Thème « conditions de vie dans les villes »
C’est le printemps. Télio vient d’emménager en ville dans sa nouvelle petite maison. Il y a tant à ranger ! Télio est éreinté. Il prend son doudou et se blottit dans son lit pour la sieste.
WOOO… WOOO… Dehors, il y a beaucoup de bruits ! « Un peu de silence, s’il vous plaît ! » demande Télio. Mais personne ne l’entend.
Anissa et François habitent à la Cité des Fleurs. La seule fleur de la Cité, c'est Anissa. Les seuls parfums de la Cité ce sont ceux que François et Anissa trouvent dans le dictionnaire : il y a les mots fleurs et les mots caca-de-chien. Les mots caca-de-chien, c'est pas trop leur truc. C'est plutôt celui du père de François, des mots comme « Bougnoules » dont François trouve qu'ils puent. Evidemment, il préfère les mots-fleurs, comme « Amour ». Mais là, François n'est pas forcément d'accord avec le gros dictionnaire. François et Anissa ont leur définition à eux du mot « Amour ».
Monsieur Henri vivait à l’arrêt de bus Flore depuis si longtemps que plus personne, ou presque, ne le regardait.
Dans la forêt vivait un petit opossum. C’était le plus heureux des animaux de la fôret : il souriait tout le temps. Un jour, des gens passèrent près de son arbre. Ils trouvèrent qu’il avait l’air triste. L’opossum avait beau leur dire qu’il était très heureux, ils ne le croyaient pas. Ils décidèrent de l’emmener à la ville pour lui redonner le sourire…
Un père (pauvre) et sa fille, une mère (fortunée) et son fils se rendent au parc…
Voici enfin réédité le récit initial, à une seule voix, de cette promenade reprise vingt ans plus tard dans Une histoire à quatre voix.
Promenade au parc est en effet l’unique exemple dans l’oeuvre d’Anthony Browne d’un livre publié puis retravaillé jusqu’à la refonte. Une ouverture vertigineuse sur son univers et son travail de création. Ces deux albums peuvent évidemment être lus indépendamment l’un de l’autre, mais les confronter est un jeu fascinant, aussi passionnant qu’enrichissant !
Socrate est seul au monde : ses parents ont été emmenés à la fourrière peu après sa naissance; les chiens du quartier ne lui laissent que des déchets et personne ne veut l'adopter. Un jour qu'il erre dans les rues à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent, Socrate découvre un drôle d'objet qui s'adapte parfaitement à son museau. Des lunettes... Elles vont changer la vie de Socrate.
La petite fille aux allumettes revisitée par Tomi Ungerer : un chef d'œuvre.
« Tu voulais être peintre comme tout le monde et tu es devenu dessinateur comme personne. La rue t'appartient, Poulbot. Continue d'être le porte-parole de ces pauvres gosses. » Avec Poulbots, Patrick Prugne change d’univers et met en scène le quotidien d’une bande de gamins sur fond de vieux Paris, avec les personnages et les lieux emblématiques du Montmartre de l’avant-guerre.