incapable de sauter. Heureusement, Elmer, avec l'aide de Tigre et de Lion, lui prouvera le contraire...
Quand Adélaïde est née, ses parents ont été un peu surpris : un kangourou avec des ailes, on n’avait jamais vu ça ! Ils étaient inquiets. Ils avaient tort. Car une vie aventureuse et belle attendait leur fille. Suivre un avion, visiter le vaste monde, voir Paris et ses merveilles, devenir la star d’un spectacle de music-hall, sauver la vie de deux enfants prisonniers d’un incendie, et, grâce à ses blessures, tomber amoureuse d’un kangourou sans ailes, l’aider à sortir du zoo et passer le reste de sa vie très heureuse avec lui !
C’est dans les années soixante, après Les aventures de la famille Mellops que Tomi Ungerer entreprend, à New York, une série d’albums en l’honneur des animaux jusque-là mal aimés ou carrément absents des livres pour les enfants : un boa constrictor, Crictor ; une pieuvre, Émile ; une chauve-souris, Rufus ; un vautour, Orlando et un kangourou, Adélaïde, que voici. Ils font mentir leur réputation, incarnent le bien, sauvent des vies, et se révèlent plus humains que ceux qui les avaient d’abord rejetés.
Adélaïde, le jour où j’ai croisé ton chemin, nom de tonnerre : quel coup de foudre ! J’étais le plus heureux des kangourous. Nous avons eu une belle vie, remplie de voyages. Et puis, le jour où tu as préparé de la soupe aux roses, je me suis rendu compte que quelque chose clochait…
Hibiscus, ce qu’elle veut, c’est un bébé. Un petit kangourou qui passe la tête par la poche pour cueillir une fleur ou un brin d’herbe de-ci de-là. Mais rien ne se passe. Car Hibiscus est une hyène dans une peau de kangourou. C’est sa mère qui lui a tricoté son costume avec la laine de tous ses ancêtres.
Alors, Hibiscus comprend pourquoi elle est toujours la dernière à la course en sauts, pourquoi elle s’est toujours sentie différente.