Thème « Esquimau, Inuit »
Michaël, sa poupée, son bateau, Toutou et le bébé aiment plus que tout se blottir contre maman, sous la couverture d'élan, et en avant, en arrière, en avant, en arrière...ils se balancent.
Ce n’est pas facile de trouver du poisson sur la banquise. Anoki le pêcheur le sait bien. Il suffit qu’il y ait un poisson au bout de sa ligne pour que le phoque, le pingouin, le renard et l’ours se mettent à ses trousses. Mais Anoki est prêt à tout pour ramener un bon dîner à sa famille.
La mystérieuse et gigantesque baleine, le papa de Nils et Anna ne l’a vue qu’une fois, quand il était petit. Depuis, elle occupe son esprit et il parle d’elle le soir au coin du feu. Alors, Nils rêve d’elle la nuit et scrute l’horizon le jour, pour l’apercevoir. Et un matin, il prend le kayak et part à sa rencontre. Mais bientôt, le kayak gigote. Ce n’est pas la baleine, c’est Anna, venue aider son grand frère à explorer les mers…
Aujourd’hui, c’est la demi-finale de la Grande Coupe de football de 1950. Jimmy, l’homme-fusée, envoie le ballon avec tant de force qu’il passe pardessus les buts, par-dessus la ville et même l’océan… Il arrive dans les bras de Pirmi, le petit Inuit qui n’avait encore jamais vu cet objet tout rond.
L’ours est grand et l’homme est petit. L’ours est joueur et curieux. Les petits des hommes aussi. L’ours chasse le phoque. L’homme chasse l’ours quelquefois. Nanook chante en frappant son tambourin et l’ours blanc danse sur sa chanson.
Plouk serait un pingouin comme les autres, heureux et insouciant, s'il arrivait à vaincre sa peur de l'eau. En effet, le pauvre Plouk est persuadé qu'il ne sait pas nager. Pour un pingouin, c'est un vrai problème... À défaut d'avoir confiance en lui, Plouk est pourtant un petit pingouin très très courageux, comme va le constater Touka L'Esquimaude.
Aujourd'hui, au marché, un petit ours en peluche tout jaune est posé près d'une cafetière. Il ne sait pas d'où il vient. Il attend, il ne sait quoi. Tout à coup, voilà qu'il pleut et qu'on l'oublie.
Un chien compatissant le remarque. « Tu dois être un petit de la cane », dit-il. « Ils sont tout jaunes aussi.» Mais la cane ne le reconnaît pas.
« Il est jaune comme un pissenlit », dit alors une chèvre. Mais ce n'est pas facile, pour un ours en peluche de faire le pissenlit...
Un coup de fusil. Une tache rouge sur la fourrure blanche de sa maman. Youri, l'ourson des neiges se retrouve seul au monde. Longtemps, il marche au hasard dans le désert de glace, puis il s'écroule, épuisé et mort de faim. Mais soudain, deux bras le soulèvent...
« Comme mon père me l’a appris, je me suis levé tôt et j’ai réveillé la lampe assoupie.
Comme mon père me l’a appris, je me suis habillé et j’ai choisi mes armes avec soin.
Comme mon père me l’a appris, j’ai attelé les chiens au traîneau et je suis parti en direction du vieil inukshuk. »
Inuk aime dire à tout le monde qu’il est amoureux: au poisson qu’il pêche, à l’ours qui le fait fuir, même à l’oiseau de fer qui passe parfois très haut dans le ciel. Seulement voilà , les gens d’ici trouvent que Lucy, son amoureuse, est une fille affreuse. Ils l’appellent Bec-de-lièvre.
Comment les convaincre que Lucy est la plus belle? Inuk se met à sculpter son amoureuse. Quand on a toutes les idées réchauffées dans la tête, Inuk sait que ça s’appelle le bonheur.
Le papa de Tekenika était le meilleur pêcheur de tous. Depuis qu’il a été emporté par une tempête, c’est Tekenika qui part en barque pour rapporter du poisson, même si elle est toute petite. Elle est si décidée, si courageuse, qu’elle devient amie avec un éléphant de mer. Et un jour, ayant bravé à son tour la tempête, elle revient à la maison avec bien plus qu’un poisson… Ce conte est inspiré par une nouvelle du grand écrivain chilien Francisco Coloane.
Angakkeq marche droit devant lui. Où va-t-il, l'oiseau-homme ? Il est parti de sa maison de glace. Il s'y sentait seul comme la lune dans un ciel sans étoiles. Personne à qui parler ! « Iyâ-âyâ-ayêk ! » siffle-t-il dans son bec.
Kiawak est fier : jamais il n'a pêché un poisson aussi gros. Mais quelque chose le tracasse : le poisson qu'il vient de tirer au bout de sa ligne lui sourit. « Comment ce poisson peut-il me sourire alors que que je l'emmène pour être tué, coupé en morceaux et mangé ? » se demande le jeune Inuit.