Thème « en famille »
Cette poussette est à Cléo Quichon, et à elle seule ! C’est sa propriété privée, sa chasse gardée. Que quelqu’un d’autre y touche sans autorisation, la pousse, s’y installe ? Pas question ! Évidemment, une poussette, c’est fait pour pousser les gens, c’est mieux s’il y a quelqu’un dedans…
Aujourd'hui, ni Papa ni Maman Quichon n'ont envie de faire la cuisine. Trop fatigués. Et si c'étaient leurs soixante-treize enfants qui cuisinaient, cette fois ? On tire à la courte paille qui choisira le plat principal, et c'est parti ! Sacha emmène ses frères et sœurs faire les courses pour les lasagnes du soleil... La cuisine à l'huile, c'est bien difficile, mais c'est bien plus beau que des petits pots !
Un jour de promenade avec ses soixante-treize enfants, Papa Quichon avise une petite maison, là -haut, sur la colline. C’était mon rêve de jeunesse, leur avoue-t-il : vivre dans une telle maisonnette, regarder le soleil se lever le matin, se coucher le soir, et fumer une petite cigarette. Le bonheur. Forcément, les soixante-treize enfants veulent savoir à quoi ressemble le rêve de jeunesse de leur père et hop, ils grimpent dans la maison…
Il y a très longtemps, du temps où il était enfant unique, Mimi Quichon avait un frère imaginaire qui s'appelait Heumsteum et ne faisait rien comme lui. Il ne buvait pas de lait, ne mettait pas de manteau, ne regardait pas avant de traverser. Il était libre, Heumsteum. Forcément, cela finit par donner des idées à Monsieur et Madame Quichon, qui se décidèrent à appeler le Bureau International des Adoptions... L'histoire "préquel" de la famille Quichon !
Ils déménagent en automne pour s’installer au coeur de la forêt. Ils profitent de l’hiver pour jouer ensemble au chaud, fabriquer quantité de choses, mais aussi faire de la luge et des souris de neige. Pour fêter le printemps, ils organisent un grand pique-nique où tout est fait maison. Et en été, au premier chant d’oiseau, les enfants partent cueillir des framboises pour accompagner un délicieux petit déjeuner. Eux ? Ce sont les quatorze membres de la famille Souris, parents, grands-parents et dix enfants. Une famille dont on rêve de faire partie !
Ce recueil contient : Une nouvelle maison pour la famille Souris, Le petit déjeuner de la famille Souris, L'hiver de la famille Souris, Le pique-nique de la famille Souris.
Un logis dans lequel humains et souris vivent en harmonie… est-ce possible ?
Les enfants pensent que oui.
Mais leurs parents, ça, c’est une autre histoire ! Parfois, les grandes personnes sont incompréhensibles !
Attention, lecteur ! Un tigre rôde dans ce livre. Pour éviter une catastrophe, il faut faire quelque chose… et vite ! Et si tu commençais par tourner la page ?
Même quand on aime l’école et quand la journée a été bonne, on est parfois bien content de rentrer dans sa maison chérie et de retrouver les siens. Voyez ce petit garçon : tout le monde lui fait la fête. Son chien, bien sûr, mais pas seulement ; les autres animaux aussi, chatons, poissons, sans oublier ses jouets préférés. Et ses parents alors ? Ils ne sont pas loin… surprise !
Avec douceur, avec vigueur, Yuichi Kasano fait du retour de l’école un moment de célébration, de fête et de joie.
Toute l’organisation de la maison repose sur les épaules de madame Porchon : elle fait la cuisine pour monsieur Porchon et leurs deux fils, passe l’aspirateur, fait la vaisselle,
lave le linge, range la maison, sans que jamais personne ne lui témoigne la moindre reconnaissance.
L’ingratitude de sa famille lui devient un jour intolérable et madame Porchon n’a plus qu’une seule solution…
Ne jamais se décourager ! C’est la devise des Mellops. Ils aiment la vie, ils aiment le monde et ses surprises et rien ne les arrête. Quand Papa Mellops et ses quatre fils, Casimir, Isidore, Félix et Ferdinand, se lancent dans les plus folles entreprises, fabriquer un avion, creuser un puits de pétrole, ou explorer les gouffres souterrains, c’est toujours dans la joie et la bonne humeur. Et quoi qu’il arrive, Maman Mellops les attend, avec son légendaire gâteau à la crème Chantilly et son chocolat chaud !
Ce recueil contient les cinq histoires suivantes :
Les Mellops font de l'avion (publié en Lutin poche en 1979); Les Mellops trouvent du pétrole (publié en Lutin poche en 1980); Les Mellops fêtent Noël (publié en Lutin poche en 1980); Les Mellops spéléologues (publié en Lutin poche en 1980) et Les Mellops à la recherche du trésor sous-marin. (inédite)
Sunny le suricate en a assez de surveiller ses petits frères et soeurs et il n'en peut plus de vivre dans le désert. Il trouve la chaleur accablante et sa famille étouffante. Bref, Sunny a vraiment besoin de changer d'air. Il part donc un beau matin. Mais en fils aimant, il prend soin d'envoyer une carte postale quotidienne à ses parents. Ce qui permet au jeune lecteur de savourer, jour après jour, le récit hilarant des péripéties de Sunny...
Même dans la préhistoire, il y a très très longtemps, le rêve des enfants, c’était de faire comme les grands. Louve a observé comment ses parents entretenaient le feu dans la caverne. Ce matin, elle est la première réveillée. Chouette ! C’est elle qui va s’en occuper. Pour ranimer les braises, il faut souffler, puis rajouter du bois coupé. Louve sait, mais voilà Ours, son petit frère, qui voudrait s’en mêler dès qu’elle a le dos tourné…
Il suffit parfois d'une journée d'anniversaire pas comme les autres pour qu'un petit garçon découvre sa véritable vocation... Avec ce livre, Anthony Browne nous accompagne au musée. Il nous apprend, tableau après tableau, à poser un regard différent sur les oeuvres exposées et fait de cette visite une expérience aussi ludique qu'initiatique.
« Un jour, Papa est rentré avec une télé dans les bras : il avait gagné le gros lot de la tombola de son travail. Joie ! Il l’a branchée et toute la famille s’est installée pour la regarder pendant le dîner. C’est alors que le cauchemar a commencé. Nous nous apprêtions à absorber, à dévorer, tout ce que la télé nous montrerait… mais c’est le contraire qui arriva. En premier, c’est la gomme de ma soeur qui s’est retrouvée à l’intérieur. Puis la télé a avalé le magasin du réparateur. Et elle ne s’est plus arrêtée… »
Quand il est né, Okilélé n'était pas beau. Ses parents, ses frères, sa soeur dirent « Oh, qu'il est laid ! »
Okilélé pensa que c'était son prénom...et ne comprenait pas pourquoi il gênait partout où il se trouvait. Croyez-vous qu'il se laissa faire ? Non, et c'est le début d'une très longue histoire, d'un très beau voyage...