Thème « grand-mère »
Grand-Mère a étendu son futon sur la véranda pour qu’il sèche au soleil après la lessive. Le premier à s’y installer pour faire sa sieste, c’est le chat. Hmmm… On est si bien sur ce futon tout doux qui sent le propre ! Au lieu de le chasser, Grand-Mère s’installe à ses côtés, bientôt suivie par la poule et ses poussins, un petit garçon, le chien, la chèvre et la famille cochon… et voilà toute la maisonnée qui pique un roupillon !
Le gâteau pour Mamie est prêt. C'est Jeannot qui doit le lui apporter. C'est fragile. Il faut le tenir bien droit, mais en marchant, ce n'est pas évident. Aïe, quelque chose a bougé. C'est un petit chou qui s'est détaché. Il n'y a qu'une solution, se dit Jeannot : le manger. Un chou en moins, ça ne se remarque pas beaucoup.
« Je t'ai vu ! » crie l'écureuil à Jeannot. « Ca a l'air bon. Donne-moi juste un chou et je ne dirai rien à ta maman. »
Deux choux en moins, ça ne se voit pas tellement. Le problème, c'est qu'en chemin, Jeannot va aussi rencontrer la pie, la souris et le renard...
Le Petit Chaperon rouge a inspiré des générations d’auteurs et d’illustrateurs. Dans un texte jamais publié de son vivant, Beatrix Potter livre sa version, pleine de suspens et de noirceur, du conte original de Charles Perrault. Quant aux magnifiques illustrations de Helen Oxenbury, elles donnent une dimension nouvelle, non dénuée d’humour, à ce classique des classiques.
Hipollène est presque grande et son père a décidé de lui apprendre tous les secrets de la chasse aux glousses. Ils habitent dans l'Arbre sans fin. Au bout d'une branche il y a toujours une autre branche. Grand-Mère sait tout de l'arbre. Grand-Mère meurt, l'arbre pleure. Hipollène se cache dans sa maison secrète. Elle est si triste qu'elle se transforme en larme, et c'est le début de son immense voyage.
Petit Pierre et ses amis, Jars et Orang-outan, travaillent dans une belle caserne de pompiers. En cas d’alerte, ils sont prêts. Leur camion rouge ultrarapide bénéficie des équipements dernier cri : tuyau long de plusieurs kilomètres, aspirateur à fumée, canapé de sauvetage. Cette nuit, l’heure est plus grave que d’habitude. Tout un quartier de la ville est en feu et, au milieu des flammes, en haut d’une tour, il y a la mamie de Petit Pierre et Bubulle, son poisson rouge… Vite ! On a besoin des meilleurs pompiers du monde !
Billy se fait de la bile. Tout l'inquiète, surtout ce qui n'existe que dans son imagination. Et malgré les câlins rassurants de ses parents, il en perd le sommeil... Une nuit, Billy se confie à sa mamie qui lui apporte, dans le creux de sa main, un remède aussi étonnant qu'efficace !
Une nuit, j'ai été réveillé par un bruit épouvantable. Le lendemain matin, la maison était toute calme. Papa n'était pas là . J'ai demandé à Maman quand il rentrerait, mais elle n'avait pas l'air de savoir. Mais que se passe-t-il dans la vie du nouveau héros d'Anthony Browne ? Et pourquoi doit-il traverser cette forêt profonde - habitée de personnages de contes célèbres - pour parvenir à retrouver son papa ?
Julian est avec Mamita, sa grand-mère. Leur métro s’arrête et des sirènes montent à bord. Julian adore les sirènes. «Moi aussi, je suis une sirène», dit-il. Une fois seul, il s’apprête, couronne sa tête de longues feuilles vertes qu’il orne de fleurs colorées, noue un long rideau crème à sa taille. Il est prêt. Mamita et lui partent main dans la main vers la parade.
Un petit plant tout rabougri était bradé à l’entrée du supermarché. Hana l’a remarqué, l’a réclamé à son papa, l’a rempoté, arrosé, soigné, et protégé des chenilles. Le jour des grandes vacances, elle l’a emporté avec elle passer l’été chez sa grand-mère. Ses parents la désapprouvaient ? Hana a tenu bon. Le typhon souffle ? Le petit plant, enraciné dans le potager, résiste. La nature récompense souvent ceux qui prennent soin d’elle. Au coeur de l’été, Hana pourra bientôt inviter toute sa famille à un festin de tomates cerises !
Il s'en passe de drôles de choses, la nuit, dans la belle maison de Grand-maman sur la colline, au milieu des palmiers et des cyprès. Dans la chambre de Nora, la malle aux jouets s'anime et commence une formidable fête à laquelle participent poupées et pantins, sans oublier Maggie, Pouh, Kiki et... toutes les étoiles de ce beau ciel d'été !
À onze ans, la petite Verte ne montre toujours aucun talent pour la sorcellerie. Pire que cela, elle dit qu'elle veut être quelqu'un de normal et se marier. Elle semble aussi s'intéresser aux garçons de sa classe et ne cache pas son dégoût lorsqu'elle voit mijoter un brouet destiné à empoisonner le chien des voisins. Sa mère, Ursule, est consternée. C'est si important pour une sorcière de transmettre le métier à sa fille. En dernier ressort, elle décide de confier Verte une journée par semaine à sa grand-mère, Anastabotte, puisqu'elles ont l'air de si bien s'entendre. Dès la première séance, les résultats sont excellents. On peut même dire qu'ils dépassent les espérances d'Ursule. Un peu trop, peut-être.