Thème « en famille »
Fanny veut devenir écrivain, elle a commencé un roman « La deuxième mort de Sherlock Holmes » et ce n'est pas facile. Elle n'arrive pas à travailler tranquillement. Sa famille refuse de comprendre qu'elle doit s'enfermer dans sa chambre. Surtout sa mère, qui veut à tout prix qu'elle prenne l'air. Comble de l'horreur, son précieux manuscrit disparaît ! Volatilisé, envolé. Personne ne l'a vu. Fanny ne peut pas croire une chose pareille. Elle est décide à retrouver son livre coûte que coûte. Même s'il lui faut se transformer en détective et oublier quelque temps qu'elle est un écrivain.
« Maman dit qu'il y a deux sortes de gens dans la vie. Ceux qui ont un paradis perdu et ceux qui n'en ont pas.» La petite fille qui raconte son histoire fait partie de ceux qui en ont un. Pour elle, le paradis perdu, c'est une grande maison pleine de billes de verre, de rires, de glycines enroulées à l'escalier du perron. Une grande maison remplie de fêtes d'anniversaire et de violoncelles. Malheureusement, cette maison ne sera bientôt plus remplie que de souvenirs...
Le petit garçon a décidé tout seul d'entreprendre des collections et ça ne regarde personne. Le choix d'une collection est une chose très sérieuse : même s'il en change tous les jours, même si Maman s'obstine à jeter les papiers de bonbons qui constituent justement une de ses collections, même si son grand frère, qui est pourtant son meilleur ami, lui propose une collection de chaussettes sales. Et quand le petit garçon commence une collection très spéciale, une collection où il est question de filles et d'amour fou, il n'est pas question de rire. D'ailleurs, parfois, les collections peuvent réserver des surprises.
Ils n’ont pas de plumes. Ils n’ont pas de pelage. Rien que de grands poils qui leur sortent de la tête, orange, jaunes noirs ou tout blancs. Ils font rire. Mais ils font peur aussi. Ils vivent derrière des barreaux. Ce sont de drôles de bestioles. Un peu bizarres. Un peu sauvages. On ne sait pas à quoi ils pensent. Qui ça ? Les zozos ! Où ça ? Mais au zoo ! Quand ça ? On y va. Allez, zou !
Mer d'huile ou tempête, peu importe dans les profondeurs de l'océan où tout est immuable et paisible comme la mort. Les habitants des contrées sous-marines sont des créatures pour qui tout est toujours égal et qui ne conçoivent pas qu'on veuille quitter la quiétude aquatique pour aller vivre à terre en compagnie d'un lynx, d'un ours et d'un homme : ils n'imaginent en aucun cas qu'on puisse se choisir «des animaux pour famille». Pourtant, parfois, l'un d'eux tente l'expérience, et il advient qu'il (ou elle) n'ait pas à le regretter...
Naufrage, rive déserte, bêtes fauves : au-delà du récit d'aventures, Randall Jarrell (1914-1965), qui fut un des grands poètes et critiques américains de son époque, nous donne ici une fable pleine de poésie et de sagesse vraie, où l'élément de merveilleux ne fausse nullement un sens aigu de la Nature.
Je m’appelle Lilas Fleury, j’ai onze ans, j’entre en sixième et je ne suis plus un bébé. J’ai un grand frère un peu fleur bleue, une soeur qui s’habille d’un tutu et des parents qui se chicanent ; à la maison ce n’est pas toujours joli-joli. Je suis amoureuse en secret de Clovis Buzenval, le fils de la gardienne, mais je ne suis pas du tout gnangnan. J’ai des amies à épater, et je vais organiser en février un dîner de classe exceptionnel qui changera ma vie sans chichis. Parce que les choses doivent changer. Parce que je vais grandir. Alors surtout, surtout, n’allez pas croire que je sois cucu.
Il y a les fenêtres qui s’envolent, comme des papillons multicolores.
Il y a la voiture garée dans la salle de bains, le salon transformé en piscine, et le placard à chaussures déguisé en salle à manger.
Le papier peint dont on fait une robe, et les tuiles qui composent un manteau.
Il y a le paillasson qui voudrait devenir une couverture pour enfin dormir sur un lit.
L’arbre du jardin qui part retrouver ses amis la nuit dans la forêt.
Et la maison qui s’en va jusqu’à la mer pour faire une croisière, en oubliant la boîte aux lettres.
Si tout restait toujours à sa place, le monde serait terriblement ennuyeux. Par chance, les maisons aussi ont le goût de l’ailleurs.
Martin vient d'avoir dix ans et il n'est toujours pas amoureux. Une catastrophe. Car, dans sa famille, tout le monde est amoureux et marié. Martin prend donc une grande décision : dans une semaine, il sera amoureux et il se mariera dans la foulée. Tout devrait être simple. Mais voilà : que se passe-t-il quand on découvre finalement qu'on est amoureux de la même fille que son meilleur ami et que cette fille est... précisément votre meilleure amie ?
« Je suis la honte de la famille » est un peu le jumeau de « Je suis un garçon ». D'ailleurs ce n'est pas un hasard si les deux titres se ressemblent.
Abel vient d’avoir onze ans. Il vit dans une famille qui a la bosse des maths depuis des générations. Lui, quand il voit des chiffres, tout se brouille. C’est comme si son cerveau se mettait à geler. Il devient idiot, ça a toujours été comme ça.
Ce matin, au courrier, une invitation ! Abel espérait une invitation à rejoindre une école de sorcellerie où on lui découvrirait enfin un don bien à lui. Quelle déception ! Cette lettre annonce qu’il a gagné une semaine en Finlande avec Elias Chomsson, un génie des mathématiques. On a dû se tromper quelque part !
Mais après tout, c’est son nom sur l’invitation. Abel, qui a toujours rêvé de voyager, partira au pays des aurores boréales où l’attend un drôle de professeur…
Claudia, Colin, Ralph, Pixie et Robbo se retrouvent coincés par une nuit de tempête dans un château soi-disant hanté. L'excursion organisée par l'école pourrait tourner au cauchemar, d'autant qu'a priori, ces cinq là n'ont rien pour s'entendre; mais la surprise qui attend nos héros n'a ni dents de vampire, ni drap blanc sur la tête. En découvrant un vieil album dans lequel, cent ans plus tôt, un jeune garçon avait raconté le re-mariage catastrophique de sa mère, ils se rendent compte qu'ils ont tous, contrairement aux apparences, quelque chose en commun. Chacun d'eux vit dans une « famille recomposée » avec belle-mère, beau-père, demi-soeur, frère par alliance, etc... L'un après l'autre, ils racontent leur histoire, en riant, en s'énervant, en pleurant. Commence alors une sorte de jeu de des sept familles démoniaque, au cours duquel on apprend, entre autres, que la famille modèle n'existe pas, que ce ne sont pas toujours les plus forts qui l'emportent, et que la vie d'une famille toute entière peut changer d'un jour à l'autre à cause d'un chat qui a décidé de faire sa sieste dans un saladier plein de pâte à pain.
Nous vivions à Paris dans un trois-pièces tout moche quand une lettre mystérieuse est arrivée, avec un kangourou sur le timbre rose et vert. Maman venait d’hériter d’un cousin australien inconnu : la fortune et une splendide maison à Barbizon… Le déménagement éclair, le bonheur, la forêt, les peintres, les nouveaux amis, à nous la belle vie ! Mais hasard ou coïncidence ? Voilà que j’apprends que, rien que dans mon école, deux autres enfants viennent de vivre la même aventure. Un parent éloigné qui meurt, l’héritage, l’installation à Barbizon.
Et puis encore un autre… Il y a de quoi former un club. Et mener l’enquête. D’autant qu’il se passe de drôles de choses dans une maison abandonnée, à l’orée de la forêt…
Léopold et ses cousins sont en mal de grand-père… Le vieux Walter est mort trop vite et trop tôt après avoir révélé son existence à sa nombreuse descendance (Le paradis d’en bas, tome 1). Depuis, personne dans sa grande famille n’a eu le courage de s’occuper de ses biens.
Sa maison est restée telle quelle, comme s’il allait revenir, comme s’il existait encore… Alors, quand Léopold apprend que le fantôme de Walter rôderait dans son ancienne demeure, il est à peine surpris.
Et si le spectre de Walter était revenu passer un peu de temps avec sa famille ? Et si ce n’était pas son fantôme ? Et s’il n’était jamais mort et qu’il jouait un tour à sa façon ? Et si ce n’était pas Walter ?
Il est temps de réactiver le Club des héritiers détectives et d’aller mener une petite enquête dans l’au-delà. C’est sûr, le CHD, lui, n’est pas mort !
Tim a disparu. Après son cours d’équitation, il n’est pas rentré chez lui. Le clan Soshimof est en émoi. Léopold, Holly et Manon, les cousins et meilleurs amis de Tim, se posent des questions. Que s’est-il passé ? Tim supportait de moins en moins les remarques incessantes de sa mère, surnommée la méprisenfants par Léopold. « Si ma mère continue, j’me casse », a même dit Tim à Léopold quelques jours avant sa disparition.
Tim a-t-il fait une fugue ? Où a-t-il bien pu aller ? Et pourquoi le pur-sang Oxbow du Grazon a-t-il disparu en même temps que Tim ? Que cache Magali, la responsable du poney club ?
Pour résoudre ces questions, Léopold, Manon et Holly reforment le Club des Héritiers Détectives. Mais sans Tim, le quatrième membre, la tâche s’avère difficile.
À moins que leur grand-oncle Walid ne leur prête main-forte…
Imaginez que le livre que vous tenez entre les mains soit l’un de ces vieux romans avec une reliure en cuir marron tout usé. Il raconterait le genre d’histoires qu’on lisait autrefois, pleines de larmes et de bons sentiments. On y croiserait des orphelins forcément valeureux, un bébé abandonné sur les marches d’un perron, un millionnaire vivant dans un taudis ou encore une nourrice au cœur sec…
Vous allez rencontrer tous ces personnages dans ce roman. Mais vous découvrirez vite que les enfants Willoughby ne sont pas vraiment orphelins, même s’ils rêvent de se débarrasser de leurs parents. Vous apprendrez que le millionnaire solitaire est aussi un confiseur au grand cœur et la nounou une spécialiste des cookies et de la sculpture antique, ce qui les rend bien plus sympathiques. Il vous reste maintenant à deviner si, comme toutes les histoires d’autrefois, celle-ci se terminera bien…
Lois Lowry a toujours apprécié son statut d’enfant « du milieu » qui lui a permis de vivre sa vie dans son coin, de grandir tranquille, au milieu des livres. Elle a voulu rendre hommage à ses livres de jeunesse, compagnons d’autrefois, en écrivant Les Willoughby, à la manière de ses histoires à l’ancienne qui, avoue-t-elle, n’intéressent plus les enfants d’aujourd’hui. À moins d’être revisitées par Lois Lowry…
Notre mère ne sait pas cuisiner. Mais alors pas du tout. Quand elle rentre fatiguée du bureau, c’est tous les soirs le même menu : raviolis en boîte et yaourts sans goût. Mes trois frères et moi lui avons pourtant offert un livre de recettes pour son anniversaire, mais rien n’y fait, elle refuse de l’ouvrir. Nous, on rêve de boeuf bourguignon et de clafoutis aux cerises.
La seule solution est d’enfiler le tablier et de se mettre aux fourneaux. Mais on ne devient pas cuistot d’un coup de baguette magique. Pourtant, nos tentatives culinaires semblent avoir un effet positif sur le moral de notre mère. Elle sourit beaucoup plus qu’avant, les yeux perdus dans le vague. Et elle n’hésite pas à inviter un nouvel ami à dîner…
Audren aime les livres de recettes, les plats qui mijotent, les gâteaux qui gonflent dans le four. Elle est d’ailleurs réputée pour ses pâtisseries et ses cookies maison. L’écriture, la musique, la cuisine et le jardinage sont ses occupations préférées parce qu’elles forment une combinaison parfaite pour combler les cinq sens et satisfaire son besoin d’évasion.
Je m’appelle Nancy Pinsault. Dans ma famille on est cinq, comme les cinq doigts de la main. Mais toutes les mains ne se ressemblent pas. Dans ma famille, la belle main de papa dessine des maisons. La main hésitante de ma soeur Aline alterne entre vernis nacré et vernis pailleté. La main décidée de mon frère Igor donne une gifle. La main du docteur Croc glisse dans le dos de maman. La main généreuse de maman m’offre un maillot de bain une pièce avec des pastèques et des ananas. Quant à mon petit doigt, il me raconte de drôles d’histoires. Mais peut-on croire tous les mystères détenus par un petit doigt ?