Thème « entraide, solidarité »
Sheila et Jacquotte découvrent qu’une animalerie vient d’ouvrir juste à côté de l’école. Qu’y trouve-t-on ? Le hamster est passé de mode, maintenant la tendance est aux « Petites Personnes », sorte de minuscules humains trop mignons, pas plus haut qu’un crayon. Sheila s’enthousiasme, Jacotte s’interroge : N’est-il pas cruel de les tenir en cage ? Est-il normal qu’un être vivant ait une vie de jouet ? Est-ce qu’il ne faudrait pas lui rendre sa liberté ? Le renvoyer dans son pays d’origine ? D’accord, mais : s’il est né ici, quel pays ?
Un louveteau est blessé et les priorités d’Igor (à savoir manger du chevreau), seront quelque peu bousculées…
Madame Broutchou acceptera-t-elle d’aider son pire ennemi ?
Ah, mais le coeur d’une mère ne connaît pas de frontières !
Un petit garçon vient d’arriver à l’hôpital en ambulance. Son chien est très inquiet et trop grand pour passer les grilles qui se sont refermées. Comment lui envoyer un message d’amitié ? En comptant sur les autres, bien sûr ! C’est une véritable chaîne de solidarité qui se met en mouvement. Chat, souris, fourmi, poux et anticorps se relaient pour arriver au tympan du petit malade. Mais on peut compter sur l’humour iconoclaste de Gabriel Gay pour faire de ce parcours du combattant une histoire à mourir de rire… surtout pour les microbes !
Le menhir en a marre. Le voilà debout au milieu des bois depuis 3521 ans. C'est fatigant, à la fin. Il a envie d'une petite sieste. Pour l'aider à se coucher doucement, il appelle à la rescousse tous les costauds de la forêt : le sanglier, l'ours, le renard, le loup, le blaireau... Mais malgré tous leurs efforts, aucun d'entre eux ne réussit à le faire basculer. Et s'il avait eu tort de traiter par le mépris la proposition de la petite taupe ?
Un seul vautour est vénéré dans tout le Mexique. C’est Orlando, et il le mérite. Savez-vous pourquoi ? Orlando est un vautour original. Quand ses semblables ne pensent qu’à dévorer les malheureux perdus dans le désert, lui n’écoute que son bon cœur. C’est ainsi que, un jour, il survola un chercheur d’or évanoui. Le pauvre homme avait sur lui des photos de sa famille. Aussitôt, Orlando décida de prévenir sa femme et son fils. Et pour cela, il fallut traverser un continent et braver bien des dangers…
C’est dans les années soixante, après Les aventures de la famille Mellops que Tomi Ungerer entreprend, à New York, une série d’albums en l’honneur des animaux jusque-là mal aimés ou carrément absents des livres pour les enfants : un boa constrictor, Crictor ; une pieuvre, Émile ; une chauve-souris, Rufus ; un kangourou, Adélaïde et un vautour, Orlando, que voici. Ils font mentir leur réputation, incarnent le bien, sauvent des vies, et se révèlent plus humains que ceux qui les avaient d’abord rejetés.
Comment guérir d’une blessure ? Comment combler un vide ? Comment supporter une absence ? Comment survivre à la mort d’un être cher ? L’ours croit qu’il n’y arrivera pas. Qu’il restera inconsolable du départ de son ami le petit oiseau. Il ne se sépare plus du cercueil qu’il lui a fabriqué.
Mais c’est en acceptant de passer par toutes les étapes de la souffrance et du deuil – révolte, souvenirs, chagrin, solitude…– qu’il va enfin reprendre goût à la vie, et faire de nouvelles rencontres.
Si vous trouvez un jour un pingouin devant votre porte, réfléchissez bien avant de le raccompagner chez lui, au pôle Nord. L'oiseau a peut-être une autre envie derrière la tête...
Pilotin était le seul petit poisson noir parmi des milliers de petits poissons rouges. Arriva un gros poisson féroce et affamé…
Rufus est une chauve-souris pas comme les autres. Depuis qu’il a vu, un soir, un film en Technicolor au cinéma en plein air, puis, au petit matin, le lever du soleil orange et rose, il a décidé de changer d’existence. Vivre le jour, peindre ses ailes noires aux couleurs des papillons !
Pris de peur en voyant tourbillonner ce volatile bizarre, des gens lui tirent dessus à coups de fusil. Rufus tombe, mais, par chance, c’est dans le jardin d’un homme formidable…
C’est dans les années soixante, après les aventures de la famille Mellops (republiées l’an dernier) que Tomi Ungerer entreprend, à New-York, une série d’albums en l’honneur des animaux jusque-là mal aimés ou carrément absents des livres pour les enfants : un boa constrictor, Crictor ; une pieuvre, Émile ; un vautour, Orlando ; un kangourou, Adélaïde ; et une chauve-souris, Rufus, que voici, pour la première fois en français. Ils font mentir leur réputation, incarnent le bien, sauvent des vies, se révèlent plus humains que les humains qui les avaient d’abord rejetés.
Cette souris possédait la plus belle plantation de bananes du monde. Ça aurait pu la rendre heureuse et généreuse. Mais non. Ça la rendait égoïste et méchante. Quand une malheureuse chauve-souris très polie vint lui demander la permission de manger un peu de ses milliers de bananes, elle la chassa.
Alors la chauve-souris, qui était très maligne, trouva un stratagème pour convaincre la souris, qui était trop radine, de partager un peu mieux ses jolies bananes…
Timothée est un singe malheureux. Le plus malheureux du monde, peut-être, car il passe son temps à se demander ce qu'il pourrait bien faire et n'a jamais envie de rien. Un matin où il se sent plus malheureux que jamais, Timothée décide d'aller sous la terre. Comme ça, se dit-il, je n'ennuierai personne et personne ne m'ennuiera. Il entre dans une caverne et s'enfonce de plus en plus loin. Au plus profond de la terre il rencontre une très vieille chauve-souris qui s'appelle Marthe. Elle lui dit qu'elle connaît une solution pour qu'il ne soit plus malheureux. Mais Timothée voudra-t-il seulement l'essayer ?
C'est l'histoire d'un petit éléphant, qui avait perdu ses parents et d'un lion, qui n'était ni très petit ni particulièrement grand, mais qui était le roi. Comme tous les rois, il n'était pas commode. Cependant le petit éléphant avait réussi à se faire adopter de lui. Ils étaient devenus inséparables. Toi grand et moi petit, répétait l'éléphant. Mais il se mit à grandir... et le lion le remarqua.