Thème « en famille »
Tout a commencé avec un arbre généalogique que Céline devait faire pour l'école. Elle ne savait pas qui mettre dans la case papa : Nicolas, qu'elle appelle papa, ou François, son vrai papa, qu'elle ne voit jamais. Quant à ses grands-parents du Canada, Céline ne connaissait même pas leurs prénoms. Elle commença une enquête... et découvrit qu'elle descendait des Sioux !
Louise a deux sacs à dos, un avec des palmiers pour quand il fait chaud, un avec des montagnes pour quand il fait froid. Amina a deux frères, qui l'embêtent quel que soit le temps. Sauf quand ils dorment, c'est vrai. Chez la première, c'est sombre et confortable. Chez la deuxième, c'est clair et bruyant. Pourtant entre elles, il n'y a que 42 pas exactement...
Joseph est inquiet. À la maison, il y a trop de silences. Ses parents ne se parlent plus. Ils ne s'entendent plus. Joseph s'enferme dans sa mini-chambre, au milieu de la jungle peinte sur le mur. En classe, il y a trop de questions. Tout s'embrouille dans la tête de Joseph. Il ne sait plus. Il ne répond plus. Un jour, la maîtresse décide que Claire va s'asseoir à côté de lui. C'est la plus bavarde et la plus fofolle de la classe. Ses parents s'embrassent dans la rue et font de la moto. À la fin de l'après-midi, Claire s'invite chez Joseph et elle se met à repeindre sa chambre, sa jungle, et sa vie.
Dans la même famille, demandez Margot et Jenny, une crise familiale vue par trois regards de frère et soeurs, à trois âges différents.
Fanny veut devenir écrivain, elle a commencé un roman « La deuxième mort de Sherlock Holmes » et ce n'est pas facile. Elle n'arrive pas à travailler tranquillement. Sa famille refuse de comprendre qu'elle doit s'enfermer dans sa chambre. Surtout sa mère, qui veut à tout prix qu'elle prenne l'air. Comble de l'horreur, son précieux manuscrit disparaît ! Volatilisé, envolé. Personne ne l'a vu. Fanny ne peut pas croire une chose pareille. Elle est décide à retrouver son livre coûte que coûte. Même s'il lui faut se transformer en détective et oublier quelque temps qu'elle est un écrivain.
« Maman dit qu'il y a deux sortes de gens dans la vie. Ceux qui ont un paradis perdu et ceux qui n'en ont pas.» La petite fille qui raconte son histoire fait partie de ceux qui en ont un. Pour elle, le paradis perdu, c'est une grande maison pleine de billes de verre, de rires, de glycines enroulées à l'escalier du perron. Une grande maison remplie de fêtes d'anniversaire et de violoncelles. Malheureusement, cette maison ne sera bientôt plus remplie que de souvenirs...
Le petit garçon a décidé tout seul d'entreprendre des collections et ça ne regarde personne. Le choix d'une collection est une chose très sérieuse : même s'il en change tous les jours, même si Maman s'obstine à jeter les papiers de bonbons qui constituent justement une de ses collections, même si son grand frère, qui est pourtant son meilleur ami, lui propose une collection de chaussettes sales. Et quand le petit garçon commence une collection très spéciale, une collection où il est question de filles et d'amour fou, il n'est pas question de rire. D'ailleurs, parfois, les collections peuvent réserver des surprises.
Ils n’ont pas de plumes. Ils n’ont pas de pelage. Rien que de grands poils qui leur sortent de la tête, orange, jaunes noirs ou tout blancs. Ils font rire. Mais ils font peur aussi. Ils vivent derrière des barreaux. Ce sont de drôles de bestioles. Un peu bizarres. Un peu sauvages. On ne sait pas à quoi ils pensent. Qui ça ? Les zozos ! Où ça ? Mais au zoo ! Quand ça ? On y va. Allez, zou !